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Walt Whitman
Leaves of grass and selected prose
En anglais – … » I’ve been reading bits and pieces of this mammoth collection for decades. Though I haven’t finished every last page, I’ve completed the lion’s share of the famous sections and will keep whittling away on the rest. » …
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Adam Runaway
En Anglais – « It is 1721 and young Adam Hanaway, devastated by his father’s sudden death, leaves England to seek his fortune in Lisbon, where his uncle is a successful merchant. But almost nothing turns out as Adam planned. His family’s welcome is cool, and Adam’s rise to the top is thwarted by Bartolomeu Gomes, his uncle’s treacherous clerk. » « As Adam attempts to overcome these obstacles he is handicapped by a certain personal trait. Not, he insists, that he is a coward exactly, but he is inclined to boldly put himself in dangerous situations and then at the last minute run away from them – hence the nickname given to him by friends who had observed this failing once too often. » « While Adam’s mother and sisters wait in England for him to rescue them from poverty, Adam is preoccupied with more compelling women: the beautiful, older half-Portuguese lady Maria Beatriz Hutchinson; the spoiled, rich Gabriella Lowther; and his charming young cousin Nancy. But Adam commits a social faux pas so severe he forever ruins his chances for making a good match – yet no one dares tell him what he has done wrong! » « Adam certainly has a lot to learn. …
Les années d’illusion
S’il obtient ce poste de secrétaire de mairie que sa mère ambitionne pour lui, Duncan Stirling sait qu’il restera à jamais enterré à Levenford alors qu’il rêve d’être médecin. Le poste lui échappe, car sa rude fierté écossaise l’empêche de courber l’échine devant le Conseil municipal, et sa mère le chasse, mais il est libre enfin d’aller tenter sa chance à St Andrews pour une bourse d’étude et, en chemin, au village de Linton, il se lie avec le docteur Murdoch et sa fille Jeanne dont l’amitié lui sera précieuse. Il faut cinq ans pour conquérir le titre de médecin. Cinq ans de luttes et de pauvreté qui déboucheront sur quel avenir puisqu’il a un bras atrophié par la poliomyélite ? Son camarade d’enfance et rival Overton le lui rappelle sans ménagement. Cet- obstacle-là n’existe bientôt plus. La chirurgienne célèbre Anna Geisler l’opère, le guérit, le prend comme assistant. La voie est tracée vers la revanche que Duncan compte depuis toujours prendre sur Overton, sur l’existence même, une voie austère jalonnée de hautes responsabilités et d’honneurs. Mais est-ce un but qui en vaut vraiment la peine ? Toutes ces années de travail acharné n’ont-elles pas été des années d’illusion ? Un jour, la question se pose et Duncan devra trouver la réponse.
The black country
En Anglais – When members of a prominent family disappear from a coal-mining village—and a human eyeball is discovered in a bird’s nest—the local constable sends for help from Scotland Yard’s new Murder Squad. Fresh off the grisly 1889 murders of The Yard, Inspector Walter Day and Sergeant Nevil Hammersmith respond, but they have no idea what they’re about to get into. The villagers have intense, intertwined histories. Everybody bears a secret. Superstitions abound. And the village itself is slowly sinking into the mines beneath it. Not even the arrival of forensics pioneer Dr. Bernard Kingsley seems to help. In fact, the more the three of them investigate, the more they realize they may never be allowed to leave . . . .
Les Mercenaires
A ma connaissance, aucun mercenaire ne répond plus à la définition qu’en donne le Larousse : « soldat qui sert à prix d’argent un gouvernement étranger ».
Les merceniares que j’ai rencontrés et dont parfois j’ai partagé la vie combattent de vingt à trente ans pour refaire le monde. Jusqu’à quarante ans, ils se battent pour leurs rêves et cette image d’eux-mêmes qu’ils se sont inventée. Puis, s’ils ne se font pas tuer, ils se résignent à vivre comma tout le monde – mais mal, car ils ne touchent pas de retraite – et ils meurent dans leur lit d’une congestion ou d’une cirrhose du fois.
Jamais l’argent ne les intéresse, rarement la gloire, et ils ne se soucient que fort peu de l’opinion de leurs contemporains. C’est en cela qu’ils diffèrent des autres hommes.