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Philip Dick
Counter-Clock World
In Counter-Clock World, one of the most theologically probing of all of Dick’s books, the world has entered the Hobart Phase — a vast sidereal process in which time moves in reverse. As a result, libraries are busy eradicating books, copulation signifies the end of pregnancy, people greet with, “Good-bye,” and part with, “Hello,” and underneath the world’s tombstones, the dead are coming back to life. One imminent old-born is Anarch Peak, a vibrant religious leader whose followers continued to flourish long after his death. His return from the dead has such awesome implications that those who apprehend him will very likely be those who control the fate of the world.
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« Toujours plus vive, la lueur tourne à l’orange, son centre devient éblouissant et, soudain, fuse, monte en torche, livre au vent de longs effilés rougeoyants… Le feu! Plus de doute. C’est le feu. La silhouette balance et frémit. Mais l’homme se redresse aussitôt, se carre sur ce plan de ciel embrasé, dans une espèce de gigue… on dirait qu’il brûle lui-même avec joie, ou, mieux, que la flamme se dégage de lui, qu’il la souffle, poitrine pressée à pleins bras. » Portrait d’un incendiaire, L’Huile sur le feu est un des romans les plus beaux et les plus émouvants du grand écrivain Hervé Bazin.
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Georges Lastin mène, dans un village du Laos saisi peu à peu par les problèmes du colonialisme décadent, la vie désabusée d’un médecin de campagne. Mêlé malgré lui aux rivalités des trafiquants, inquiet comme la plupart de l’audace croissante des « Viets », éprouvant avec une constante médiocrité l’amour, le plaisir, la souffrance et la mort, il découvre à travers les femmes aimées et le climat de violence les échos de son propre passé. Parce qu’un jour sous l’Occupation, il a tué Marcelle qui le trompait avec un Allemand, Lastin assume avec passivité une destinée aussi terne et aussi désespérante que le monde finissant de la présence française en Indochine.
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A l’égal de la princesse de Clèves et de la Sanseverina, la duchesse de Langeais est l’une des grandes divinités féminines de notre littérature. Elle réunit en sa personne le triple prestige de la beauté, de la naissance et du malheur. Issue d’un sang illustre, Antoinette de Navarreins voit le jour en 1794, sous la Terreur, une bien sombre étoile qui sera pour elle la marque du destin. Quelque vingt ans plus tard, séparée de son mari abhorré que lui avait imposé un père indifférent, c’est l’une des gloires mondaines du Faubourg Saint-Germain. Mais que dissimule la coquetterie glacée de cette aristocratique Célimène ? Et par quel étrange sortilège l’incandescente passion d’Armand de Montriveau va-t-elle à son tour la consumer ? Comme tout vrai chef-d’œuvre, ce « roman noir » – primitivement intitulé » Ne touchez pas à la hache » – est pour partie une autobiographie sublimée, c’est-à-dire le contraire d’un roman à clefs. « Moi seul sais ce qu’il y a d’horrible dans La Duchesse de Langeais, » confiait Balzac à l’un de ses proches. C’est pourquoi l’œuvre conserve, depuis plus d’un siècle et demi, son mystère et sa force de séduction.
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