- Home
- >
- Langue étrangère
- >
- Art and Fear: Observations on the Perils (and Rewards) of Artmaking
David Bayles, Ted Orland
Art and Fear: Observations on the Perils (and Rewards) of Artmaking
En Anglais – « This is a book about making art. Ordinary art. Ordinary art means something like: all art not made by Mozart. After all, art is rarely made by Mozart-like people; essentially-statistically speaking-there aren’t any people like that. Geniuses get made once-a-century or so, yet good art gets made all the time, so to equate the making of art with the workings of genius removes this intimately human activity to a strangely unreachable and unknowable place. For all practical purposes making art can be examined in great detail without ever getting entangled in the very remote problems of genius. »
Vous aimerez aussi
La Grande migration
Lorsque le rideau de fer s’ouvre, des populations prisonnières depuis des décennies retrouvent la liberté. Au même moment, l’Empire soviétique s’effondre. C’est le début d’une nouvelle grande migration. Une vague de départs se produit vers l’Allemagne, Israël, les Etats-Unis et d’autres pays occidentaux. Terre d’émigration, la Russie devient aussi en un laps de temps très court un grand pays de refuge, d’accueil, mais également de transit. Parce que la frontière peut être synonyme de richesse, d’autres mouvements se développent : ils sont temporaires, parfois pendulaires, de durée variable. C’est la Russie dans toute sa complexité qui se reflète dans ces pérégrinations de gens qui, en choisissant de s’exiler ou de se déplacer, votent avec leurs pieds et deviennent acteurs des relations internationales. Un espace russe et russophone s’étend aujourd’hui de l’ex-URSS à l’Amérique du Nord en passant par l’Europe et le Moyen-Orient.
Les cuisines du Kremlin
La Russie est en quête de réhabilitation sur la scène internationale. Vladimir Poutine prétend la transformer en un pays comme les autres, gouverné par les mêmes règles et principes que les grandes puissances occidentales. Pourtant, à observer de près le fonctionnement au quotidien de la démocratie russe, la bataille pour le contrôle des grandes entreprises pétrolières du pays, la mécanique du pouvoir, les rapports entre l'argent et la politique, force est de constater que la Russie n'est pas un pays encore tout à fait comme les autres. Quelle sorte de ragoût nous mitonnent donc les cuisines du Kremlin ? Quel type de régime Vladimir Poutine est-il en train d'imposer à son pays sous nos yeux ? Les rêves de la reconstruction d'un nouvel empire russe, empruntant aux restes de la défunte URSS peuvent-ils devenir réalité ?
La dame à la cassette
Depuis qu’elle a été sacrée par les juges et les journalistes trésorière occulte du RPR, l’Élysée tremble. Et si elle venait à parler, à révéler tous les secrets noirs et or dont elle a été dépositaire pendant une douzaine d’années ?… Jusqu’ici, bravement, Louise-Yvonne Casetta, surnommée « la Cassette », est restée obstinément muette. Son silence lui a coûté cher. Mais elle n’est pas la seule à avoir payé pour les ténors de la politique. Les chefs d’entreprise aussi sont sur le banc des accusés, héros mortifiés de cette saga des boucs émissaires.Au-delà de cette enquête dans les ténèbres de la démocratie se pose la question : les partis, aujourd’hui richement dotés par les contribuables, ont-ils renoncé à leurs douteuses pratiques? N’est-ce pas toujours comme avant ? Mieux qu’avant ?
Le Capital
A travers les aventures de Marc Tourneuillerie, patron de la plus grande banque européenne, ce roman est la satire la plus féroce, la plus drôle et la plus efficace que l’on ait jamais écrite sur le monde capitaliste actuel. On y découvre la vie d’un établissement financier où la soif d’argent et de pouvoir s’habille des atours de la rationalité gestionnaire. On y évolue dans les milieux de l’élite économique et de la jet-set internationale entre Paris, Londres, New York, Davos, Tokyo… On y vit dans les paradis artificiels de la drogue, les images artificielles d’Internet, la bulle artificielle des fortunes éphémères, le temps artificiel du décalage horaire, le sexe artificiel des fantasmes délirants. Bienvenue dans le monde merveilleux du capitalisme à ciel ouvert !