Michael Baigent, Richard Leigh, Henry Lincoln
Le message
Si la preuve d’une descendance de Jésus était faite, quelles seraient les conséquences pour les religions, le monde, l’Europe en particulier. Après avoir levé le voile sur un secret jalousement gardé depuis deux mille ans – mais connu de plusieurs communautés et de hauts dirigeants religieux et politiques -, les auteurs vont encore plus loin. S’appuyant sur les plus récentes études bibliques et sur de nombreux documents inédits, ils apportent de nouvelles lumières sur l’évolution du christianisme, la survie de la descendance de Jésus, l’action souterraine du Prieuré de Sion et ses liens avec l’ordre de Malte, le Vatican, la CIA, les franc-maçons. Une passionnante enquête à travers les siècles, qui lie l’histoire de la France et de l’Europe au destin du monde.
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Les flammes de la vengeance
A la fin du XIXe siècle, l’empire banquier des Mendoza règne en Angleterre, en Espagne et à Porto-Rico. Mais en cette année 1898, tout risque de basculer pour ce grand pouvoir financier si Lila Curran mène à bien sa terrible vengeance. Car cette femme, surnommée la Veuve noire, n’a pas oublié les trois années de réclusion et de mauvais traitements qu’elle a subies à la suite de son mariage avec ce fou de Juan Luis Mendoza. Libérée de cette emprise tyrannique par une mystérieuse lettre, elle part vivre à Dublin, où elle construit patiemment sa vengeance, au fil des ans. Elle n’a désormais plus qu’un seul objectif : causer la ruine des Mendoza. D’un bout du monde à l’autre, elle n’aura de cesse d’attirer ses proies dans le brasier des flammes de la vengeance.
Une vie volée
« Le suicide est une forme de meurtre – de meurtre prémédité. Ce n’est pas quelque chose qu’on fait dès la première fois qu’on y pense. Il faut d’abord s’y habituer. Et il faut en avoir les moyens, l’occasion et la motivation. Un suicide réussi exige une bonne organisation et du sang-froid » 1967, Susanna Kaysen a dix-huit ans. Elle a du vague à l’âme, elle est mal dans sa peau – comme beaucoup d’adolescentes, en somme. Mais de là à se retrouver internée comme malade mentale ! C’est pourtant ce qui va lui arriver… Tout commence par une visite chez un médecin qu’elle consulte pour un banal furoncle, la suite est un engrenage effrayant, dont elle ne sortira qu’un an et demi plus tard. Sans un mot de trop, sans fioritures, l’auteur nous décrit la vie quotidienne dans un hôpital psychiatrique réputé pour ses méthodes « modernes » et ses pensionnaires célèbres.
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