Joseph F. O'Brien, Andris Kurins
Boss of Bosses – The Fall of the Godfather: The FBI and Paul Castellano
“At least as good as Mario Puzo, with shades of David Mamet or even Arthur Miller.”—New York Daily News. Paul Castellano headed New York’s immensely powerful Gambino crime family for more than ten years. On December 16, 1985, he was gunned down in a spectacular shooting on Manhattan’s fashionable East Side. At the time of his death, Paul Castellano was under indictment. So were most of the major Mafia figures in New York. Why? Because in 1983 the FBI had hidden a microphone in the kitchen of Castellano’s Staten Island mansion. The 600 hours of recorndings led to eight criminal trials. And this book. Agents Joe O’Brien and Andris Kurins planted that mike. They listened to the voices. Now they bring you the most revealing look inside the Mafia ever . . . in the Mafia’s own words. “Beautifully done, not only strange and fascinating but even touching.”—Robert Daley, author of Prince of the City
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Si, depuis Un turbulent silence, André Brink n’a cessé de dénoncer le régime qui mettait son pays au ban du monde occidental, il a su aussi dire avec lyrisme et émotion son amour pour la beauté de cette terre et le peuple qui l’habite. Un acte de terreur est probablement le point d’orgue de cette oeuvre. Accompagné désormais par Lisa, Thomas poursuit sa fuite, avec à ses trousses le policier qui, depuis leur première confrontation des années auparavant, a juré sa perte. A travers ce pays dont la beauté violente les éblouit, ce sont d’autres rencontres – la bêtise des uns et la résignation des autres – et pour finir celle du père de Lisa, un pasteur, qui fera tout basculer.Un jour, plus tard, Thomas pourra achever la chronique de la famille Landman, l’histoire, commencée en 1604 en Hollande, de ses ancêtres qui lui ont légué une Bible et un miroir fêlé et qui, chacun pour son compte, ont posé l’éternelle question de la responsabilité individuelle face à l’Histoire.Livre d’amour et de rage, réflexion sur l’utilité de la violence comme moyen politique, Un acte de terreur est peut-être le plus grand roman d’André Brink depuis Un turbulent silence.
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