Luisa Ginoulhiac
Le Labrador
Le Labrador est doté de nombreuses qualités : un physique robuste et solidement construit, un très grand flair, et bien sûr un tempérament ardent et docile qui fera la joie de ses maîtres et des enfants. Grâce à ses nombreuses capacités, le Labrador et les Retrievers, reconnus comme chiens de chasse, sont également utilisés et réputés comme chiens policiers, chiens d’aveugle, chiens sauveteurs, chiens détecteurs de drogue, etc. Avant tout, le Labrador sera toujours un compagnon fidèle de nature amicale et ne demandera qu’à vous faire plaisir.
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Allons voir plus loin, veux-tu ?
Il y a quatre personnages, très différents. Christine, qui dirige une agence de voyages, se sent épuisée sans raison. Tout devait lui sourire pourtant. A cinquante ans, elle s'est organisée une existence active et libre. mais, sans qu'elle ait jamais osé se l'avouer, la peur de vieillir la mine. Paul, le paysan, un homme sensible et doux, n'a jamais pu s'arracher à la famille, de brutes dans laquelle il est né. Solange, guichetière à la SNCF, en veut au monde entier et d'abord à elle-même. D'où vient cette hargne qui l'habite ? Luc, à force de se battre pour sauver son couple du désastre, est au bout du rouleau, psychologiquement et matériellement. Il n'y a pas de liens entre ces deux femme et ces deux hommes, sauf de brèves rencontres de hasard. mais, tous les quatre vont vivre, dans des circonstances imprévues, ces moments où l'ont est brusquement mis en face de soi-même et où l'ont prend conscience des impasses où l'on s'est engagé.
Le Tartuffe
En laissant Tartuffe entrer dans sa maison, Orgon ne pouvait pas imaginer qu'il allait mettre en péril sa fortune, son honneur, son bonheur et l'unité de sa famille. Et pourtant, c'est bien à quoi travaille « l'imposteur », mais toujours à l'insu du maître de maison : si Tartuffe courtise la femme d'Orgon, c'est sous prétexte de l'entretenir de religion; s'il spolie ses enfants, c'est sous couvert de les remettre dans le droit chemin; s'il s'approprie les cordons de la bourse, c'est pour mieux organiser la dévotion familiale. Comment, dans ces conditions, Orgon aurait-il pu s'apercevoir de son aveuglement et donner au faux dévot la correction qu'il mérite? Avec Tartuffe, Molière livre une satire grinçante de toutes les hypocrisies, satire qui fait mouche et qui, 300 ans plus tard, reste toujours de mise.
La Bible : le code secret II
« Le 11 septembre 2001, j’ai été réveillé par une explosion qui a changé à jamais la face du monde: un avion venait de s’écraser sur le World Trade Center. Je suis monté sur le toit de mon immeuble juste à temps pour voir un deuxième avion percuter les tours. Ce n’était pas un accident. C’était une attaque terroriste. » J’ai dévalé l’escalier et me suis précipité sur mon ordinateur pour scruter le code ancien, le code secret de la Bible. Je savais que j’y trouverais une confirmation, voire une révélation de ce que le sort nous réservait. » Ce dont je venais d’être témoin y était décrit, en caractères hébreux. « Tours jumelles » était codé dans l’antique texte sacré. « Avion » apparaissait précisément au même endroit. Et, transversalement à ces deux mots: « Il a causé la chute, abattu. » L’attentat du 11 septembre 2001 avait été codé dans la Bible trente siècles plus tôt. »Démontrée par un grand mathématicien, portée à la connaissance du public par un livre au retentissement mondial, l’existence d’un code caché dans le texte même de la Bible a suscité un ardent débat. Or, les prédictions du code ne cessent de se vérifier – et leur message ne peut qu’inquiéter. Sommes-nous entrés dans « la fin des jours ? »
Comprendre le VIH/Sida
Une pandémie s'est développée à partir de la fin des années 1970, faisant de cette maladie un problème sanitaire mondial. La prévention, telle que l'usage du préservatif, constitue de loin la meilleure option, car il n'existe actuellement aucun vaccin permettant de se protéger du virus, et les traitements antiviraux disponibles actuellement ne permettent aucune guérison. Bien qu'ayant une certaine efficacité, ils ne peuvent que stopper la prolifération du VIH au sein de l'organisme et non l'éradiquer. De plus, ces thérapeutiques, coûteuses, ne sont facilement accessibles que dans les pays développés qui peuvent assurer la charge financière ; dans les pays en développement, plus de 95 % des patients ne bénéficient aujourd'hui d'aucun traitement efficace. Pour cette raison, l'ONU, à travers son programme ONUSIDA, a fait de la lutte contre le sida une de ses priorités.