Lucia Etxebarria
De l’amour et autres mensonges
On dit souvent que les opposés s’attirent, il faut ajouter que ce rapprochement irrésistible peut se révéler très temporaire… « De l’amour et autres mensonges » en témoigne dans une verve piquante et très agréable à lire. Ruth, une belle trentenaire rouquine aux yeux de jade, rencontre lors d’un prix pour créateurs prometteurs, Juan, un beau brun svelte aux yeux pénétrants. Elle est réalisatrice tout ce qu’il y a de branché, proche de Pedro Almodovar. Lui est un jeune poète, écrivain boursier en quête de reconnaissance. Une passion naît entre eux et réunit leurs différences. Côté Juan la confidentialité, la retenue, la fiancée très officielle, côté Ruth la célébrité, l’exubérance, le désert affectif. Mais bien vite leur passion passe de la foudre aux étincelles : l’amour aveugle mu en dépendance et possessivité, la gloire connaît ses revers de médaille et la beauté n’est plus qu’une façade qui s’effondre.
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Bouvard et Pécuchet
Par un chaud dimanche d’été, près du bassin du port de l’Arsenal, sur le boulevard Bourdon, à Paris, deux promeneurs, Bouvard et Pécuchet, se rencontrent par hasard sur un banc public et font connaissance. Ils s’aperçoivent qu’ils ont eu tous deux l’idée d’écrire leur nom dans leur chapeau : « Alors ils se considérèrent. ». Tombés sous le charme l’un de l’autre, Bouvard et Pécuchet découvrent que non seulement ils exercent le même métier de copiste, mais qu’en plus ils ont les mêmes centres d’intérêts. S’ils le pouvaient, ils aimeraient vivre à la campagne.
La mare au diable
De son côté, l’homme du travail est trop accablé, trop malheureux et trop effrayé de l’avenir, pour jouir de la beauté des campagnes et des charmes de la vie rustique. Pour lui aussi les champs dorés, les belles prairies, les animaux superbes, représentent des sacs d’écus dont il n’aura qu’une faible part, insuffisante à ses besoins, et que, pourtant, il faut remplir, chaque année, ces sacs maudits, pour satisfaire le maître et payer le droit de vivre parcimonieusement et misérablement sur son domaine.
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Juin 1316. Louis X le Hutin vient de mourir empoisonné. Pour la première fois depuis trois cents ans, un roi capétien disparaît sans qu’un fils lui succède. Ce quatrième volume des Rois maudits fait revivre les luttes acharnées qui vont être livrées afin de s’emparer de la Régence. C’est le frère du roi mort, le comte de Poitiers, qui l’emportera. Pour préparer son accession au trône, il s’appuiera sur une certaine loi salique, cette « loi des mâles », en vérité adaptée pour la circonstance, qui constituera désormais le règlement de succession de la monarchie française. La disparition du fils posthume de Louis le Hutin permet au comte de Poitiers de devenir Philippe V, dit le Long.
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Tome 2 – Aux trois gentilshommes mousquetaires Athos, Porthos et Aramis, toujours prêts à en découdre avec les gardes du Cardinal de Richelieu, s’associe le jeune gascon d’Artagnan fraîchement débarqué de sa province avec pour ambition de servir le roi Louis XIII.
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