Christine Metcalf
La passion des chats
Les chats à robe lisse et les chats au pelage duveteux, les grands chats et les petits chats, ceux qui ont un pedigree et ceux qui n’en ont pas, les chats à poils longs et les chats à poils ras, les chats joueurs et les chats énigmatiques – tous sont représentés ici par 138 superbes photographies en couleurs. Christine Metcalf, juge d’expositions et éleveur expérimentée, évoque non seulement le plaisir de vivre en compagnie des chats et la manière de les soigner mais décrit aussi les différentes races y compris les plus récentes.
Vous aimerez aussi
Promesse
Nous sommes au cours de la cinquième année de la guerre sino-japonaise, c'est aussi l'année de Pearl Harbour. « Lorsque nous apprendrons que le peuple des américains est entré en guerre à nos côtés, dit un des héros de cette histoire, cela nous donnera à tous la force de tomber sur l'ennemi, de le chasser du pays. » Hélas, Pearl Harbour est une défaite écrasante … Faut-il donc renoncer à la promesse de la liberté ?
La baie des anges – Tome II – Le palais des fêtes
Le temps a passé. le siècle a enfin commencé. C’est à peine si les frères Revelli, ces Piémontais partis faire leur vie à Nice, se croisent encore. Quand Carlo, l’ancien maçon, construit patiemment un empire du bâtiment, Vincente enchaîne les petits boulots. Quant à Luigi, personne ne sait au juste en quoi consistent ses affaires, plus que louches. Chacun trace sa route, à sa manière – opportuniste, humble ou malhonnête -, fonde une famille… Et subit, au gré de l’Histoire, les chamboulements politiques qui décident des guerres, des amours, des ruptures. Dans ces années furieuses où tout devient possible, l’arbre généalogique bourgeonne, se métisse, s’intègre dans la capricieuse société de l’entre-deux-guerres. L’ombre fasciste grandit et la mort frappe, pour la première fois, un clan plus éclaté que jamais…
Un petit bourgeois
Biographie ou roman, l’essentiel (au moins à mon sens) est d’abord affaire de langage, et aujourd’hui qu’on méprise si fort la prose, ce qui s’appelle la prose, il me plaît qu’un de mes cadets, arrivant à maturité, aux lecteurs qui parcourent les livres sans les couper donne d’abord cette leçon de français contemporain, dont il n’y a point de chaire dans nos écoles. Il y a très longtemps qu’on n’a pas écrit ainsi, je veux dire avec cette jeune maîtrise de la phrase, qui fait penser qu’il en va de celle-ci comme des femmes, jamais si belles qu’en négligé.
Clochemerle – Babylone
Le village de Clochemerle après des jours brûlants a retrouvé son calme. Seul Tistin, le fainéant, se distingue par sa nonchalance et sa belle humeur. En effet, Baptistin Lachaud est incontestablement le plus paresseux des habitants de Clochemerle. Ne se voyant proposer que « du travail infect et humiliant », Tistin préfère passer son temps à le regarder filer, entre deux parties de pêche et de chasse… Ce qui ne l’empêche aucunement d’être heureux, souriant, gai comme un pinson et… pas du tout gêné de ne rien faire ! Il faut dire aussi qu’il est logé chez la généreuse Babeth, qui lui mitonne de bons petits plats avec ce qu’il braconne dans les bois. D’ailleurs, Tistin se fait surprendre avec un lièvre par le garde-chasse Beausoleil. Pour garder son futur repas, Tistin propose d’inviter Beausoleil à déjeuner prochainement …….