Giuseppe Verdi, Friedrich Von Schiller
Don Carlo
Don Carlos est un « grand opéra à la française » en cinq actes de Giuseppe Verdi, sur un livret de Joseph Méry et Camille du Locle, d’après la tragédie Don Carlos de Friedrich von Schiller, créé le 11 mars 1867 à l’Opéra de Paris1.
Remanié en 1884, il devient Don Carlo pour la scène italienne. C’est dans la traduction italienne qu’il conquiert les scènes mondiales, donnant lieu au mythe d’une version italienne, alors que les deux versions (1866-67 et 1884) furent composées sur un texte français.
Vous aimerez aussi
In this thy day
En Anglais – In « In this thy land » (1945) McLaverty explores the effects of the famine on the consciousness of the Irish rural poor after the passage of the Wyndham Land Act (1903) enabled to possess land. For them, it symbolized autonomy, social respectability, and the ability to resist the disasters and starvation of the past …..
Malraux, une vie dans le siècle
Malraux a-t-il agi pour trouver dans l’action la source de son inspiration ? A-t-il écrit parce que l’action ne lui donnait ni la réponse à une certaine exigence d’absolu, ni l’accomplissement que cherchent les conquérants? Sa vie et son oeuvre restent profondément liées : vie construite comme une oeuvre, oeuvre pantelante comme une vie. Cette biographie retrace l’histoire d’un homme qui, à force de vouloir « transformer en conscience la plus large expérience possible », a vécu plus totalement son temps qu’aucun de ses contemporains. Ainsi, cette « vie dans le siècle » peut-elle être vue comme une vie du siècle lui-même.
L’église verte
Dans un village de France, on découvre un homme qui vient de nulle part : un homme sans nom, sans famille, sans passé, ou, du moins, se prétendant tel. Il semble avoir vécu un certain temps caché au cœur de la forêt, cette « église verte « , ultime refuge pour ceux qui veulent fuir leurs semblables… Ou eux-mêmes. Quel est son secret ? Hymne vibrant à la nature – dont Hervé Bazin, obstiné campagnard, parle mieux que personne, en connaisseur et en poète – L’Eglise verte nous interroge : en fin de compte, qu’est-ce qu’un homme ? Un état civil ? Un animal civilisé ? Un être obligatoirement social ? Classés, fichés, bureaucratisés, sommes-nous encore libres différents, solitaires, vraiment nous-mêmes ?
Le mariage était-il différent aux siècles passés? Dans Le Chevalier, la femme et le prêtre, Georges Duby étudie les liens du mariage au moment où ils connaissent une crise importante illustrée par l’excommunication du roi de France Philippe Ier pour cause de bigamie en 1095. La condamnation par le Pape d’une situation conjugale jugée scandaleuse illustre la tension que connaît alors l’institution matrimoniale prise dans un étau entre deux théories, celle des clercs et celle des chevaliers. Du XIe au XIIIe siècle, Georges Duby examine l’évolution du mariage dans les milieux de la noblesse en suivant la théorie ecclésiastique, les discours littéraires et les généalogies. L’Église et les guerriers entrent de concert dans la voie du compromis et d’une nouvelle morale matrimoniale. C’est bien au coeur du Moyen Âge que sont élaborées les règles d’une conjugalité dont la société contemporaine gère encore l’héritage. Une démonstration limpide menée par l’un des plus grands médiévistes français. –Loïs Klein –Ce texte fait référence à une édition épuisée ou non disponible de ce titre.