- Home
- >
- Langue étrangère
- >
- Culture and Society – 1780-1950
Raymond Williams
Culture and Society – 1780-1950
En Anglais – Acknowledged as perhaps the masterpiece of materialist criticism in the English language, this omnibus ranges over British literary history from George Eliot to George Orwell to inquire about the complex ways economic reality shapes the imagination.
Vous aimerez aussi
The black country
En Anglais – When members of a prominent family disappear from a coal-mining village—and a human eyeball is discovered in a bird’s nest—the local constable sends for help from Scotland Yard’s new Murder Squad. Fresh off the grisly 1889 murders of The Yard, Inspector Walter Day and Sergeant Nevil Hammersmith respond, but they have no idea what they’re about to get into. The villagers have intense, intertwined histories. Everybody bears a secret. Superstitions abound. And the village itself is slowly sinking into the mines beneath it. Not even the arrival of forensics pioneer Dr. Bernard Kingsley seems to help. In fact, the more the three of them investigate, the more they realize they may never be allowed to leave . . . .
Histoire de rire, suivi de La terre est ronde
« Je suis toujours la ligne droite, mais je change parfois de ligne droite. »
Dieu est né en exil – Journal d’Ovide à Tomes
Couverture reliée par l’éditeur – Le narrateur est un personnage historique : Ovide. On peut considérer que c’est un écrit apocryphe. Il couvre les derniers huit ans de sa vie, vécus à Tomis, ancienne colonie romaine au pays des Gètes. Le roman adopte la forme d’un journal intime, divisé en huit chapitres (chacun d’eux correspondant à un an d’exil) qui révèlent les étapes d’une « maturation » progressive, à savoir, une conversion. L’univers du roman s’articule autour d’un axe primordial dont les deux pôles sont la société de Rome d’une part, le monde des Daces d’autre part. Cette dichotomie est génératrice d’une riche gamme de métaphores, mais peut-être son attribut le plus important est la manière dont les deux mondes se construisent, et leur importance en tant que « chronotopes » dans l’économie du récit. Le périple spirituel d’Ovide se dénoue entre les deux univers-symboles, dont les caractères antagonistes s’entretissent au cours d’un chiasme pour resurgir à la fin de la narration radicalement métamorphosés.
Les années d’illusion
S’il obtient ce poste de secrétaire de mairie que sa mère ambitionne pour lui, Duncan Stirling sait qu’il restera à jamais enterré à Levenford alors qu’il rêve d’être médecin. Le poste lui échappe, car sa rude fierté écossaise l’empêche de courber l’échine devant le Conseil municipal, et sa mère le chasse, mais il est libre enfin d’aller tenter sa chance à St Andrews pour une bourse d’étude et, en chemin, au village de Linton, il se lie avec le docteur Murdoch et sa fille Jeanne dont l’amitié lui sera précieuse. Il faut cinq ans pour conquérir le titre de médecin. Cinq ans de luttes et de pauvreté qui déboucheront sur quel avenir puisqu’il a un bras atrophié par la poliomyélite ? Son camarade d’enfance et rival Overton le lui rappelle sans ménagement. Cet- obstacle-là n’existe bientôt plus. La chirurgienne célèbre Anna Geisler l’opère, le guérit, le prend comme assistant. La voie est tracée vers la revanche que Duncan compte depuis toujours prendre sur Overton, sur l’existence même, une voie austère jalonnée de hautes responsabilités et d’honneurs. Mais est-ce un but qui en vaut vraiment la peine ? Toutes ces années de travail acharné n’ont-elles pas été des années d’illusion ? Un jour, la question se pose et Duncan devra trouver la réponse.