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Raymond Williams
Culture and Society – 1780-1950
En Anglais – Acknowledged as perhaps the masterpiece of materialist criticism in the English language, this omnibus ranges over British literary history from George Eliot to George Orwell to inquire about the complex ways economic reality shapes the imagination.
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Il poeta
En italien – Jack McEvoy fa il reporter di nera. La morte è il suo mestiere. Ma questa volta la morte gli porta una storia che non avrebbe mai voluto scrivere e un mistero che vuole risolvere a tutti i costi. Là fuori, in agguato, c'è un serial killer astuto e feroce, un perverso assassino, un meticoloso discepolo del male. Le sue vittime sono tutte poliziotti, agenti della omicidi. E il suo biglietto da visita è un verso di Edgar Allan Poe. La sua vittima è stata il fratello di McEvoy e la sua prossima… potrebbe essere lui stesso.
Saint Louis, roi de France
Saint-Louis, un des piliers de notre civilisation, plus fort aujourd’hui que jamais. Tout autour, la maison s’écroule. Nous éprouvons un besoin plus viscéral de nous accrocher au solide. Et Saint-Louis a du passé, mais encore plus d’avenir. Son auréole nous a caché son génie. Les saints et les génies, deux espèces d’hommes si démesurés qu’à leur propos l’humanité moyenne se fourre généralement le doigt dans l’œil. Nous prenons souvent les saints pour des petits bonshommes en sucre de l’imagerie de Saint-Sulpice. Comment ces santons étrangers à nos passions comprendraient-ils les êtres de chair qui en sont pétris ? Rien de plus faux ! Les saints sont avant tout des passionnés, des condensateurs vertigineux d’énergie, des hors-la-loi commune, s’élançant, en ruant dans les brancards, vers la Loi des cieux. Au lieu de se borner à rapetasser l’actualité, comme la plupart des gouvernants de ce monde, qui ne sont que des gouvernés, Saint-Louis se précipite sans cesse « jusqu’au fond des choses » de tout son vol radieux d’ange aux yeux de colombe. Au nom de la loi suprême d’amour, il veut extirper partout le mal, œuvre du diable. Prince de la Paix, il comprit que la mission remplacerait un jour la croisade. Il fit tout pour humaniser la guerre. En soignant les blessés, en interdisant le viol et le pillage, il annonçait la Croix Rouge et les Conventions de Genève. Père lointain de l’ONU, il tenta de substituer dans le règlement des conflits, l’arbitrage à la guerre. Roi architecte, il lança sur l’Europe une troupe de bâtisseurs, conquérants pacifiques. Roi de lumière, il nous laissa son portrait dans le ciel de Paris ; la Sainte Chapelle, fleur de verre et de lumière, aussi allégée de matière que l’âme s’envolant du corps. Quel plus invincible exemple à donner à notre siècle noir que celui de l’ange qui força la vénération des plus durs et qui arracha à Voltaire, peu suspect de bienveillance envers les saints, ce cri de louange :
Le Dauphin perdu
Louis XVII, roi de France et de Navarre : telle est l’inscription que porte, dans la ville hollandaise de Delft, la tombe d’un horloger prussien, Karl Naundorff. Naundorff était-il Louis XVII ? L’énigme de « l’enfant du Temple », le mystère des prétendants au trône de France après la Restauration, l’étrange destinée de Naundorff le principal d’entre eux, voilà autant de problème qui ont toujours fasciné les historiens et le grand public et quxquels la récente exhumation des restes de Naundorff et le livre si discuté de Me Maurice Garçon viennent de donner un regain d’actualité. C’est dire le plaisir que chacun prendra à lire ce roman qui, basé sur les données historiques les plus authentiques, nous fait revivre avec émotion, dans les décors, les plus variés de l’Europe du siècle dernier, la vie vie étonnante et les amours de celui qui fut, nous démontre l’auteur, le vrai Louis XVII.