- Home
- >
- Spiritualité
- >
- Jésus guérit un paralysé
Collectif
Jésus guérit un paralysé
Livre neuf – Un livre joliment illustré pour raconter aux enfants l’histoire de la guérison d’un homme paralysé. La poignée ravira les plus jeunes et les 4 puzzles de 16 pièces leur permettront de participer activement.
Vous aimerez aussi
La vie de saint Paul – Tome III – L’homme qui devint Dieu
Saül, notre saint Paul, est exceptionnel à maints égards. II est le seul saint du calendrier qui ait participé à l’assassinat d’un autre, Étienne. Il est l’ « inventeur » de l’Église : ce sont ses missions qui ont fondé les premiers grands centres chrétiens à l’extérieur de Jérusalem. Mais ce n’est pas tout… Assurément, il était citoyen romain. Mais comme il se prétend également juif et qu’il était à l’époque impossible d’être officiellement juif et citoyen romain, car on ne pouvait à la fois adorer Jupiter et Jéhovah, il y a là un mystère. Et le mystère s’épaissit quand on apprend par les Actes que, lors de son arrestation, les Romains lui assignèrent une escorte extraordinaire, avec quatre cent soixante-dix archers et soldats. Ce n’étaient certes pas les honneurs qu’ils réservaient d’ordinaire à leurs prisonniers. Quel était donc le rang de Saül ? Pourquoi trois préfets romains le protègent-ils avec tant d’obstination? Autre mystère, mais non le dernier : il se dit originaire de Tarse; à l’examen encore, cela apparaît douteux, comme l’avait déjà relevé saint Jérôme au IVe siècle. Pourquoi Saül dissimule-t-il sa véritable origine ? Quelle est, entre autres mystères, la raison profonde de sa longue et violente querelle, ponctuée d’injures telles que « hypocrite » et « mauvais chrétien », avec les apôtres Pierre, Jacques le Mineur et Jean ?
L’édit de Nantes – Réflexions pour un pluralisme religieux
Signé en 1598 par Henri IV, l’édit de Nantes est paradoxalement plus connu pour sa révocation, un siècle plus tard. Exalté depuis comme un chef-d’oeuvre de tolérance, par opposition à l’intolérance de Louis XIV et de ses dragons, il a acquis une valeur symbolique qui excède largement sa portée réelle. Pierre Joxe lui restitue son véritable sens : compromis nécessaire à l’ordre public, il fut surtout utile à l’enracinement de la monarchie absolue. Mais retracer cette histoire fournit aussi à l’auteur l’occasion d’une réflexion plus large sur l’organisation du pluralisme religieux dans la société française. Dans un dernier chapitre inédit, il revient longuement sur les problèmes de l’organisation du culte musulman, depuis le Corif (Conseil de réflexion sur l’islam en France) dont il prit l’initiative, jusqu’à l’instauration du Conseil français du culte musulman, parachevée par Nicolas Sarkozy. A la lumière de ces débats, l’édit de Nantes prend alors un relief particulier, en devenant le symbole du respect du pluralisme religieux inhérent à l’idée de laïcité.
Immortelle randonnée – Compostelle malgré moi
Jean-Christophe Rufin a suivi à pied, sur plus de huit cents kilomètres, le « Chemin du Nord » jusqu’à Saint-Jacques-de-Compostelle. Beaucoup moins fréquenté que la voie habituelle des pèlerins, cet itinéraire longe les côtes basque et cantabrique puis traverse les montagnes sauvages des Asturies et de Galice. « Chaque fois que l’on m’a posé la question : “Pourquoi êtes-vous allé à Santiago ?”, j’ai été bien en peine de répondre. Comment expliquer à ceux qui ne l’ont pas vécu que le Chemin a pour effet sinon pour vertu de faire oublier les raisons qui ont amené à s’y engager ? On est parti, voilà tout. » Galerie de portraits savoureux, divertissement philosophique sur le ton de Diderot, exercice d’autodérision plein d’humour et d’émerveillement, Immortelle randonnée se classe parmi les grands récits de voyage littéraires.
Fin du peuple juif ?
Ce livre est une réflexion sur la société israélienne et, à travers elle, sur le passé, le présent et l'avenir des juifs. Venu pour observer une expérience, Georges Friedmann s'est trouvé, en Israël, personnellement impliqué par la prise de conscience du judaïsme et les âpres discussions qu'elle y suscite. Sommes-nous réduits au choix entre une conception mystique de la judaïcité et une autre qui voit en elle un accident de l'histoire ? Comment le récent massacre de six millions de juifs a-t-il été possible ? Loin d'assister à sa résurrection, ne discernons-nous pas aujourd'hui la fin du « peuple juif », rongé par l'assimilation dans la Diaspora et par l'israélisation sur la terre des Promesses ?