Seo Hong Seock
Dragon Hunter – 06
Pour se venger des humiliations qu’il a connu dans le passé, Taerang n’a pas hésitez à prendre en otage la soeur de Myoungho. Alors que leur combat fait rage, les deux chasseurs se retrouvent face à face avec un dangereux monstre.
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“Ici, c’est le paradis” – Une enfance en Corée du Nord
Philippe Grangereau, écrivain et grand reporter, a recueilli à Séoul ce récit hallucinant. Hyok nous y décrit l'ultime forteresse communiste coupée du monde, ses camps de travail et ses exécutions publiques des « camarades » récalcitrants. Il a même dessiné, avec un vrai talent, les scènes qui l'ont le plus marqué. Hyok a fui avec ses parents, d'abord en Chine où la police les a pourchassés, puis en Corée du Sud, en 2002. Là seulement, il a compris qu'il revenait de l'enfer.
L’Évangile de Jimmy
« Je m’appelle Jimmy, j’ai 32 ans et je répare les piscines dans le Connecticut. Trois envoyés de la Maison-Blanche viennent de m’annoncer que je suis le clone du Christ ».
D.V.C.
The Supernaturalist
En Anglais – In the future, in a place called Satelite City, fourteen-year-old Cosmo Hill enters the world, unwanted by his parents. He's sent to the Clarissa Frayne Institute for Parentally Challenged Boys, Freight class. At Clarissa Frayne, the boys are put to work by the state, testing highly dangerous products. At the end of most days, they are covered with burns, bruises, and sores. Cosmo realizes that if he doesn't escape, he will die at this so-called orphanage. When the moment finally comes, Cosmo seizes his chance and breaks out with the help of the Supernaturalists, a motley crew of kids who all have the same special ability as Cosmo-they can see supernatural Parasites, creatures that feed on the life force of humans. The Supernaturalists patrol the city at night, hunting the Parasites in hopes of saving what's left of humanity in Satellite City. Or so they think.
Rien de grave
« Tu t’attendais à quoi ? Je lui ai dit. Tu crois que ça va être facile de me quitter ? Tu crois que je vais te laisser faire comme ça ? J’ai lancé le cadre par terre, le verre s’est brisé mais comme c’était pas assez, j’ai bondi du lit et j’ai déchiré la photo, celle qu’il prétendait tant aimer, la photo de nous deux en mariés, beaux et légèrement ridicules, il y avait tant de monde qu’on ne connaissait pas à notre mariage qu’on est partis avant la fin. Il a eu l’air triste, plus de la photo déchirée que du fait de me quitter. Il a toujours été fou avec les photos. Parfois je me disais qu’il n’aimait les choses de la vie que pour les voir un jour en photo. Moi c’est le contraire, rien ne me fait plus peur qu’une photo de bonheur avec toute la quantité de malheur qu’elle promet, qu’elle contient, mais sans le dire, en cachant bien son jeu. Je ne savais pas encore que c’était la meilleure chose qui puisse m’arriver, qu’il me quitte. Comment j’aurais pu le savoir ? Il était toute ma vie, sans lui je n’existais pas. »