A visage couvert
À Martingale, la belle demeure des Maxie dans la campagne anglaise, on est assez tolérant pour admettre une domestique mère célibataire, et qui ne veut pas être séparée de son enfant. Mais rien ne va plus lorsque celle-ci arbore la même robe que la fille de la maison et annonce ses fiançailles avec le « jeune maître ». Un meurtre est commis le soir même chez les Maxie. Et le policier Dalgliesh, spécialement mandaté par Scotland Yard, va entrer dans une des affaires les plus troublantes de sa carrière.
L’île du sentiment
De mémoire d’homme, aucun meurtre n’a jamais eu lieu sur l’île d’Entrée, située dans l’archipel de La Madeleine, à l’est du Canada, et peuplée par une poignée de familles d’origine écossaise pour la plupart. Jusqu’à cette nuit de tourmente où James Cowell est poignardé à mort. Sa femme prétend qu’un assaillant s’en est pris à elle avant de tuer son mari, mais tous suspectent cette épouse d’un couple vacillant. Tous, sauf Sime Mackenzie. Seul anglophone parmi les enquêteurs envoyés sur place, il éprouve un choc en découvrant Kirsty Cowell. Le sentiment irréfutable de la connaître depuis toujours. Isolé dans une équipe où œuvre comme spécialiste des scènes de crime son ex-femme Marie-Ange, meurtri par l’échec de son mariage, rompu par l’insomnie, Sime sombre dans un état second où la réalité se mêle à des rêves étranges, faisant ressurgir l’histoire de son aïeul, expulsé de l’île de Lewis dans les années 1850, au moment de la Famine de la pomme de terre. Avec la certitude folle que le destin de Kirsty comme le sien se sont noués là, quelque cent cinquante ans plus tôt, dans un amour interdit qui n’a cessé de brûler ni de hanter. Le face-à-face entre le détective et la suspecte sur une falaise escarpée de l’île d’Entrée se superpose à l’image sépia d’une adolescente embrassée à l’ombre des pierres levées puis perdue sur un quai de Glasgow, dans le tumulte d’un navire qui déporte des milliers de misérables vers le Nouveau Monde. Après son inoubliable trilogie de Lewis, Peter May nous ramène à son Ecosse, magnifique et persécutée. De part et d’autre de l’Atlantique, les îles balayées par les vents sont le cadre d’un serment tragique. « Gus am bris an latha agus an teich na sgailean ». Jusqu’à ce que le jour se lève et que les ombres s’enfuient.
L’île des chasseurs d’oiseaux
Marqué par la perte récente de son fils unique, l’inspecteur Fin Macleod, déjà chargé d’une enquête sur un assassinat commis à Edimburg, est envoyé sur Lewis, son île natale, où il n’est pas revenu depuis dix-huit ans. Un cadavre exécuté selon le même modus operandi vient d’y être découvert. Cependant, dès l’autopsie effectuée par le médecin légiste, Fin ne croit plus à un lien entre les deux affaires. Sur cette île tempétueuse du nord de l’Écosse, couverte de landes, où l’on se chauffe à la tourbe, pratique encore le sabbat chrétien et parle la langue gaélique, Fin retrouve les acteurs de son enfance, à commencer par Ange, chef tyrannique de la bande dont il faisait partie. Marsaili, son premier amour, vit aujourd’hui avec Artair. Ce même Artair dont le père a perdu la vie en sauvant celle de Fin lors de l’expédition qui, chaque année, depuis des siècles, conduit une douzaine d’hommes sur An Sgeir, rocher inhospitalier à plusieurs heures de navigation, pour y tuer des oiseaux nicheurs. Que s’est-il passé il y a dix-huit ans entre ces hommes, quel est le secret qui pèse sur eux et ressurgit aujourd’hui ? Sur fond de traditions ancestrales d’une cruauté absolue, Peter May nous plonge au cœur de l’histoire personnelle de son enquêteur Fin Macleod. Fausses pistes, dialogues à double sens, scènes glaçantes l’auteur tient le lecteur en haleine jusqu’à la dernière page.
Expiation
Injustement accusée du meurtre de son amant, Maggie sort de prison après douze années de souffrances, bien décidée à refaire sa vie, dans la petite ville de Nouvelle-Angleterre où elle a trouvé un emploi de journaliste.
Mais si un amour naissant lui rend l’espoir, elle doit bientôt affronter l’hostilité des habitants, la suspicion de ses collègues. et, surtout, les agissements d’un ennemi secret, qui semble tout connaître de son passé et la poursuivre d’une haine inexpiable.
Salué par Mary Higgins Clark et Stephen King, ce nouveau thriller confirme, après « Un étranger dans la maison » et « Une femme sous surveillance, » la place éminente de la romancière dans le domaine du suspense et de l’angoisse.
Le tableau de l’apothicaire
Au Rijksmuseum, Ruth répertorie les œuvres d’art spoliées par les nazis. L’irruption d’une vieille dame agitée venue réclamer un tableau du XVIIIe siècle vient briser sa routine. Mais pourquoi donc les plus hauts dignitaires nazis avaient-ils convoité une œuvre aussi banale ? Est-ce à cause des mystérieuses inscriptions au dos de la toile ? Pour le savoir, Ruth ouvrira les portes d’un passé qu’il aurait peut-être mieux valu ignorer…
L’échange
Personne ne vit ainsi… à moins d’avoir quelque chose à cacher. Quand Caroline et Francis reçoivent une offre pour échanger leur appartement de Leeds contre une maison en banlieue londonienne, ils sautent sur l’occasion de passer une semaine loin de chez eux, déterminés à recoller les morceaux de leur mariage. Mais une fois sur place, la maison leur paraît étonnamment vide et sinistre. Difficile d’imaginer que quelqu’un puisse y habiter. Peu à peu, Caroline remarque des signes de vie, ou plutôt des signes de sa vie. Les fleurs dans la salle de bains, la musique dans le lecteur CD, tout cela peut paraître innocent aux yeux de son mari, mais pas aux siens. Manifestement, la personne chez qui ils logent connaît bien Caroline, ainsi que les secrets qu’elle aurait préféré garder enfouis. Et à présent, cette personne se trouve chez elle. Le premier roman explosif d’un nouveau talent du thriller, dans la lignée du Secret du mari de Liane Moriarty et du Couple d’à côté de Shari Lapena.
La sœur de l’ombre
Lorsqu’Alex, jeune étudiante et fille unique, perd ses parents dans un accident de voiture, elle se croit seule au monde. Mais le testament lui révèle l’incroyable secret de sa mère: alors qu’elle était au lycée, elle a donné naissance à une petite fille mise en adoption par la suite. Obéissant aux dernières volontés de sa mère, Alex part retrouver sa demi-soeur Dory et découvre que celle-ci est en prison pour avoir tué la fille de sa famille adoptive. Dory se dit innocente et, décidée à la croire, Alex mène l’enquête.
Mais peut-elle réellement faire confiance à celle dont elle ignore tout? Lorsque sa propre vie est mise en danger, Alex doit lutter de plus belle contre les doutes et les lourds secrets du passé.
Les noyées de la Tamise
Au milieu de la nuit, Juliet reçoit un sms qui l’invite à se rendre au petit matin au pont de Hammersmith. Sur place, un cadavre de femme inconnue, vêtue d’habits dont Juliet avait fait don quelques temps auparavant. À quel jeu joue le tueur ? Bientôt un nouveau message, un nouveau pont et… un nouveau cadavre. Épaulée par un séduisant détective, la jeune femme n’a d’autre choix que d’enquêter pour découvrir qui se cache derrière ces énigmes.
Une attachante héroïne entraînée dans une spirale meurtrière, au cœur d’une enquête pleine de surprises !
A.J. Waines est écrivain et psychothérapeute. Elle a travaillé dans les prisons de haute sécurité, se concentrant en particulier sur les auteurs de crimes passionnels. Ressac mortel est son premier roman.
Un nid de mensonges
Guy Brouard, richissime notable de l’île de Guernesey, est retrouvé mort sur la plage, une pierre polie enfoncée dans la gorge ! Dernière personne aperçue aux côtés de la victime, China River, jeune Américaine de passage, présente, pour la police locale, toutes les caractéristiques de la coupable idéale. Ce qui n’est pas de l’avis de son amie d’enfance, la sémillante Deborah qui, accompagnée de son époux, l’expert judiciaire Simon Saint James, va tout mettre en œuvre pour l’innocenter. Au risque de se brûler les ailes. Car le défunt sexagénaire n’avait absolument rien d’un bon Samaritain : séducteur compulsif et drôle d’entrepreneur, il venait juste de modifier son testament, lésant son propre clan, au profit d’un petit garçon et d’une séduisante adolescente…
Céline
Détective privée atypique et dure à cuire, Céline Watkins est spécialisée dans la recherche de personnes disparues. Lorsque Gabriela, doutant de la version officielle sur l’évaporation de son père porté disparu dans le parc national de Yellowstone vingt ans plus tôt, vient trouver l’élégante sexagénaire, celle-ci se raconte qu’elle accepte l’affaire comme un dernier tour de piste. Mais rien n’est anodin. Car explorer le passé de la jeune femme, ce n’est pas seulement révéler un pan de l’histoire politique américaine, c’est aussi réveiller ses propres fantômes. Très attendu après « La Constellation du chien » et «Peindre, pêcher et laisser mourir», Peter Heller met ici l’ébouriffant cocktail d’art du suspense et de puissance d’évocation de la nature qui fait désormais sa marque de fabrique au service d’un magistral roman familial inspiré par sa propre (inénarrable) mère.
Et l’eau devint sang
Ismay et Heather vivent dans la maison où leur beau-père est mort neuf ans plus tôt, mystérieusement noyé dans la baignoire. Si les deux sœurs très unies n’évoquent jamais le drame qui les hante, Ismay a toujours soupçonné Heather d’être la meurtrière. Elle n’avait que treize ans alors, mieux vaut tout oublier…
Feu de glace
Alice Loudon mène une existence pleinement satisfaisante. Pourtant, Il a suffi d’un échange de regards avec un inconnu croisé dans la rue pour qu’elle renonce à tout. Lorsqu’Alice Loudon se lance tête baissée dans sa relation avec Adam Thallis, elle ne connaît rien de lui, pas même son nom. Sous l’emprise de la passion, elle quitte son compagnon pour aller vivre avec Adam et l’épouse dans les deux mois qui suivent leur première rencontre. Mais à mesure qu’Alice découvre la personnalité complexe et tourmentée de son mari, ce qui n’était que simple curiosité va virer à l’obsession, menaçant peu à peu son couple et son équilibre mental. En fouillant dans le passé d’Adam, c’est sa propre vie qu’elle met bientôt en danger.
La dernière trace
10 janvier 2003. Pour la première fois, Elaine Dawson quitte son village du Somerset afin de répondre à l’invitation de Rosanna, une amie de la famille qui se marie à Gibraltar. Mais tous les vols au départ de Heathrow sont annulés à cause du brouillard. Alors que la jeune provinciale s’apprête à passer la nuit dans une salle d’embarquement, un aimable Londonien propose de l’héberger. Elaine accepte. On ne la reverra plus. Cinq ans plus tard, Rosanna doit écrire une série d’articles sur les disparitions inexpliquées pour un magazine. L’occasion pour elle de savoir enfin ce qui est arrivé à Elaine. La journaliste est loin de se douter qu’en s’engageant dans cette enquête elle va se mettre en danger de mort.
La mort dans les bois
Trois enfants ne ressortent pas des bois où ils ont pass l’après-midi. La police retrouve un seul garçon. Il ne se rappelle de rien : les deux autres ne réapparaîtront jamais. Vingt ans plus tard, Rob, l’unique rescapé, est devenu inspecteur de police. Quand une fillette est tuée dans ces mêmes bois, il est chargé de l’enquête et doit affronter les secrets d’un passé qui le hante.
Le bal des imposteurs
Sarah, qui était ma femme depuis plus de quarante-cinq ans, s’est tiré une balle dans la tête hier après-midi. C’est du moins ce que pense la police. Je joue le rôle du veuf éploré avec ardeur. Et crédibilité. Sarah m’a appris à vivre dans l’illusion – donc dans l’imposture. Je sais qu’elle ne s’est pas suicidée. Ma femme était trop sensée, trop ancrée dans la réalité pour se supprimer. Des remords, pour ce qu’elle a fait dans le passé ? Je suis sûr que non. De la culpabilité ? Ce sentiment lui était étranger. Je l’ai tuée. Son geste accompli, James Farell, seul dans son château de Cornouailles, se souvient, raconte, tente d’élucider les secrets de sa vie. Comment, étudiant à Oxford, il était promis à une brillante carrière musicale. Comment un matin, à Hyde Park, il rencontra Ella Harcourt, la cousine germaine de Sarah. Pourquoi, follement épris de Ella, il en vint à épouser Sarah. A remonter ainsi le temps, à réveiller sa jeunesse, à en raviver les passions, saisira-t-il que le vrai crime fut alors d’avoir tué l’amour ? Coup d’essai valant coup de maître, Le Bal des imposteurs a été un fulgurant succès en Grande-Bretagne, d’emblée traduit en quinze langues, déjà en cours d’adaptation au cinéma. Son auteur, Richard Mason, qui en avait commencé la rédaction à l’âge de dix-huit ans, et en a aujourd’hui vingt et un, compte d’ores et déjà comme l’un des grands romanciers internationaux.
Pas de berceuse pour Fanny
Elle s’est absentée pour deux heures seulement. David, son mari, était censé surveiller leur petite fille âgée de deux semaines. Mais quand Alice Francourt entre dans la chambre du bébé, le cauchemar commence. Car, Alice en est certaine, le nourrisson qui dort dans ce berceau n’est pas sa petite fille. C’est un bébé inconnu. Son mari refuse de la croire et devient de plus en plus agressif. Il jure qu’elle est folle ou qu’elle ment. Alice doit à tout prix convaincre la police qu’elle dit vrai. Sinon, il sera trop tard.
La vengeance dans la peau
Jason Bourne prit la clé fixée par une bande adhésive au plafond du placard, l’inséra dans la serrure et ouvrit le petit coffre. Dedans il y avait deux automatiques démontés, quatre cordes de piano soudées à des poignées qu’il pouvait dissimuler dans ses paumes, trois passeports valides sous trois noms différents, et six charges de plastic capables de faire sauter des pièces entières. Il se servirait de tout. Jason Bourne allait devenir le terroriste que jamais personne n’avait osé imaginer dans le pire de ses cauchemars. Un suspense vertigineux signé Ludlum. Maintenant un grand film avec Matt Damon. Dans l’édition de 1993 : « Tu n’as plus de balles, lança Carlos à Bourne qui le regardait bouche bée. Treize ans, Delta. Treize abominables années d’attente. Mais maintenant, le monde entier saura qui a gagné. » Le chacal leva son arme et fit feu…
Les morsures du passé
Dans la pièce, cinq corps. Ceux des membres d’une même famille. Une balle dans la tête, le père respire encore faiblement. De toute évidence, cet homme couvert de dettes a décidé d’assassiner les siens avant de se donner la mort. Appelée sur les lieux, l’enquêtrice D. D. Warren comprend immédiatement que l’affaire est plus compliquée qu’il n’y paraît : sur la table du dîner, six couverts avaient été dressés…
Le fond de l’impasse
Emma Davey est assassinée, la tête recouverte d’un sac plastique et rouée de coups. Sa soeur, Lizzie, officier de police, est chargée de traquer et de séduire le meurtrier en jouant de ses fantasmes. La raison semble justifier les moyens et le présumé coupable tombe dans ses filets et… dans la Tamise. Il sera trop tard lorsque la justice conclura à l’innocence de cet homme. Lizzie, rongée par le remords, est victime, à son tour, d’une violente agression dont elle sort meurtrie physiquement et moralement. C’est dans son excentrique appartement londonien, le beffroi d’une église désaffectée, qu’elle fera la connaissance de Joe. Ce géant attentionné s’intéresse de très près au tueur qui rôde autour des bonnes copines de Lizzie. Mais attention, les amis des amis ne sont pas toujours des amis !Auteur de dix romans policiers, Frances Fyfield a reçu le Grand Prix de littérature policière en 1998. Elle excelle dans l’analyse psychologique des pervers, s’y régale et le lecteur aussi. Frissons garantis.–Claude Mesplède
Le cueilleur de fraises
Lorsque sa meilleure amie Caro est retrouvée assassinée, Jette jure publiquement de la venger, attirant ainsi sur elle l’attention du meurtrier. Chaque jour, Jette essaie de se reconstruire et d’oublier. Elle fait bientôt la connaissance d’un garçon qui semble pouvoir lui redonner le goût de vivre et tombe éperdument amoureuse. Une rencontre qui pourrait l’aider à surmonter la mort de son amie. Peut-être. Un thriller psychologique qui transforme le lecteur en spectateur impuissant.
Lumière noire
472 jours : c’est le temps qu’a passé Flora aux mains de son bourreau. 472 jours plongée dans un abîme de ténèbres, à n’espérer qu’une chose : survivre.
Sortie miraculeusement de cette épreuve, elle cherche depuis à retrouver une existence normale. Pourtant, les murs de sa chambre sont tapissés de photos de filles disparues. Quand, à la recherche de l’une d’elles, Flora se fait de nouveau kidnapper, le commandant D.D. Warren comprend qu’un prédateur court les rues de Boston, qui s’assurera cette fois que Flora ne revoie jamais la lumière. Après le succès du Saut de l’ange, Lisa Gardner, l’un des grands noms du thriller psychologique, se met dans la peau d’une femme pourchassée par son passé, dans une enquête qui nous confronte aux plus insoupçonnables déviances humaines.
Le pasteur détective
Charles et Tess sont jeunes, beaux et ils s’aiment. Mieux, ils veulent se marier et avoir une ribambelle d’enfants. Intention louable, certes, et pourtant le père de Charles n’est pas d’accord. Tess est charmante bien sûr, mais elle a le défaut d’être la fille d’un criminel expédié au gibet des années auparavant pour le meurtre d’une ville dame. De là à s’imaginer qu’elle cache dans ses gènes une tendance au meurtre, il n’y a qu’un pas. Alors l’idéal, pour laver Tess de cette tache originelle, serait d’innocenter son père. Seulement voilà. A l’époque, c’est l’inspecteur Wexford qui menait l’enquête. Et il sait fort bien qu’on n’a pas pendu un innocent…. Une enquête de l’inspecteur Wexford, par la reine du roman policier » psychologique « .
Le mystère Sammy Went
Et si vous appreniez que toute votre vie repose sur un mensonge ? Kim, une Australienne de trente ans, est sous le choc. Un inconnu vient de lui révéler qu’elle s’appelle en réalité Sammy Went, qu’elle a été enlevée vingt-huit ans auparavant et que sa vraie famille l’attend aux États-Unis. Kim n’en croit pas un mot mais ne peut s’empêcher de se poser des questions. Pourquoi est-il impossible de mettre la main sur des photos d’elle bébé ? Et qui est cette petite Sammy, enfant disparue, à qui elle ressemble tant ? Pour remonter le fil de son histoire, Kim devra affronter les dangers et la terrible réalité qui l’attendent dans le Kentucky. Un roman à suspense de haute volée qui mêle kidnapping, secrets de famille et conspiration.
Mes conversations avec les tueurs
« Cela fait trente ans que j’interroge les serial killers. J’ai rencontré plus de soixante-dix de ces tueurs et tueuses multirécidivistes aux quatre coins de la planète. J’ai accumulé des ouvrages de criminologie, journaux de faits divers, archives de police, photos et vidéos de scènes de crimes, confessions, dessins et écrits. Dans mes livres, j’ai toujours présenté les serial killers de manière distanciée, sans porter le moindre jugement ni faire part de mon ressenti. Dans Mes conversations avec les tueurs, je désire vous faire partager l’envers du décor. Vous montrer l’épreuve physique de ces rencontres, les moments d’angoisse qui précèdent les entretiens, la peur, parfois. Vingt ans plus tard, mon corps se souvient encore de la terreur qui s’est emparée de moi lors de ma rencontre avec Gerard Schaefer, un ex-policier accusé du meurtre de 34 femmes en Floride. Dès l’instant où je me suis trouvé face à lui, j’ai eu le sentiment d’être confronté au Mal absolu. Je suis préparé, mentalement, à rencontrer ces « personnages » plus ou moins hors du commun. Mais à mon retour à Paris, je me demande parfois si ces voyages ont eu lieu. Oui, ils sont bien réels. Et incroyables. »
Le chat qui n’était pas là
Jim Qwilleran entreprend un voyage organisé en Ecosse en compagnie de touristes de Pickax. Mais tout ne se passe pas selon le plan prévu. Un coffret à bijoux est dérobé, le chauffeur du minibus disparait et l’organisatrice du voyage est victime d’une crise cardiaque. Au retour, pourquoi Koko – qui n’était pas là – s’intéresse-t-il autant aux enregistrements de Qwilleran ? Pourquoi lèche-t-il certaines photographies ? Pourquoi manifeste-t-il une telle hostilité envers une certaine visiteuse ? Persuadé que l’étrange comportement de Koko n’est pas gratuit, Qwilleran va se lancer sur le sentier de la guerre, mais il faudra que Yom Yom soit enlevée puis retrouvée, pour que tout s’éclaire grâce à notre limier félin.
Spellman et associés
Qui pourrait résister aux Spellman, la famille la plus sérieusement fêlée de la côte Ouest ? Certainement pas leur fille, Izzy, associée et néanmoins suspecte. Car, pour ces détectives-nés, rien n’est plus excitant que d’espionner, filer, faire chanter les autres Spellman de préférence. Mélange détonant d’humour et de suspense, ce best-seller international (et son héroïne) a fait craquer Hollywood : vous n’êtes pas près d’oublier les Spellman !
Le chat qui avait un don
Jim Qwilleran, le célèbre chroniqueur du journal local, est de retour, accompagné des non moins fameux Koko et Yom Yom, ses deux inséparables siamois aux dons renversants.
Leur vie suivait tranquillement son cours dans la charmante bourgade faussement tranquille de Pickax, jusqu’à ce que tout déraille : un incendie volontaire ravage le » Vieux Mastodonte « , un bâtiment emblématique de la ville, tandis qu’une jeune femme appréciée de tous, Libby Simms, meurt dans d’étranges circonstances… Si l’on ajoute à ces tristes événements le départ inopiné pour Paris de Polly, la libraire du Coffre du pirate et élue du coeur de Qwill, de sombres jours s’annoncent pour les détectives à moustaches du comté de Moose…
Buckingham palace gardens
Thomas Pitt, agent des services très secrets de la reine Victoria, la Special Branch, et son supérieur, le glacial Narraway, sont convoqués de toute urgence au palais de Buckingham. L’impensable vient de se produire : un crime barbare a été commis sur la personne d’une prostituée, retrouvée au petit matin dans un placard. La jeune femme était «invitée» à une fête très privée donnée par le prince de Galles. Le coupable doit être désigné et l’affaire étouffée au plus vite, avant que le scandale ne s’ébruite hors du palais, au risque de mettre la Couronne en péril.
Long spoon lane
Réveillé en pleine nuit par Victor Narraway, chef de la Special Branch, Thomas Pitt est sommé de se rendre d’urgence dans Myrdle Street où des anarchistes menacent de faire sauter une bombe. Après une course-poursuite effrénée, il parvient à arrêter deux d’entre eux, mais découvre dans leur Q.G. de Long Spoon Lane le cadavre de leur chef, fils d’un lord très influent, abattu d’une balle dans la nuque. Intrigué par ce meurtre et les accusations plutôt troublantes des deux anarchistes qui dénoncent une corruption policière étendue, Pitt décide d’enquêter avec l’aide de son ancien acolyte du commissariat de Bow Street, l’inspecteur Tellman. Il découvre alors une conspiration policière et politique terrifiante, orchestrée par le Cercle intérieur, qui ne lui laissera pas d’autre choix que de s’allier avec son pire ennemi, Lord Charles Voisey.
Half moon street
En cet automne 1891, Londres semble bien triste au commissaire Thomas Pitt, depuis que sa chère Charlotte est partie se reposer à Paris. Mais il n’a guère le temps de sombrer dans le spleen, car la découverte du corps d’un homme habillé en femme dans une barque, sur la Tamise, l’entraîne dans une nouvelle aventure pleine de mystère. Qui était la victime et pourquoi cette mise en scène macabre ? Aidé de l’irascible sergent Tellman, Pitt fouille les consciences et les cœurs de la haute société, arpentant les coulisses des théâtres où se jouent les pièces d’un certain Oscar Wilde. Gentlemen et ladies irréprochables peuvent parfois cacher de bien dérangeantes vérités.
L’incendiaire de Highgate
Le paisible quartier de Highgate a été le théâtre d’un terrible incendie qui a coûté la vie à Clemency Shaw, l’épouse d’un médecin reconnu. L’inspecteur Thomas Pitt et sa femme, Charlotte, auront à déterminer s’il s’agit là d’un simple accident ou d’un acte criminel. Méthodiquement, le célèbre duo de détectives tente de tracer un portrait du couple afin de rendre justice. « Anne Perry a un secret. Elle est capable de conférer au roman policier historique une véritable profondeur humaine. Le moins que le lecteur puisse attendre de ce genre de livres, c’est la perfection du décor et la fidélité à l’esprit d’une époque. Sur ce point, Anne Perry est irréprochable. Elle fait revivre à la perfection l’Angleterre victorienne. »
La corruptrice
Dans le milieu impitoyable où l’a propulsée son mariage, on obéit ou on meurt. Caroline le sait mieux que jamais depuis l’assassinat de son époux, car son ex beau-père, Parrain du New Jersey, lui a aussitôt enlevé son fils en usant de son influence tentaculaire. Désormais prête à tout pour retrouver le petit Andrew, la jeune femme intrigue dans l’ombre, séduisant l’ennemi mortel du Parrain, auquel elle extorque une information monnayable à prix d’or. Mais son amant meurt à son tour assassiné, et elle se voit obligée de se cacher pour fuir la police lancée à ses trousses. Condamnée à la rue, sans argent ni papiers, Caroline croise le chemin d’un pasteur, un homme qui a lui-même connu la prison et lui offre l’hospitalité. Elle accepte, aux abois, décidée une fois de plus à user de ses charmes pour survivre et récupérer son enfant.
Automne 1830, dans un Paris fiévreux encore sous le choc des Journées révolutionnaires de juillet, le gouvernement de Louis-Philippe, nouveau roi des Français, tente de juguler une opposition divisée mais virulente.
Valentin Verne, jeune inspecteur du service des mœurs, est muté à la brigade de Sûreté fondée quelques années plus tôt par le fameux Vidocq. Il doit élucider une série de morts étranges susceptible de déstabiliser le régime.
Car la science qui progresse, mêlée à l’ésotérisme alors en vogue, inspire un nouveau type de criminalité. Féru de chimie et de médecine, cultivant un goût pour le mystérieux et l’irrationnel, Valentin Verne sait en décrypter les codes. Nommé par le préfet à la tête du « bureau des affaires occultes », un service spécial chargé de traquer ces malfaiteurs modernes, il va donner la preuve de ses extraordinaires compétences.
Mais qui est vraiment ce policier solitaire, obsédé par la traque d’un criminel insaisissable connu sous le seul surnom du Vicaire ?
Qui se cache derrière ce visage angélique où perce parfois une férocité déroutante ?
Qui est le chasseur, qui est le gibier ?
Dans la lignée des grands détectives de l’Histoire, de Vidocq à Lecoq en passant par Nicolas le Floch, un nouveau héros est né.
Le crime des roses
La charmante et jeune Brooke a-t-elle la poisse ? Son père est mort d’un cancer lorsqu’elle était enfant et sa mère a été assassinée par son beau-père quelques années plus tard. Ce » crime des roses » – ainsi nommé parce que sa mère a été découverte sans vie sur un lit de roses blanches tâchées de sang – semble lui coller à la peau. Même ses amours se sont soldés par des échecs cuisants. Et maintenant, sa collègue vient de se faire descendre au volant de sa propre voiture. Brooke était la cible, bien sûr… Son beau-père, qui vient de s’évader de prison, a juré de se venger de son témoignage, qui lui a valu la prison a perpétuité. Où Brooke ira-t-elle se réfugier ? Et en qui peut-elle avoir confiance ? Le beau Vincent, un écrivain célèbre, pour quelle raison s’intéresse-t-il tant à elle ? Pendant ce temps-là, Brooke ne cesse de recevoir des roses blanches, accompagnées des menaces de son beau-père en cavale. Un beau-père doué pour l’atrocité : il aime infliger la torture et sait manipuler tous ceux qui vivent dans l’entourage de Brooke… et qui ont quelque chose à cacher.
La disparue de la cabine numéro 10
Une semaine à bord d’un yacht luxueux, à sillonner les eaux du Grand Nord avec seulement une poignée de passagers. Pour Laura Blacklock, journaliste, c’est l’occasion rêvée de s’éloigner de la capitale anglaise. D’ailleurs, le départ tient toutes ses promesses : le ciel est clair, la mer est calme et les invités très sélects de l’ Aurora rivalisent de jovialité. Le champagne coule à flots, les conversations ne manquent pas de piquant et la cabine est un véritable paradis sur l’eau. Mais dès le premier soir, le vent tourne. Laura, réveillée en pleine nuit, voit une passagère être passée par-dessus bord. Le problème ? Personne ne manque à l’appel. L’ Aurora poursuit sa route comme si de rien n’était. Le drame ? Laura sait qu’elle ne s’est pas trompée. Ce qui fait d’elle l’unique témoin d’un meurtre, dont l’auteur se trouve toujours à bord.
On ne peut pas tout avoir
En cette fin de printemps 1990, Ivor Tesham, étoile montante du gouvernement de Margaret Thatcher et ardent coureur de jupons, décide d’offrir à sa maîtresse un cadeau d’anniversaire mémorable. Il manigance ce que l’on appelle une sex aventure. Il la fait enlever en pleine rue. Elle est consentante, bien qu’elle ne soupçonne rien. Ligotée et bâillonnée, il la fait livrer à domicile. Mais tout ne se passe pas comme prévu… La mort très médiatisée de la séduisante Hebe déclenche une enquête qu’Ivor, jeune ministre ambitieux, souhaite éviter à tout prix. Le scandale est étouffé mais la mort d’une deuxième femme met Ivor au pied du mur: il n’arrive pas à fuir les souvenirs qui le hantent.
Tu me plais
Quand, par une succession de hasards, Vincent se retrouve assis face à Stéphanie sur la ligne 1 du métro parisien, la scène a tout d’une belle rencontre. La jeune femme tombe immédiatement sous son charme ; lui, semble fasciné par le galbe et la finesse de son cou. Mais ce coup de foudre pourrait bien se révéler fatal. Car, sous ses airs enjôleurs, Vincent dissimule de terrifiantes pulsions. Hasard de l’existence ou force du destin, comment sauver Stéphanie des griffes de ce funeste séducteur ? Par l’auteur des best-sellers Qui ? et Adieu, finaliste du Prix des lecteurs du Livre de Poche, un thriller inédit porté par un suspense implacable et une construction virtuose, au rythme effréné du métro.
Am Stram Gram
Deux jeunes gens sont enlevés et séquestrés au fond d’une piscine vide dont il est impossible de s’échapper. À côté d’eux, un pistolet chargé d’une unique balle et un téléphone portable avec suffisamment de batterie pour délivrer un terrible message: « Vous devez tuer pour vivre. » Les jours passent, la faim et la soif s’intensifient, l’angoisse monte. Jusqu’à l’issue fatale. Les enlèvements se répètent. Ce sont les crimes les plus pervers auxquels le commandant Helen Grace ait été confrontée. Si elle n’avait pas parlé avec les survivants traumatisés, elle ne pourrait pas y croire. Helen connaît les côtés sombres de la nature humaine, y compris la sienne; pourtant, cette affaire et ces victimes apparemment sans lien entre elles la laissent perplexe. Rien ne sera plus terrifiant que la vérité.
Oedipe roi
Il avait traversé silencieusement une ville qui suintait la mort. Pyloros, le portier de la citadelle, l’avait conduit jusqu’au vestibule du palais où les servantes l’avaient accueilli, selon le rituel. Souvent interrogé sur les circonstances de cette arrivée, Pyloros n’avait pu rapporter que trois choses sur l’étrange voyageur : la rareté de ses paroles, l’absence de tout bagage, l’enflure insolite de ses sandales. D’où venait-il ?
Noir comme le souvenir
On a décapité un ange, l’ange de pierre qui veillait sur la tombe de Hayley une gamine morte il y a vingt ans et qui fut-elle -même décapitée. Pour Caroline, la mère c’est le cauchemar qui continue. Comme s’il ne suffisait pas d’avoir perdu sa fille, quelqu’un semble vouloir ressusciter ce douloureux passé.
A couteaux tirés
« C,
Figure-toi que je serai dans ton secteur d’ici une quinzaine de jours. Un séminaire à Santa Cruz. Je n’ai rien de prévu le 16 octobre, un mardi, et j’aimerais beaucoup t’inviter à dîner. Choisis le restaurant, j’enverrai la facture au gouvernement.
Je t’embrasse,
H »
Henry se rend en Californie et revoit à cette occasion Celia, son ancienne maîtresse. Tous deux ont été agents secrets, à Vienne, et ne se sont pas revus depuis l’attentat terroriste qui a coûté la vie à cent vingt personnes dans un avion, cinq ans plus tôt. Celia a quitté la CIA et a fondé une famille. Malgré les sentiments qu’il éprouve encore, Henry a aujourd’hui une mission à remplir : découvrir ce qu’elle sait sur cette terrible journée où tout a basculé.
Un huis clos époustouflant où un simple dîner de retrouvailles, du moins en apparence, se transforme en habile joute verbale, chacun jonglant entre discussion personnelle et professionnelle, chacun poussant l’autre dans ses retranchements pour sauver sa peau… Une plongée magistrale dans les coulisses de l’espionnage et de l’antiterrorisme.
« Un tour de force splendide. » The Washington Post
« Olen Steinhauer est le digne héritier de John Le Carré. » Daily Mail
Op-Center – Tomes 5, 6, 7 et 10
Tome 5 – Rapport de force – Tragique événement pour Op-Center : l’un de ses agents vient d’être abattu en pleine rue, à Madrid où il menait une mission diplomatique secrète. Les meurtriers ? Les terroristes basques sont bien sûr soupçonnés. Mais ne s’agit-il pas plutôt d’une machination ? … L’Europe tout entière qui risque de se transformer en une véritable poudrière.
Tome 6 – Etat de siège – État de siège à l’ONU : un groupe d’ex-Casques bleus vient de s’emparer de diplomates et de leurs invités lors d’une réception officielle à New York. Parmi les otages, la fille de Paul Hood, l’homme à la tête d’Op-center. 100 millions de dollars : le prix de la rançon. L’enjeu est grave.
Tome 7 – Diviser pour régner – La crise internationale et le désordre politique sont à leur paroxysme. Situation idéale pour s’emparer du pouvoir. Mais pour régner, il faut diviser. Attiser les tensions entre l’Iran et l’Azerbaïdjan et impliquer les États-Unis et la Russie : c’est le but d’un redoutable réseau terroriste.
Tome 10 – Chantage au nucléaire – Lorsqu’un homme d’affaires influent prend goût au terrorisme,
le pire est à craindre … Panique en Asie du Sud-Est ! Au large des côtes indonésiennes, non loin d’un site de décharge nucléaire utilisé par la Chine, la Corée et le Japon, la collision entre un mystérieux yacht et le sampan de pirates singapouriens fait de nombreuses victimes…
La menace
Quand Rachel épouse David Kerthen, un bel et brillant avocat, elle n’en croit pas sa chance. Loin de Londres et des années de vache maigre, elle découvre les joies de la vie de famille auprès de l’affectueux petit garçon de son mari, Jamie. Au coeur des Cornouailles, dans un manoir surplombant les déchirures de la côte et l’Océan impétueux, elle joue déjà à la châtelaine. Mais le conte de fées se ternit vite : le souvenir de Nina, la première épouse de David, disparue deux ans auparavant, hante encore les couloirs de cette demeure séculaire. Et peu à peu son petit Jamie adopte vis-à-vis de Rachel un comportement inquiétant, prophétisant l’avenir et niant certaines réalités.Qu’est-il arrivé à Nina ? Que cache le sourire du séduisant avocat ? Et Rachel, que vient-elle faire dans cette histoire ? Tandis que la suspicion commence à ronger le jeune couple, Jamie prédit à Rachel qu’elle mourra à Noël. Dans un huis clos glaçant où les éléments se déchaînent, l’auteur du best-seller Le Doute revient avec un nouveau supplice psychologique qui capture le lecteur à la croisée du Rebecca de Daphné Du Maurier et du Sixième Sens de M. Night Shyamalan pour ne le délivrer qu’à la toute dernière page.
Un peu plus loin sur la droite
Ex-flic, Louis Kehlweiler découvre par hasard un petit os humain dans un excrément de chien. Il note les habitudes de chaque promeneur de chien du secteur tandis que Vandoosler, son jeune archiviste, épluche les journaux pour déceler la moindre mort suspecte. Leurs recoupements finissent par les conduire à Port-Nicolas, village perdu de la côte du Finistère, où la vieille Marie a chuté d’une falaise deux semaines auparavant. La gendarmerie avait conclu à l’accident mais Kehlweiler refuse de lâcher le morceau. Pour imposer son point de vue, il doit se confronter aux élus et aux notables, ainsi qu’aux rumeurs et aux rancœurs de la bourgade. Un défi comme aime les relever Kehlweiler, cet esprit indépendant qui n’a pas peur de plonger les deux mains dans la boue. En plus d’une enquête superbement bâtie, l’histoire est soutenue par une écriture brillante et concise, parfois en forme de confession voilée, agrémentée de dialogues truculents et de personnages délicieux et savants. Un grand plaisir.
Un tueur pour la mariée
Peu d’époques se prêtent aussi bien au récit criminel que la Renaissance italienne. On le savait déjà par l’Histoire officielle, l’épopée des Borgia ou celle des Médicis. Avec ce nouveau Grand Détective, Sigismondo et ses pittoresques acolytes, on pénètre dans les arcanes les plus mystérieux de cette période fastueuse et troublée à la fois. Enlèvements, meurtres, amours contrariées, vengeances familiales, fausses identités, nains et religieuses : tous les ingrédients d’un whodunit historique sont réunis. Laissons-nous emporter.
Op-Center (Tome 1 à 4)
Tome 1 – Au cœur du dispositif de défense américaine, Op-center est une cellule de crise presque clandestine, composée d’experts ultra-performants, d’agents surentraînés. Tous des hommes d’élite. Leurs missions : intervenir à la demande du gouvernement, en toute dernière extrémité, pour les opérations délicates ou à haut risque … Dans vingt-quatre heures, ce pourrait être la catastrophe.
Tome 2 – Image virtuelle – Aujourd’hui la suprématie de la cellule de crise américaine est gravement menacée. L’ennemi ? Une équipe d’élite au service d’officiers putschistes dans la Russie post-communiste. Leur but ? Restaurer la grandeur de l’ex-Union soviétique. Coup d’État, sabotage, manipulation des réseaux mafieux, trafics de stupéfiants, aucun moyen ne répugne à ces spécialistes surentraînés … C’est la paix mondiale qui en dépend.
Tome 3 – Jeux de pouvoir – Nouvelle mission sur le fil du rasoir pour les experts d’Op-Center : lutter contre les groupes néo-nazis qui menacent l’équilibre démocratique dans l’Allemagne réunifiée et en France. Les terroristes emploient tous les moyens pour propager leur doctrine de mort et de haine raciale. Ils iront jusqu’à l’attentat meurtrier. Des quartiers chauds de Hambourg aux ruelles du vieux Toulouse … Paul Hood et ses collaborateurs d’élite n’ont pas droit à l’erreur, ils doivent absolument gagner la partie.
Tome 4 – Actes de guerre – L’ennemi ? Des séparatistes kurdes. Alors qu’en Turquie l’équipe du général Rodgers teste le ROC – un véhicule armé, équipé des meilleures technologies de pointe et conçu pour des missions d’espionnage et d’infiltration -, un commando les enlève et les transfère dans une base secrète, au Liban. Plus que la vie de quelques hommes, c’est l’équilibre international qui est menacé.
Power Games (04) – Frappe biologique
Ce n’est plus un cauchemar.
C’est peut-être déjà la réalité.
L’arme parfaite. Celle qui a le pouvoir de détruire l’humanité entière mais permet de cibler ses victimes.
Un virus dormant qu’une simple injection de microcapsules permet d’activer.
Toutes les capitales du monde sont en état d’alerte. Il faut trouver la riposte à ce fléau qui menace la planète.
Maintenant ou jamais.
Avec Dette d’honneur et Sur ordre, Tom Clancy avait malheureusement deviné et décrit l’horreur et le terrorisme aveugle d’aujourd’hui. Frappe biologique, dont la vraisemblance géopolitique rattrape la pire des actualités, ne fait que confirmer que toute ressemblance avec des situations ou des personnages réels n’ont plus rien d’imaginaire.