Livre en anglais – Kofi Awoonor, one of Ghana’s most accomplished poets, has for almost half a century committed himself to teaching, political engagement, and the literary arts. The one constant that has guided and shaped his many occupations and roles in life has been poetry. The Promise of Hope is a beautifully edited collection of some of Awoonor’s most arresting work spanning almost fifty years. Selected and edited by Awoonor’s friend and colleague Kofi Anyidoho, himself a prominent poet and academic in Ghana, The Promise of Hope contains much of Awoonor’s most recent unpublished poetry, along with many of his anthologized and classic poems. This engaging volume serves as a fitting contribution to the inaugural cohort of books in the African Poetry Book Series.
La condamnation du Hissein Habré pour crimes contre l’humanité a été décrite comme « un tournant pour la justice des droits humains en Afrique et au-delà ». Pour la première fois, un criminel de guerre africain était condamné sur le sol africain. Pour avoir, dès le début, suivi le procès et interrogé de nombreuses personnes impliquées, la journaliste Celeste Hicks raconte la remarquable histoire de la manière dont Habré a été traduit en justice. Sa condamnation fait suite à une campagne héroïque de 25 ans menée par des militants et des survivants des atrocités de Habré qui a abouti, malgré l’indifférence internationale, l’opposition des alliés de Habré et plusieurs tentatives infructueuses de le traduire en justice en Europe et ailleurs. Face à de telles difficultés, la condamnation d’un dirigeant, autrefois intouchable, représente un tournant majeur, et a de profondes implications pour la justice africaine et l’avenir de l’activisme pour les droits humains dans le monde.
Les griots wolof du Sénégal
Détenteurs de l’histoire orale, bardes, hérauts, panégyristes, généalogistes, moralistes, garants des traditions, précepteurs, chanteurs et instrumentistes, maîtres incontestés de la parole et de la musique, les griots hantent l’imaginaire ouest-africain. Ils jouèrent un rôle prépondérant dans l’ancien empire du Mali et les royaumes wolof subséquents et persistent dans la société sénégalaise actuelle. L’essor du mbalax, la nouvelle musique de Dakar, dérivée de rythmes de griots et le succès international de musiciens tels que Youssou N’Dour et Doudou N’Diaye Rose, issus de lignées de griots, témoignent à la fois de l’inventivité du Sénégal et de la vigueur de ses traditions. Tout en maintenant certaines de ces traditions, les griots wolof, en raison des vicissitudes de l’histoire, ont été contraints de s’adapter non sans parfois des traumatismes à des contextes nouveaux. Ce livre retrace leur saga depuis l’ère des royaumes pré-coloniaux jusqu’à l’époque contemporaine. Il analyse leur rôle et leurs fonctions dans des contextes historiques et sociaux différents ainsi que la façon dont ils ont été affectés par les changements survenus depuis la colonisation. Il aborde également l’évolution des musiques et danses wolof, depuis les temps anciens jusqu’à l’époque actuelle.
La dette odieuse de l’Afrique – Livre neuf
Comment l’endettement et la fuite des capitaux ont saigné un continent – Léonce Ndikumana et James K. Boyce démasquent les liens intimes entre les prêts étrangers et la fuite des capitaux. Plus de la moitié de l’argent emprunté par les gouvernements africains dans les dernières décennies a « fuit » dans la même année, une partie importante étant déposée dans des comptes privés dans les mêmes banques qui ont fourni les prêts. Entre-temps, le service de la dette continue à drainer les ressources rares de l’Afrique, réduisant ainsi les fonds disponibles pour la santé publique et d’autres besoins de base. De façon provocatrice, les auteurs proposent que les gouvernements africains devraient répudier ces « dettes odieuses » dont leur peuple n’a tiré aucun avantage et que la communauté internationale devrait aider dans cet effort.
Pendant plusieurs milliers de lunes, l’ordre cosmique avait été bien respecté par tous les sujets de Râ, et ce, jusqu’au jour ou il décida de transférer le pouvoir sur terre et de le confier aux humains. Ses sujets ne cachèrent pas leur inquiétude, mais nul n’osa contester la décision de Suprême-Divin. Séét, qui avait vainement mis en avant la faiblesse des humains et leur incapacité à exercer le pouvoir sur leurs semblables, entra en dissidence contre la décision de son Seigneur et décida d’établir sa propre voie. Il créa ainsi la première secte sur terre. Et avec beaucoup d’éloquence, il commença à inciter les humains à le vénérer lui-même…
Sénégal : Dokh dadjé
«Dox dadje, leppa ngui ci biir, dox dadje… » qui n’a pas entendu ce chant du genre tassu (un genre de slam) que griottes et invitées entonnent lors des mariages quand, en procession, les belles sœurs vont saluer la mariée. Mais C’est quoi au juste ce dox dadje ? Le « dox dadje » (lire dokh dadié) à l’origine, est en fait un panier cadeau (qui s’inspire de ce qui se fait ailleurs) qui contient différents objets que les belles sœurs d’une jeune mariée lui offrent le jour de son mariage, le soir, quand elles viennent la saluer. Mais avec le temps ce genre de cadeau s’offre à différentes occasions, et, selon l’événement le contenu change.
Notes d’Afrique relate l’essor de la musique populaire sur le continent. Le livre couvre les évènements et les styles musicaux qui se sont développés depuis les années 60, jusqu’aux années 80 lorsque que le terme « World Music » a été inventé comme label marketing et que des musiciens africains, notamment Youssou N’Dour et ses contemporains, sont apparus sur la scène internationale, et la dominance d’Afrobeats de la période contemporaine. Jenny Cathcart nous offre, à travers son expérience personnelle et son travail aux côtés de Youssou N’Dour, des portraits et des histoires de la vie de tous les jours et leur influence sur la musique en Afrique. Il en résulte de nouvelles perspectives pour la culture contemporaine, la religion et la politique, aussi bien pour le développement que pour de futures collaborations sur le continent et dans sa diaspora.
Le travail d’analyse sociale nous pose toujours la question de la transcription des données et des résultats obtenus. Les modèles canoniques privilégient l’usage de l’écriture orthographique et relèguent souvent les formes d’écritures iconographiques dans la perception sensible, l’allusif et le flou symbolique, à l’extrême opposé de la rigueur démonstrative et argumentative de l’écriture. Dans le processus de production et de diffusion des connaissances en sciences sociales, le moment de l’enquête, en particulier, est une situation de transcription idéale pour examiner le passage d’un ordre de fait à un autre, et pour retracer sa fonction dans le projet scientifique. Cet ouvrage interroge les modalités d’implication de l’image dans la fabrication, la transformation et la présentation des données issues de l’enquête de terrain.
Dans le contexte social changeant des sociétés burkinabè, l’offre religieuse et les routes migratoires ne cessent de se diversifier. La pluralité des pratiques, des acteurs et des situations rencontrés invite ainsi à penser les articulations entre religions et migrations. Croisant des approches méthodologiques et des objets de recherche diversifiés, ce livre part d’exemples issus de recherches de terrain au Burkina Faso pour interroger de façon plus globale les liens entre pratiques religieuses et pratiques migratoires, ainsi que leur rôle dans l’insertion sociale, à un niveau local. Le religieux en migration est principalement envisagé ici lorsqu’il est mobilisé pour permettre l’insertion sociale dans des situations d’installations ou de réinstallations au Burkina Faso, ou quand les mécanismes sociaux habituellement mobilisés sont saturés ou ne suffisent plus.
Le Burkina Faso est caractérisé par un paysage religieux, où se côtoient religions traditionnelles, musulmanes et chrétiennes. Cette cohabitation s’inscrit dans un contexte social et historique étudié de longue date par les chercheurs. Alors que la situation sécuritaire se dégrade depuis plusieurs années dans la zone sahélo-saharienne, la question religieuse est de plus en plus mise sur le devant de la scène burkinabè. Cet ouvrage collectif propose aux lecteurs une synthèse des connaissances accumulées par les chercheurs au cours des dernières décennies sur les différentes religions et les dynamiques sociales qui y sont associées.
Giving to Help, Helping to Give – Livre neuf
Livre en anglais – Giving to Help, Helping to Give deftly explores African philanthropic experiences, their varieties, challenges and opportunities. It is about documenting, investigating, describing, analysing and reflecting on philanthropy in Africa. This ground-breaking book rightly tackles the varied modes, forms, vehicles and means in which philanthropy is expressed in multifaceted Africa. It is a pioneering and ambitious effort in a field and community of practice that is new both in terms of scholarship and in professional practice. Many of the chapters boldly engage the burden of reflections, questions, ambivalences and ambiguities that one often finds in an emerging field, innovatively positing the outlines, concepts, frameworks and theories of scholarship and practice for a field critical to development on the continent.
Wala Bok : une histoire orale du hip hop au Sénégal se souvient et narre les mémoires des générations de pratiquants du hip hop, des derniers précurseurs aux derniers arrivés, des promoteurs et des rares critiques sociaux intéressés par ce mouvement aux multiples facettes. Une ballade à travers l’histoire et la vie contemporaine dans la jungle urbaine et dans les quartiers populaires. Les portraits artistiques et témoignages de ce courant motivé par la reconnaissance de la diversité culturelle et la quête d’un monde meilleur dévoilent une société hétéroclite qui tire les ficelles entre promotion artistique personnelle et engagement politique.
Innovation Ecosystems in Africa – Livre neuf
Livre en anglais – Innovation Ecosystems in Africa aims to deepen and broaden the visibility and interrogation of African innovation systems in practice by offering unique analysis of the emergence, growth and future prospects of endogenous innovation practices and lessons across the continent. The stories depict systemic innovations in a range of critical development areas from health and education to leadership and entrepreneurialism, and span from North to South, and East to West, covering no less than a dozen different African cities and countries. In addition to sharing knowledge about exciting but rarely acknowledged cases of innovation in Africa, the book serves also as a policy-oriented work to inform policymakers and practitioners throughout Africa on how to learn from experiences towards developing more enabling innovation ecosystems so that we can nurture creativity and solve the problems that we have.
The HerStory Project – Volume I – Livre neuf
Livre en anglais – The HerStory Project is a stirring kaleidoscope of thirty-three exemplary women from different backgrounds, temperaments, passions, and achievements. The stories of these women, drawn from Botswana, Ghana, Ethiopia, Jamaica, Liberia, Nigeria, Senegal and Zimbabwe, challenge and move beyond long-held traditions of gender discrimination and cultural inhibitions to reveal individuals whose determination and self-belief have had tremendous impact on their livelihoods, communities and nations. These narratives redefine and delineate the contours of women empowerment and leadership in African communities, broadening the discourse to include the transformative power of the individual and her society.
Depuis 1994, les Rencontres photographiques de Bamako sont le principal rendez-vous de cette discipline sur le continent africain et l’une des plus importantes manifestations culturelles. Elles sont le reflet de tout ce que compte la création photographique africaine contemporaine et la presse internationale lui offre un rayonnement d’une importance capitale. Le livre présentera l’ensemble des manifestations.
Dans une mise en page originale, un style soyeux qui entraine le lecteur dans le fascinant paysage du bâtir en terre « Matam. Construction terre, un patrimoine intemporel » fait l’inventaire des maisons Cubbalo, telles que mises en relief par les travaux d’étude des étudiants du Cuad, traite des formes et structures des maisons en terre, des performances thermiques et de la plasticité du matériau terre. Il interroge particulièrement sur l’importante et incontournable problématique de la construction en terre au Sénégal.
Dans ce livre, construit autour de diptyques photographies/peintures «suwers», Michel Renaudeau révèle entre elles de troublantes ressemblances.
26 ans de pouvoir absolu en Guinée. 26 longues années au cours desquelles ‘l’homme du NON au Général de Gaulle », immensément populaire en Afrique, est petit à petit devenu « l’homme du Camp Boiro », du nom de cette prison où l’on torturait à mort opposants ou simples suspects dans la banlieue de Conakry. Après la disparition de Sékou Touré et l’élimination de son entourage, au printemps 1984, les langues se sont déliées, les documents ont été « libérés », les jugements sont devenus plus assurés. Alors qui fut vraiment Sékou Touré ? Comment fonctionnait effectivement son régime ? Dans quel état a-t-il finalement laissé la Guinée le jour de sa mort ? Pour répondre à ces questions et à tant d’autres, tous les journalistes du Groupe Jeune Afrique, rejoints par quelques uns des meilleures spécialistes de la Guinée, ont participé à la rédaction de cet ouvrage. Un bilan complet, détaillé, sans complaisance, d’une dictature sanglante? Mais aussi le portrait d’un homme qui a marqué profondément, pour le meilleur et pour le pire, l’histoire de l’Afrique.
Kalidou Kassé, surnommé le pinceau du sahel, est l’artiste peintre sénégalais d’origine peuhle qui évoque l’univers paisible et romantique du quotidien des sociétés africaines du Sahel. Formé à la Manufacture Sénégalaise des arts décoratifs de Thiès, Kassé se démarque de « l’École de Dakar », initiée par le poète-président Léopold Senghor, sous l’influence de l’art abstrait occidental. Son style unique aux personnages filiformes et aux couleurs vives et chatoyantes décrit un monde poétique et enchanteur peint avec un souci constant pour les formes, les détails et les couleurs. D’un point de vue historique, il est celui (à travers sa vie et son œuvre) qui a subtilement su marier et harmoniser l’art pictural occidental avec l’esthétique africaine qu’il a hérité de sa famille de tisserands. En refusant la représentation imposée par l’art occidental, il réaffirme ses formes propres et uniques, une authenticité qui annonce l’art d’un monde naissant qui n’abandonne pas son passé.
Né le 14 octobre 1922 à Saint–Louis. Il entre à l’Ecole normale William Ponty en 1938 pour devenir enseignant. Au moment où la Seconde guerre mondiale éclate en Europe, il est mobilisé. A son retour, il enseigne en tant qu’instituteur à Sébikotane puis maître d’internat au lycée Van Vollehoven à Dakar. Il obtient le baccalauréat, série Philosophie et demande une bourse pour poursuivre ses études en France. Etudiant à Paris, il obtient une licence de Philosophie. Il est ensuite professeur certifié de philosophie puis surveillant général au lycée Maurice Delafosse à Dakar. Il poursuit une carrière académique comme professeur de philosophie à l’université (maître assistant à partir de 1966 puis professeur et enfin doyen de la Faculté des Lettres et Science Humaines de 1976 à 1983). Il fut conseiller technique à la présidence de la République avec le titre de secrétaire général du Festival mondial des Arts Nègres après deux années passées en détachement à l’UNESCO.
L’axe Lourd
Cette rue commerçante de la ville avait reçu plusieurs noms mais tous les habitants ne lui en connaissaient qu’un seul : « l’Axe Lourd ».
Paris Dakar
Livre sorti en 1983 (Thierry Sabine décède en 1986 lors d’un accident d’hélicoptère lors du Paris-Dakar – Livre souvenir du « PARIS DAKAR », cet ouvrage est le fruit de la collaboration de Thierry Sabine, créateur et organisateur du célèbre rallye, et d’Isabelle Bich, photographe spécialisée dans les reportages d’aventures.
Chaque année, du 1er au 20 janvier, des participants de plus en plus nombreux, tenant en haleine un public de plus en plus passionné, parcourant 10.000 km (dont souvent des pistes interdites, à travers l’Algérie, le Mali, le Niger, La Haute-Volta, la Côte-d’Ivoire, la Mauritanie et le Sénégal) dans des conditions parfois très dures.
Exploits sportifs, difficultés, mais aussi anecdotes de la vie quotidienne sont ici retracés à travers les plus belles photos réalisées au cours des Paris-Dakar, et à travers le texte captivant de Thierry Sabine, qui met en relief les évènements les plus marquants de cette formidable aventure.
La ville de Saint-Louis du Sénégal est le résultat de la confrontation féconde de deux civilisations et de leur métissage culturel. Parmi les fruits de cette confrontation, il existe un chef d’œuvre historique et architectural, l’église de Saint-Louis, plus ancienne église et première cathédrale d’Afrique, elle aussi dédiée au saint éponyme ; un chez d’œuvre, certes, mais longtemps en péril et désormais sauvé. Cet édifice est un prisme à travers lequel l’histoire de la ville peut être déchiffrée et comprise. En cela, l’histoire de la Cathédrale, de sa genèse, de sa construction, de ses multiples vies et survies jusqu’à sa résurrection, mérite d’être racontée ; c’est ce à quoi s’attache le présent ouvrage.
Fier et fort – Histoires du 23ème de marine
Mer et Marine rediffuse les Propos maritimes écrits par Pierre Deloye et publiés de 1973 à 2008 dans les colonnes du quotidien breton Le Télégramme. Aujourd’hui, nous vous proposons une immersion dans l’actualité et les préoccupations maritimes de 1980. Cette année-là, la France vend des avions de combat Super Etendard à l’Argentine, ceux-là mêmes qui frapperont durement, trois ans plus tard, la flotte britannique durant le conflit des Malouines. Le contrat géant Sawari I, portant sur la vente de quatre frégates et deux ravitailleurs à l’Arabie Saoudite, est également conclu, de même que la commande d’un pétrolier-ravitailleur du type Durance par l’Australie, après des années de crispations avec ce pays autour des essais nucléaires en Polynésie.
Le M23 est né au lendemain des manifestations qui ont fait échec au projet de loi qui voulait faire élire le président de la République avec 25 % des inscrits, en même temps qu’il devait instaurer une élection par ticket (président et vice-président). Ce mouvement de protestation regroupe des partis d’opposition, des groupements de citoyens et des organisations non gouvernementales. Son dernier combat a été celui mené contre la candidature du président sortant Abdoulaye Wade à l’élection présidentielle du 26 février dernier. L’exposition présente plus de 300 photographies d’Alioune Mbaye, Amadou Mbaye, Antoine Tempé, Cheikh Ahmed Tidjane Ndiaye, Christof E, Elise Fitte-Duval, Erick Christian Ahounou, Elias Aba Milki, Gabriela Barnuevo, Jacques Daniel Ly, Jean-Baptiste Joire, Mamadou Gomis, Rebecca Blackwell, Rose Skelton, Sidy Mohamed Kandji, Sidy Yansane, Sylvain Cherkaoui, Tamsir Ndir et Toure Béhan.
Livre en anglais – Mahmud Modibbo Tukur’s seminal work challenges fundamental assumptions and conclusions about European colonialism in Africa, especially British colonialism in northern Nigeria. Whereas others have presented the thesis of a welcome reception of the imposition of British colonialism by the people of northern Nigeria, the study has found physical resistance and tremendous hostility towards that imposition; and, contrary to the premise of “pacification” and minimal violence argued by some scholars, the study has exposed the violent and bloody nature of that occupation. Rather than the single story of the “Indirect rule” administrative mandate, or “abolishing slavery” and lifting the burden of precolonial taxation which others have argued, this book has shown that British officials were very much in evidence, imposed numerous and heavier taxes collected with great efficiency and ruthlessness, and ignored the health and welfare of the people in famines and health epidemics which ravaged communities in northern Nigeria during the period.
La guerre sainte d’al-Hajj Umar
Al-Hajj Umar Tal, connu dans la littérature sous le nom d’El Hadj Omar, est une des figures dominantes de l’histoire ouest-africaine au XIXe siècle.
Simb – État neuf
Dans ce livre de photographies, Laurent Gudin retrace les différentes vies du Simbkat, de son antre où il se pare des attributs du fauve, à son terrain de chasse-exhibition où il terrifie et fascine tout à la fois.
Arènes Sénégalaises – État neuf
Livre bilingue français/anglais – Matar Ndour, photographe, montre ici les diverses facettes, aussi bien sportives que folkloriques, mystiques et populaires, qui se font jour dans un stade lors des grands combats.
Chalys d’Harlem
Roman d’une migration particulière, Chalys d’Harlem raconte le parcours d’un matelot sénégalais entre 1919 et 1959 de sa ville natale Rufisque en passant par Marseille, Le Havre et Southampton. Pour finir « notable de la 125ème rue » à Harlem. Homme politique, Lamine Diakhaté (1928-1987) est aussi un écrivain et critique littéraire de la négritude.
Kumpag Wàngalàng Wi (Jaar-Jaari TINTIN)
LIVRE EN PARFAIT ETAT – Le secret de la Licorne en wolof – Il ne s’agit pas d’un énième dialecte wallon mais bien d’une langue parlée et écrite au Sénégal, en Mauritanie et en Gambie. Au Sénégal, 45% de la population la pratique. Cette langue connait une expansion culturelle notamment en raison de son apparentée avec d’autres langues comme le lébou ou le saint louisien et de ses emprunts à d’autres langues. Pour l’écrit, le wolof utilise l’alphabet latin avec des particularités en raison de l’idiome wolof alors que dans le passé le wolof écrit utilisait l’alphabet arabe. La sortie de Tintin en wolof est une initiative due à l’ONG belge ATS Belgique qui a pour ce faire contacté Casterman. Cet album a été tiré à 3.000 exemplaires numérotés. C’est un travail collectif de plusieurs années qui a donné naissance au « Secret de la Licorne » en wolof, grâce à Serigne Diouf, ingénieur pédagogique, Awa Sene Sarr et Marie-Madeleine Diallo, auteures et comédiennes, et de nombreuses autres contributions sollicitées par internet. Le contrôle final a été réalisé par Jean-Léopold Diouf, grammairien et professeur à l’Université de Paris. Tous ont travaillé à titre bénévole.
Résumé : Dans cette aventure, Tintin accompagne le Capitaine Haddock sur les traces de son glorieux ancêtre, le chevalier François de Hadoque. Après avoir offert au Capitaine Haddock le modèle réduit d’un bateau qui se révèle être la réplique de celui de l’ancêtre du Capitaine, Tintin découvre dans le mât un parchemin mystérieux. C’est le début d’une folle course au trésor qui entraînera nos héros à la recherche d’autres indices afin de reconstituer une mystérieuse carte au trésor…