Luisa Ginoulhiac
Le Labrador
Le Labrador est doté de nombreuses qualités : un physique robuste et solidement construit, un très grand flair, et bien sûr un tempérament ardent et docile qui fera la joie de ses maîtres et des enfants. Grâce à ses nombreuses capacités, le Labrador et les Retrievers, reconnus comme chiens de chasse, sont également utilisés et réputés comme chiens policiers, chiens d’aveugle, chiens sauveteurs, chiens détecteurs de drogue, etc. Avant tout, le Labrador sera toujours un compagnon fidèle de nature amicale et ne demandera qu’à vous faire plaisir.
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Comprendre le VIH/Sida
Une pandémie s'est développée à partir de la fin des années 1970, faisant de cette maladie un problème sanitaire mondial. La prévention, telle que l'usage du préservatif, constitue de loin la meilleure option, car il n'existe actuellement aucun vaccin permettant de se protéger du virus, et les traitements antiviraux disponibles actuellement ne permettent aucune guérison. Bien qu'ayant une certaine efficacité, ils ne peuvent que stopper la prolifération du VIH au sein de l'organisme et non l'éradiquer. De plus, ces thérapeutiques, coûteuses, ne sont facilement accessibles que dans les pays développés qui peuvent assurer la charge financière ; dans les pays en développement, plus de 95 % des patients ne bénéficient aujourd'hui d'aucun traitement efficace. Pour cette raison, l'ONU, à travers son programme ONUSIDA, a fait de la lutte contre le sida une de ses priorités.
Notre histoire – 1922-1945
Aux yeux de l’Histoire, tout oppose Hélie de Saint Marc et August von Kageneck. L’un est français, autrefois résistant et déporté à Buchenwald ; l’autre est allemand, autrefois officier de la Wehrmacht sur le front de l’Est. Pourtant, tous deux ont vécu l’inexorable ascension d’Adolf Hitler, et l’effondrement du monde de leurs pères. Au fil de leur entretien s’installent tous les fantômes de la guerre et de l’avant-guerre, avec une digne gravité et la force bouleversante des seuls souvenirs. Chaque douleur y a sa mesure, chaque horreur son quotidien. Un livre à hauteur d’homme, d’une force d’évocation peu commune.
Le Président
5 mai 2002. Paul Berthier est réélu au second tour des élections présidentielles devant le chef de l’extrême droite. Pour remercier le jeune Arnaud Bressard, le président le nomme assistant de Pierrat, son vieil ami et conseiller spécial. Le premier ministre Dumay gouverne le pays en s’efforçant d’éviter les remous, pendant que l’ambitieux ministre de l’intérieur Rambaud multiplie les apparitions publiques et renforce les mesures sécuritaires dans le pays. Soudain, une vague d’attentats déferle sur la France, semant la peur et la consternation. Grâce aux informations fournies par sa maîtresse, la belle banquière Heliana, Arnaud découvre qu’une organisation mafieuse qui blanchit des milliards se cache derrière ces troubles.
Tigre en papier
Poétique des années 60. Ainsi Olivier Rolin aurait pu signer également son livre Tigre en papier. Des années 60, avec tout ce qu’elles possédaient pour rugir et mordre dans la vie. Né entre la mère des défaites et Diên Biên Phu, le narrateur s’emploie à raconter sa jeunesse en roulant frénétiquement le long du périphérique parisien. Une jeunesse qui voit se déployer portraits, objets et gestuel. C’est le temps des copains, des clampins sympathiques « à la vie à la mort », des virées ici et là, où l’on fauche une bagnole à Vesoul, gravit la tour sud de Saint-Sulpice, où l’on file en voyage jusqu’au Mékong, le temps des Trabants, des cuites, de la Gitane maïs, des tracts qui n’en finissent plus, rédigés dans la nuit et ronéotypés, des réunions politiques, d’Eddy Merckx, de Nixon, et de Sartre houspillé chez Renault…