
Stupeur et Tremblements
Au début des années 90, la narratrice est embauchée par Yumimoto, une puissante firme japonaise. Elle va découvrir à ses dépens l’implacable rigueur de l’autorité d’entreprise, en même temps que les codes de conduite, incompréhensibles au profane, qui gouvernent la vie sociale au pays du Soleil levant. D’erreurs en maladresses et en échecs, commence alors pour elle, comme dans un mauvais rêve, la descente inexorable dans les degrés de la hiérarchie, jusqu’au rang de surveillante des toilettes, celui de l’humiliation dernière. Une course absurde vers l’abîme – image de la vie -, où l’humour percutant d’Amélie Nothomb fait mouche à chaque ligne.
Frappe-toi le cœur
Marie a tous les dons de la terre, mais est atteinte d’une malédiction : elle est jalouse. Pour son vingt-sixième roman, Amélie Nothomb nous conte le grand roman de la jalousie.
Le sabotage amoureux
Saviez-vous qu’un pays communiste, c’est un pays où il y a des ventilateurs? Que de 1972 à 1975, une guerre mondiale a fait rage dans la cité-ghetto de San Li Tun, à Pékin ? Qu’un vélo est en réalité un cheval ? Que passé la puberté, tout le reste n’est qu’un épilogue? Vous l’apprendrez et bien d’autres choses encore dans ce roman inclassable, épique et drôle, fantastique et tragique, qui nous conte aussi une histoire d’amour authentique, absolu, celui qui peut naître dans un cœur de sept ans. Un sabotage amoureux : sabotage, comme sous les sabots d’un cheval qui est un vélo… Avec ce roman, son deuxième livre, Amélie Nothomb s’est imposée comme un des noms les plus prometteurs de la jeune génération littéraire.
Les prénoms épicènes
Les prénoms épicènes peuvent être à la fois masculins et féminins. A ce nom savant on préfère souvent le terme de prénoms mixtes. Derrière le titre d’Amélie Nothomb, l’histoire d’une relation père fille. Ce roman sera en quelque sorte une contrepartie du précédent « Frappe-toi le cœur », qui traitait d’une relation mère fille.
Les prénoms épicènes
Les prénoms épicènes peuvent être à la fois masculins et féminins. A ce nom savant on préfère souvent le terme de prénoms mixtes. Derrière le titre d’Amélie Nothomb, l’histoire d’une relation père fille. Ce roman sera en quelque sorte une contrepartie du précédent « Frappe-toi le cœur », qui traitait d’une relation mère fille.
Le crime du comte Neville
Cette année, Amélie Nothomb fait sa rentrée avec un conte de fées virant à la tragédie grecque. « Le crime du comte Neville » raconte l’histoire d’une jeune châtelaine mal dans sa peau, qui cherche à se faire assassiner par son père, pour aider ce dernier à réaliser sans dommages la prédiction d’une voyante rencontrée à l’issue d’une fugue qui n’en est pas une.
Ces 10 livres sont dans un bon état.
Françoise Sagan : Un chagrin de passage
Raphaëlle Giordano : Le jour où les lions mangeront de la salade verte
Amélie Nothomb : Frappe-toi le cœur
Douglas Kennedy : Une relation dangereuse
Peter Mayle : Le Bonheur en Provence
Primo Levi : Si c’est un homme
Michaël Darmon et Yves Derai : Belle-Amie
Tahar Ben Jelloun : Le nuit sacrée
Didier van Cauwelaert : La vie interdite
Eve de Castro : Le soir et le matin suivant
Barbe bleue
Saturnine, à la recherche d’un appartement, trouve une colocation dans un luxueux hôtel particulier parisien. Mais il lui faut vivre avec le propriétaire et obéir à ses conditions : ne jamais entrer dans la pièce interdite, partager le dîner du maître des lieux, et devenir sa confidente, au péril de sa vie. Car on attribue à ce mystérieux aristocrate espagnol la disparition des huit colocataires précédentes. Avec ce Barbe bleue contemporain, Amélie Nothomb propose une réécriture du conte cruel de Charles Perrault, en le nourrissant des dialogues incisifs dont elle a le secret. Elle crée deux personnages originaux, engagés dans un duel à mort pour défendre leurs valeurs et leur existence même. La forme quasi-dramatique de ce roman permettra aux élèves de réfléchir à la forme et aux enjeux du dialogue argumentatif, au processus de création d’un personnage, et à l’exercice de style qui aboutit à la modernisation d’un texte classique et d’un mythe littéraire. L’appareil pédagogique est suivi d’une interview exclusive de l’auteur !
Stupeur et Tremblements
TEXTE INTEGRAL – Récemment embauchée par Yumimoto, une puissante firme japonaise, Amélie, la narratrice, va découvrir à ses dépens l’implacable rigueur de l’autorité d’entreprise, en même temps que les codes de conduite incompréhensibles au profane, qui gouvernent la vie sociale au pays du Soleil levant.
Ce roman a donné lieu à un film réalisé par Alain Corneau qui a confié le rôle principal à Sylvie Testud.
À la fin de l’ouvrage, une interview exclusive d’Amélie Nothomb et de Sylvie Testud.
Acide sulfurique
Concentration : la dernière-née des émissions télévisées. On enlève des gens, on recrute des kapos, on filme… Tout de suite, le plus haut score de téléspectateurs, l’audimat absolu qui se nourrit autant de la cruauté filmée que de l’horreur dénoncée. Étudiante à la beauté stupéfiante, Pannonique est devenue CKZ 114 dans le camp de concentration télévisé.
Pétronille
« Au premier regard je la trouvai si jeune que je la pris pour un garçon de quinze ans. » Comment l’écrivain à succès rencontre une fan, devenue romancière à son tour, bientôt complice pour partager son grand plaisir revendiqué : le champagne. Une histoire d’amitié enivrante.
Barbe bleue
Saturnine, à la recherche d’un appartement, trouve une colocation dans un luxueux hôtel particulier parisien. Mais il lui faut vivre avec le propriétaire et obéir à ses conditions : ne jamais entrer dans la pièce interdite, partager le dîner du maître des lieux, et devenir sa confidente, au péril de sa vie. Car on attribue à ce mystérieux aristocrate espagnol la disparition des huit colocataires précédentes… Avec ce Barbe bleue contemporain, Amélie Nothomb propose une réécriture du conte cruel de Charles Perrault, en le nourrissant des dialogues incisifs dont elle a le secret. Elle crée deux personnages originaux, engagés dans un duel à mort pour défendre leurs valeurs et leur existence même. La forme quasi-dramatique de ce roman permettra aux élèves de réfléchir à la forme et aux enjeux du dialogue argumentatif, au processus de création d’un personnage, et à l’exercice de style qui aboutit à la modernisation d’un texte classique et d’un mythe littéraire. L’appareil pédagogique est suivi d’une interview exclusive de l’auteur !
Le crime du comte Neville
Cette année, Amélie Nothomb fait sa rentrée avec un conte de fées virant à la tragédie grecque. « Le crime du comte Neville » raconte l’histoire d’une jeune châtelaine mal dans sa peau, qui cherche à se faire assassiner par son père, pour aider ce dernier à réaliser sans dommages la prédiction d’une voyante rencontrée à l’issue d’une fugue qui n’en est pas une.
Tuer le père
« Allez savoir ce qui se passe dans la tête d’un joueur. » En 2010, Amélie Nothomb est intriguée par Joe Whip et Norman Terence, deux magiciens américains, croisés dans une fête, que tout semble séparer.
Une forme de vie
« Ce matin-là, je reçus une lettre d’un genre nouveau. » Ce roman relate une correspondance fictive entre Amélie Nothomb, l’auteur, et Melvin Mapple, un soldat de 2e classe de l’armée américaine posté à Bagdad en Irak. Cette relation épistolaire mène à une certaine amitié entre l’écrivaine et ce soldat devenu obèse, en tout cas une relation particulière qui ramène l’auteur à ses propres conceptions de la communication écrite et des échanges avec ses lecteurs. Elle va aider son interlocuteur à renouer avec la réalité tout en faisant référence à sa propre réalité. Elle a l’impression qu’il est honnête avec elle sans comme beaucoup d’autres se perdre dans des prétéritions qui l’exaspèrent.
Les Aérostats
La jeunesse est un talent, il faut des années pour l’acquérir. Dans ce nouveau livre, la romancière se raconte à travers le personnage d’une étudiante bruxelloise. Les aérostats sont des aéronefs dont la sustentation est due à un gaz plus léger que l’air. Elle nous emmène pour la première fois dans son pays natal. Ange, 19 ans « mène une vie assez banale » et étudie la philologie. Après avoir répondu à une petite annonce, elle donne des cours de littérature à Pie, un lycéen de 16 ans dyslexique.
Le fait du prince
« Le fait du prince » Un homme vole l’identité d’un inconnu. « Il y a un instant , entre la 15ème et la 16eme gorgée de champagne où tout homme est un aristocrate ».
Cosmétique de l’ennemi
Depuis Hygiène de l’assassin, elle est fidèle au poste ! Amélie Nothomb fait donc sa rentrée avec « Cosmétique de l’ennemi. » Au rythme – soutenu – d’un roman par an, on se demande bien comment elle peut encore nous surprendre. N’ayez crainte, elle y parvient… Coincé dans un aéroport alors qu’il s’apprêtait à embarquer pour Barcelone, l’homme d’affaires Jérôme Angust se voit contraint de supporter, en plus du retard de son avion, la logorrhée d’un étrange individu, bien décidé à lui imposer le récit de sa vie. Qui est donc ce Textor Texel qui le harcèle ? Pourquoi ce raseur a-t-il jeté son dévolu sur lui ? Le dialogue s’engage pourtant entre l’importun et sa victime, vif, alerte, ponctué de réparties cinglantes, prenant les allures d’une joute de haute tenue, et dévoile la passé trouble de Textor, en même temps que le malaise croissant de Jérôme. Car il se sent cerné, l’homme d’affaires irréprochable, par cet étranger qui semble si bien connaître les tréfonds de sa conscience et dont les crimes font douloureusement écho à un passé qu’il croyait enterré. Étranger, cet ennemi ? Pas tant que ça ! Et si, finalement, cette rencontre n’était pas tant le fruit du hasard que l’objet d’une préméditation diabolique destinée à l’anéantir ? Dans ce dialogue mené tambour battant, Amélie Nothomb s’en donne à cœur joie, faisant preuve une fois de plus de sa virtuosité. La phrase est vive, bondissante, corrosive, pour nous embarquer progressivement, mais sûrement, vers un retournement de situation dont l’auteur de « Mercure » a le secret. Gageons qu’une fois encore, elle recueillera vos suffrages… Laurence Demurger
Journal d’Hirondelle
« C’est une histoire d’amour dont les épisodes ont été mélangés par un fou. » A la suite d’un chagrin amoureux, le narrateur, 30 ans, coursier, devient insensible. Il perd son boulot pour en retrouver un autre, plus conforme à son nouvel état : tueur à gages. Pas d’états d’âme à viser la cible, s’acquitter d’un crime parfait. Sinon une excitation nouvelle, une soif d’accomplir un geste quasi divin. Un jour, on lui demande d’exécuter un ministre et toute sa famille et de rapporter sa serviette. Dans celle-ci, le journal intime de sa fille. La curiosité aura raison de tueur : il lit le cahier. Son comportement devient alors erratique et si l’usage de ses cinq sens lui revient, c’est pour une métamorphose qu’il n’aurait auparavant jamais pu envisager.
Stupeur et Tremblements
Au début des années 90, la narratrice est embauchée par Yumimoto, une puissante firme japonaise. Elle va découvrir à ses dépens l’implacable rigueur de l’autorité d’entreprise, en même temps que les codes de conduite, incompréhensibles au profane, qui gouvernent la vie sociale au pays du Soleil levant. D’erreurs en maladresses et en échecs, commence alors pour elle, comme dans un mauvais rêve, la descente inexorable dans les degrés de la hiérarchie, jusqu’au rang de surveillante des toilettes, celui de l’humiliation dernière. Une course absurde vers l’abîme – image de la vie -, où l’humour percutant d’Amélie Nothomb fait mouche à chaque ligne.
Biographie de la faim
L’auteur de Stupeur et tremblements (Grand Prix du roman de l’Académie française 1999) et de Métaphysique des tubes fait revivre ses souvenirs de petite enfance au Japon mais aussi à Pékin, à New York, au Bangladesh et autres lieux où l’a conduite la carrière d’un père diplomate. Au cœur du kaléidoscope : sa faim. Le mystère de la faim, la faim goinfre, joyeuse ou tragique et angoissante, quête perpétuelle d’un accomplissement inaccessible, qui explique autant l’histoire des peuples que celle des individus. Les figures du père, d’une nourrice japonaise, d’une sœur tendrement aimée se dessinent aussi dans ce récit pudique et sincère, maniant l’humour noir et la provocation. « La faim, c’est moi. »
Le sabotage amoureux
Saviez-vous qu’un pays communiste, c’est un pays où il y a des ventilateurs ? Que de 1972 à 1975, une guerre mondiale a fait rage dans la cité-ghetto de San Li Tun, à Pékin ? Qu’un vélo est en réalité un cheval ? Que passé la puberté, tout le reste n’est qu’un épilogue? Vous l’apprendrez et bien d’autres choses encore dans ce roman inclassable, épique et drôle, fantastique et tragique, qui nous conte aussi une histoire d’amour authentique, absolu, celui qui peut naître dans un cœur de sept ans. Un sabotage amoureux : sabotage, comme sous les sabots d’un cheval qui est un vélo… Avec ce roman, son deuxième livre, Amélie Nothomb s’est imposée comme un des noms les plus prometteurs de la jeune génération littéraire.
Stupeur et tremblements
Embauchée par la compagnie Yumimoto, Amélie espère bien pouvoir faire ses preuves dans ce pays qui la fascine tant depuis qu’elle y a séjourné enfant. C’est sans compter sur la subtilité des règles tacites qui régissent la société japonaise, sans compter encore sur le mépris de Mlle Mori, sa supérieure. Les humiliations et les vexations se succèdent et la soumission s’installe : Amélie pensait être traductrice, elle finira dame pipi de l’entreprise…
Tuer le père
« Allez savoir ce qui se passe dans la tête d’un joueur. » En 2010, Amélie Nothomb est intriguée par Joe Whip et Norman Terence, deux magiciens américains, croisés dans une fête, que tout semble séparer.