Henri Vernes
Bob morane : la rivière de perles
Soudain Morane eut l’impression qu’on le frappait d’un coup de matraque à la base du crâne. Alors il comprit pourquoi les poteries Ming étaient si bon marché et l’alcool offert par l’antiquaire chinois si fort ! Il voulut foncer sur M. Foo et l’homme à la petite valise, mais le brouillard devant ses yeux se fit soudain plus épais et se changea en ténèbres totales.
On l’avait drogué ! Mais aussi il fallait être Bob Morane et son ami Bill Ballantine pour suivre un rabatteur de touristes et aller à la recherche d’antiquités dans le quartier chinois de San Francisco. En pleine nuit et par pluie diluvienne ! Un coup à tomber dans le pire des traquenards…
Vous aimerez aussi
Putting découverte
Après le succès de « Golf mode d’emploi » et « Golf le savoir-faire », le « méthode Tairraz » s’est imposée par son efficacité. Les deux premiers volumes initiaient pas à pas le joueur, des bases du jeu à l’approche d’un parcours complet, pour lui permettre d’affronter des partenaires de handicaps différents. Le troisième volume « Golf putting découverte », révèle tous les secrets de la réussite du putting ainsi que son importance capitale dans la réalisation d’un parcours en un minimum de coups. En effet, sur le score initial de 72 coups d’un parcours classique, la moitié sont des coups d’approche pour atteindre le green et quel que soient le niveau du joueur, leur nombre est pratiquement incompressible. Par contre, sur le green, le score de l’autre moitié des coups, joués au putting, peut facilement s’améliorer. « Golf putting découverte » est une véritable leçon particulière.
Britannicus
Britannicus est la deuxième grande tragédie de Racine. Pour la première fois, l’auteur prend son sujet dans l’histoire romaine. L’empereur Claude a eu de Messaline un fils, Britannicus, avant d’épouser Agrippine et d’adopter Néron, fils qu’Agrippine a eu d’un précédent mariage. Néron a succédé à Claude. Il gouverne l’Empire avec sagesse au moment où débute la tragédie. Racine raconte l’instant précis où la vraie nature de Néron se révèle : sa passion subite pour Junie, fiancée de Britannicus, le pousse à se libérer de la domination d’Agrippine et à assassiner son frère…
Bérénice
Bérénice, au centre de l’œuvre de son auteur, en 1670, est une pièce singulière dans la production de Racine : c’est une tragédie où il n’y a pas de sang. Elle paraît peut-être d’autant plus douloureuse. Se séparer est pire ici que mourir. C’est le sort des trois personnages de la pièce : Bérénice, reine qui aime l’empereur Titus et qui devait l’épouser, Antiochus, qui voue un amour sans espoir à Bérénice. Il s’agit seulement de prononcer un mot, si dur, si tendre : adieu.
À Matignon au temps de l’union de la Gauche
La lutte pour le pouvoir à la tête de l’État est de toutes les époques et de tous les régimes. Rarement, pourtant, elle avait été aussi impitoyablement disséquée par un témoin direct, par un des acteurs. On trouve dans ce livre des portraits et un foisonnement d’intrigues qui appartiennent désormais à l’histoire. Voici Rocard, Delors, Fabius, Chevènement ou Fiterman tels qu’on ne les a jamais vus, aux prises avec leurs ambitions et leurs stratégies. Au-delà des anecdotes pittoresques sur la vie quotidienne dans les palais nationaux, ce reportage tendrement ironique sur les coulisses gouvernementales est aussi le récit des relations complexes au sommet de l’État entre le président de la République, François Mitterrand, et le Premier ministre, Pierre Mauroy, la description précise des rouages de la «cohabitation» entre les deux principaux pôles de l’exécutif. Les compétences de Matignon, l’autorité de l’Élysée, sont analysées en détail. Cette chronique d’histoire immédiate est, en ce sens, un guide pour l’actualité.