- Home
- >
- Santé et bien-être
- >
- Le journal de moi… Maman
Muriel Ighmouracène
Le journal de moi… Maman
Elle est là. Posée sur mon ventre, toute nue contre moi. Je ne sais pas comment faire pour réussir à la serrer hyperfort sans l étouffer, tant qu à faire tout en la regardant. Je louche pour la voir, je recule la tête pour l admirer. C est moi qui l ai sortie, je l ai prise de mes mains et posée sur moi, je n en reviens toujours pas. Pour Muriel, une nouvelle aventure commence : l exploration (mouvementée) de la parentalité ! Pas si simple la vie à trois. Loin des lieux communs et toujours avec humour, elle partage avec nous sa fierté d être mère, le plaisir de voir grandir son enfant jour après jour et, aussi, ses grands moments de solitude les nuits sans sommeil, les coups de stress et les coups de blues, la vie de couple en pointillé, bref tout ce qui fait le sel et le poivre de ce grand bonheur.
Vous aimerez aussi
La grosse et la maigre
L’une pèse la moitié de l’autre. Quel est le poids réel ou imaginaire des kilos dans la vie amoureuse, familiale, professionnelle, sociale ? Christiane Collange, 82 kg , et Claire Gallois, 42 kg, se posent sans concession les questions qui obsèdent tant de femmes – et tant d’hommes – dans une société qui confond trop souvent l’être et le paraître. Leurs réponses sincères et imprévues confirment qu’il ne s’agit pas d’un mince problème.
Les enfants de l’indicible peur
Ce livre met en lumière un visage inconnu de l’enfant autiste. Si cet enfant n’est jamais entré dans le » monde des gens », c’est qu’il a été frappé d’une indicible peur devant son étrangeté et médusé par sa beauté. Cette révélation rend la figure du petit garçon ou de la petite fille hors du temps et hors d’atteinte tout à coup moins énigmatique. C’est non seulement cette rencontre manquée avec l’Autre que Henri Rey-Flaud nous fait découvrir, mais encore les stratégies savantes mises en oeuvre par l’enfant pour ne pas être submergé par le réel, ni emporté par la dynamique du langage : ainsi Sarah accrochée à son coquillage-fétiche ou Antonio maniant son miroir, lieu de sa disparition et de sa renaissance. Que ces défenses soient insuffisantes à contenir sa peur, c’est ce dont témoigne la façon qu’il a de murer son regard, sa voix et son corps. Une rétention, quelquefois totale, difficile à soutenir pour les parents.
Douleurs – Sociétés, personne et expressions
Dans le premier volume, » Douleurs : du neurone à l’homme souffrant « , ont été exposés les points de vue des biologistes et l’approche des cliniciens. Ce second volume s’intitule : » Douleurs : société, personne et expressions » : Sociétés : face à l’expérience individuelle qu’est la douleur, c’est l’ensemble des sociétés, et pour chacune d’entre elles toutes leurs composantes, qui s’efforcent de donner une siginification aux douleurs. Celles-ci prennent alors une valeur culturelle, dont émergent croyances et pratiques sociales ; Personne : la symbolique qui s’attache à la douleur inscrit les êtres dans un vécu, une corporéité et une crainte de la souffrance. C’est une expérience du corps et de l’esprit. La douleur paraîtrait sans doute plus acceptable sans son propre souvenir… expressions : comment parler de la douleur, comment l’exprimer ? Tant en ce qui concerne le langage que les arts, les expressions des douleurs apparaissent dans les productions humaines comme des repères conventionnels ou sublimés. Chacun y fait référence avec sa culture, sa sensibilité, mais aussi son langage et les mots qu’y consacre sa langue.
Comprendre le VIH/Sida
Une pandémie s'est développée à partir de la fin des années 1970, faisant de cette maladie un problème sanitaire mondial. La prévention, telle que l'usage du préservatif, constitue de loin la meilleure option, car il n'existe actuellement aucun vaccin permettant de se protéger du virus, et les traitements antiviraux disponibles actuellement ne permettent aucune guérison. Bien qu'ayant une certaine efficacité, ils ne peuvent que stopper la prolifération du VIH au sein de l'organisme et non l'éradiquer. De plus, ces thérapeutiques, coûteuses, ne sont facilement accessibles que dans les pays développés qui peuvent assurer la charge financière ; dans les pays en développement, plus de 95 % des patients ne bénéficient aujourd'hui d'aucun traitement efficace. Pour cette raison, l'ONU, à travers son programme ONUSIDA, a fait de la lutte contre le sida une de ses priorités.