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Raymond Williams
Culture and Society – 1780-1950
En Anglais – Acknowledged as perhaps the masterpiece of materialist criticism in the English language, this omnibus ranges over British literary history from George Eliot to George Orwell to inquire about the complex ways economic reality shapes the imagination.
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Undermajordomo minor
En Anglais – Lucy Minor is the resident odd duck in the hamlet of Bury. He is a compulsive liar, a sickly weakling in a town famous for begetting brutish giants. Then Lucy accepts employment assisting the majordomo of the remote, foreboding Castle Von Aux. While tending to his new post as undermajordomo, he soon discovers the place harbours many dark secrets, not least of which is the whereabouts of the castle's master, Baron Von Aux. Thus begins a tale of polite theft, bitter heartbreak, domestic mystery, and cold-blooded murder. Undermajordomo Minor is an ink-black comedy of manners, an adventure, and a mystery, and a searing portrayal of rural Alpine bad behaviour, but above all it is a love story. And Lucy must be careful, for love is a violent thing.
Dieu est né en exil – Journal d’Ovide à Tomes
Couverture reliée par l’éditeur – Le narrateur est un personnage historique : Ovide. On peut considérer que c’est un écrit apocryphe. Il couvre les derniers huit ans de sa vie, vécus à Tomis, ancienne colonie romaine au pays des Gètes. Le roman adopte la forme d’un journal intime, divisé en huit chapitres (chacun d’eux correspondant à un an d’exil) qui révèlent les étapes d’une « maturation » progressive, à savoir, une conversion. L’univers du roman s’articule autour d’un axe primordial dont les deux pôles sont la société de Rome d’une part, le monde des Daces d’autre part. Cette dichotomie est génératrice d’une riche gamme de métaphores, mais peut-être son attribut le plus important est la manière dont les deux mondes se construisent, et leur importance en tant que « chronotopes » dans l’économie du récit. Le périple spirituel d’Ovide se dénoue entre les deux univers-symboles, dont les caractères antagonistes s’entretissent au cours d’un chiasme pour resurgir à la fin de la narration radicalement métamorphosés.
La Reine morte
La Reine morte est une pièce de théâtre d'Henry de Montherlant écrite en 1942 et représentée pour la première fois le 8 décembre 1942 à la Comédie-Française dans une mise en scène de Pierre Dux avec Jean-Louis Barrault et Madeleine Renaud. C'est une des pièces les plus connues de l'auteur, qui développe le thème classique de l'amour contrarié par la raison d'État. Cette pièce est librement inspirée de l'histoire des rois de Portugal Alphonse IV et Pierre Ier et d'Inés de Castro, d'après le drame espagnol Reinar después de morir, Régner après sa mort, de Luis Velez de Guevara.