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Jean d'Ormesson
Dieu, les affaires et nous
Il n’est ni tout à fait la droite, dont il est sociétaire à part entière, encore moins la gauche, dont il est parfois un évêque in partibus ; il n’est définitivement ni de Neuilly ni de Saint-Fargeau ; il n’est ni Sarkozy ni Mitterrand ; ni l’Ancien Régime ni la Révolution, -il est tout simplement ce que l’on retrouve au fond du creuset, cet alliage d’évidence : Jean d’Ormesson, c’est la France ! Il n’est pas centriste, il est central.
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Dans cet ouvrage, qui couronne le cheminement de toute une vie, le très renommé Billy Graham vous invite à vous joindre à lui dans cette découverte du plan de Dieu pour ce voyage enthousiasmant qui se nomme la vie.
Quelque soit l’endroit où vous vous trouvez, que ce soit au début du voyage, au milieu ou près de la fin, vous avez déjà appris que la vie offre une diversité de chemins. Et chaque croisement, chaque croisée des chemins exige un choix ; quelques-uns insignifiants, d’autres majeurs.
Comment choisir le bon chemin et manœuvrer à travers les inévitables bosses et nids de poule qui se présentent devant vous ? Découvrez celui qui veut se joindre à vous et vous aider, malgré les défis qui se présentent, à arriver un jour à bon port, à la maison.
The political ideas of St Thomas Aquinas
En Anglais – St. Thomas Aquinas, the chief spokesman of medieval scholasticism, was born at Aquino, a tiny place near Naples and from the name of the place he received the title Aquinas. But he is better known as Thomas and his thought is known to us as Thomism. He belonged to an aristocratic Italian family which had connections with European kings and emperors. In order to be a church father and to devote his life to the cause of Christianity and study he surrendered his title “Count.” He joined the Dominican Order at the age of nineteen and for this purpose he had to fight his family. He studied in Naples, Cologne and Paris and in the last mentioned place he delivered several lectures on philosophy and theology. At the age of forty- eight he died.
L’édit de Nantes – Réflexions pour un pluralisme religieux
Signé en 1598 par Henri IV, l’édit de Nantes est paradoxalement plus connu pour sa révocation, un siècle plus tard. Exalté depuis comme un chef-d’oeuvre de tolérance, par opposition à l’intolérance de Louis XIV et de ses dragons, il a acquis une valeur symbolique qui excède largement sa portée réelle. Pierre Joxe lui restitue son véritable sens : compromis nécessaire à l’ordre public, il fut surtout utile à l’enracinement de la monarchie absolue. Mais retracer cette histoire fournit aussi à l’auteur l’occasion d’une réflexion plus large sur l’organisation du pluralisme religieux dans la société française. Dans un dernier chapitre inédit, il revient longuement sur les problèmes de l’organisation du culte musulman, depuis le Corif (Conseil de réflexion sur l’islam en France) dont il prit l’initiative, jusqu’à l’instauration du Conseil français du culte musulman, parachevée par Nicolas Sarkozy. A la lumière de ces débats, l’édit de Nantes prend alors un relief particulier, en devenant le symbole du respect du pluralisme religieux inhérent à l’idée de laïcité.
Pèlerinages
Le pèlerinage est un lieu de prière ou un voyage réalisé dans un esprit de dévotion et de piété. Toutes les religions possèdent des lieux de dévotion où leur fidèles se rendent en pèlerinage, cette pratique constituant le plus souvent une expérience rituelle essentielle. Chrétiens, juifs, musulmans, bouddhistes .la démarche de recherche de soi, des autres et de Dieu, est universelle et l’auteur, le photographe japonais Kazuyoshi Nomachi nous propose de nombreuses routes de prières, souvent dans des pays pauvres et reculés où les pèlerins s’éloignent des tourments du monde pour se ressourcer et revitaliser leur foi. L’ouvrage nous emmène dans de fabuleux voyages vers les lamasseries du Tibet, la vallée du Nil berceau des religions ou vers des pèlerinages chrétiens d’ailleurs en Ethiopie ou encore vers les cimes péruviennes des Andes, partout où les pèlerins de toutes origines ressentent le besoin « d’arrêter le monde » et de revitaliser leur foi.