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Ines de la Fressange, Sophie Gachet
La parisienne
Vendu sans bandeau – Quel sont les secrets du chic de la parisienne ? Ines de la Fressange livre toutes ses astuces de style, beauté, déco, ses adresses préférées et les bonnes attitudes à adopter dans ce carnet très gai écrit avec la complicité de Sophie Gachet, journaliste à ELLE. Les photos et les dessins sont réalisés par Ines. Et sa fille Nine d’Urso joue le modèle sous l’œil du photographe Benoît Peverelli. Les modes passent, Ines reste !
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L’abeille et l’architecte
François Mitterrand est un de ceux qui croient qu’il n’est de bonne écriture qu’exacte. Tandis qu’il mène sa vie d’homme d’action, un autre en lui observe le vent « grande rumeur dans le ciel immobile », garde le rythme des jours avec l’odeur du blé, l’odeur du chêne, la suite des heures. L’écrivain qu’il est laisse place à l’élan du rêve, aux sensations, aux émotions. Il nous donne la Crète, le vertige du Kremlin, les canards sauvages virant de bord à Manhattan, l’angoisse du Japon, son étonnement devant le retournement communiste. L’homme d’Etat dialogue avec Kissinger, venu le voir chez lui à Paris, avec Brejnev – ce qui nous permet de saisir une clef de l’empire soviétique. Il parcourt le monde avec son bâton de pèlerin socialiste.
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La morale occupe une place centrale dans l’oeuvre de Diderot et dans Le Neveu de Rameau. La morale a un double sens: les moeurs, les opinions et les comportements valorisés dans une société et la science des moeurs. À côté des études savantes ou apologétiques (religieuses), la satire offre un moyen pour comprendre les normes et les valeurs morales, en dénonçant leur transgression par des vicieux. Le Neveu de Rameau est une « satyre ». L’article analyse le genre de satire qu’est ce dialogue. Il apparaît que si d’un côté c’est Lui, le vicieux qui est la cible de la satire, de l’autre c’est lui qui fait la satire d’un milieu social qui nie les valeurs de la morale commune.
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Faut-il dire la femme… ou les femmes d’aujourd’hui Et qui est-elle ou qui sont-elles ? Il y a Délia, toute jeune mariée, amoureuse, mais qui défend farouchement sa liberté; il y a Emma, l’adolescente dangereusement piégée dans les filets d’une secte mystique; il y a Françoise, journaliste indépendante qui sait vivre comme un homme… D’autres encore, fragiles ou conquérantes ou frustrées. Traversant les drames et les fêtes de l’existence, ces femmes se rencontrent, se parlent et se découvrent. Lucidement. Crûment. Comme jamais leurs aînées n’auraient osé le faire. Et si les hommes à leur tour, en lisant ce livre, osaient découvrir leur compagne d’aujourd’hui ? Ni tout à fait la même ni tout à fait une autre…
Taisez-vous Elkabbach !
En 1970, il devient présentateur du journal télévisé de la première chaîne. En 1972, il rejoint la deuxième chaîne pour y occuper la même fonction jusqu’en 1974, tout en animant le magazine Actuel 2. En 1974, il présente la tranche d’information de midi de France Inter, puis il est successivement, à partir de 1975, rédacteur en chef de France Inter, rédacteur en chef à la direction de l’information de Radio France, et directeur de l’information d’Antenne 2 en 1977. En particulier, il commente le couronnement de Jean-Bedel Bokassa, empereur de Centrafrique en décembre 1977. En octobre 1979, il écarte Claude Sérillon de la présentation de la revue de presse de la chaîne dans laquelle ce dernier avait traité l’affaire des diamants de Bokassa9. De 1977 à 1981, il anime différentes émissions dont Cartes sur table avec Alain Duhamel.