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Katharine Ashe
Le duc diabolique – Cœur de fripouille
Héritière d’un duc, lady Constance est aussi un agent du Falcon Club, société secrète qui recherche des personnes disparues. Sa position sociale lui est fort utile pour enquêter, et sa prochaine mission concerne justement un duc pervers? que son père s’est mis en tête de lui faire épouser ! Constance, qui n’a rien d’une faible femme, décide d’apprendre l’escrime pour se défendre en cas de danger. Or, Evan de Saint-André, l’homme qui se présente pour être son maître d’armes, n’est autre que celui qui a bouleversé sa vie six ans plus tôt?
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Brandebourg
Brandebourg, thriller rural situé dans la région homonyme, au sein d’un village de l’ex-rda, a 70 kilometres de Berlin, dynamite et renouvelle le roman de terroir. Entouré de grands champs de blé, le village d’Unterleuten a connu le regroupement des terres en coopératives d’État et, apres l’effondrement de la rda, les démarches compliquées de la restitution des biens collectivisés. A l’été 2010, un projet de parc éolien menace la paix de la petite commune ou des Berlinois romantiques qui ont effectué un retour a la terre côtoient des paysans du cru et leurs familles. Une véritable partie d’échecs s’engage pour obtenir les dix hectares nécessaires a ce parc, qui rapporterait 150 000 euros chaque année au propriétaire. Peu a peu, les principaux “joueurs” se dévoilent et peaufinent leur stratégie. De vieilles rancunes et d’anciennes rixes refont surface…
Les Bourgeois
Ils se nomment Bourgeois et leur patronyme est aussi un mode de vie. Ils sont huit frères et deux sœurs, nés à Paris entre 1920 et 1940. Ils grandissent dans la trace de la Grande Guerre et les prémices de la seconde. Aux places favorites de la société bourgeoise – l’armée, la marine, la médecine, le barreau, les affaires -, ils sont partie prenante des événements historiques et des évolutions sociales. De la décolonisation à l’après-Mai 68, leurs existences embrassent toute une époque.
Tout près du tueur
Vingt et un ans plus tôt, ils ont été les témoins d’un crime atroce. Aujourd’hui, ils vont payer pour leur silence. Alors qu’elle court, comme tout les matins, dans le parc près de chez elle, le médecin légiste Lucy Trask découvre avec horreur le corps affreusement mutilé d’un homme. Un homme qu’elle a autrefois bien connu, comme l’enquête de la police de Baltimore va vite le révéler. En plaçant le corps à cet endroit, le tueur voulait-il attirer l’attention de Lucy ? Et que signifie la lettre, ou le chiffre, tracé sur le dos de la victime ? La découverte d’un deuxième corps, lui aussi mutilé, plonge Lucy dans l’angoisse et le désarroi. Car cette nouvelle victime, comme la première, vient d’Anderson Ferry, la petite ville où elle a vécu enfant. Qu’est-ce qui la relie à ce tueur violent, sadique, que rien n’arrête, et qui, elle le pressent, se cache dans son entourage? Et parviendra-t-elle, au prix d’une éprouvante plongée dans ses souvenirs les plus sombres, à rassembler les pièces du puzzle macabre qu’il semble vouloir lui proposer ? Pour faire éclater la vérité, et pour survivre, Lucy ne peut compter que sur l’inspecteur Fitzpatrick.
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Genet nous avertit. Il ne faut pas prendre cette tragédie à la lettre : « C’est un conte, c’est-à-dire une forme de récit allégorique. » « Sacrées ou non, ces Bonnes sont des monstres. Elles ont vieilli, elles ont maigri dans la douceur de Madame. Elles crachent leurs rages. » Les domestiques sont des êtres humiliés dont la psychologie est pertubée. Austères dans leur robe noire et souliers noirs à talons plats, les bonnes ont pour univers la cuisine et son évier ou la chambre en soupente, dans la mansarde, meublée de deux lits de fer et d’une commode en pitchpin, avec le petit autel à la Sainte Vierge et la branche de buis bénit. Genet a réussi cette pièce, Les Bonnes, peut-être parce qu’il revivait, à l’intérieur de ses personnages, en l’écrivant, sa propre humiliation.