Henri Vernes
Bob morane : la rivière de perles
Soudain Morane eut l’impression qu’on le frappait d’un coup de matraque à la base du crâne. Alors il comprit pourquoi les poteries Ming étaient si bon marché et l’alcool offert par l’antiquaire chinois si fort ! Il voulut foncer sur M. Foo et l’homme à la petite valise, mais le brouillard devant ses yeux se fit soudain plus épais et se changea en ténèbres totales.
On l’avait drogué ! Mais aussi il fallait être Bob Morane et son ami Bill Ballantine pour suivre un rabatteur de touristes et aller à la recherche d’antiquités dans le quartier chinois de San Francisco. En pleine nuit et par pluie diluvienne ! Un coup à tomber dans le pire des traquenards…
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Chef-d’œuvre du théâtre français et universel, la pièce est en effet considérée, par sa dénonciation des privilèges archaïques de la noblesse et plus particulièrement de l’aristocratie, comme l’un des signes avant-coureurs de la Révolution française, donc comme une œuvre politique et satire de la société inégalitaire et de la justice vénale d’Ancien Régime. Louis XVI la qualifia « d’exécrable, qui se joue de tout ce qui est respectable » et dont « la représentation ne pourrait qu’être une inconséquence fâcheuse, sauf si la Bastille était détruite ». On attribue au grand révolutionnaire Danton le verdict « Figaro a tué la noblesse ! », et à Napoléon la sentence : « C’est déjà la Révolution en action ! ».