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Walt Whitman
Leaves of grass and selected prose
En anglais – … » I’ve been reading bits and pieces of this mammoth collection for decades. Though I haven’t finished every last page, I’ve completed the lion’s share of the famous sections and will keep whittling away on the rest. » …
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Les Mercenaires
A ma connaissance, aucun mercenaire ne répond plus à la définition qu’en donne le Larousse : « soldat qui sert à prix d’argent un gouvernement étranger ».
Les merceniares que j’ai rencontrés et dont parfois j’ai partagé la vie combattent de vingt à trente ans pour refaire le monde. Jusqu’à quarante ans, ils se battent pour leurs rêves et cette image d’eux-mêmes qu’ils se sont inventée. Puis, s’ils ne se font pas tuer, ils se résignent à vivre comma tout le monde – mais mal, car ils ne touchent pas de retraite – et ils meurent dans leur lit d’une congestion ou d’une cirrhose du fois.
Jamais l’argent ne les intéresse, rarement la gloire, et ils ne se soucient que fort peu de l’opinion de leurs contemporains. C’est en cela qu’ils diffèrent des autres hommes.
La Reine morte
La Reine morte est une pièce de théâtre d'Henry de Montherlant écrite en 1942 et représentée pour la première fois le 8 décembre 1942 à la Comédie-Française dans une mise en scène de Pierre Dux avec Jean-Louis Barrault et Madeleine Renaud. C'est une des pièces les plus connues de l'auteur, qui développe le thème classique de l'amour contrarié par la raison d'État. Cette pièce est librement inspirée de l'histoire des rois de Portugal Alphonse IV et Pierre Ier et d'Inés de Castro, d'après le drame espagnol Reinar después de morir, Régner après sa mort, de Luis Velez de Guevara.
Le quart de nuit
» Dans le grand silence qui suivit, la mèche d’un cierge dont la flamme rougeoyait, grésilla. Tous -les marins, Mrs Linsell, Mrs Shane, les amants- fixaient intensément du regard le visage durci aux yeux ouverts de Warvick, qui cependant paraissait exprimer une torture intérieure comme si l’homme eût été en proie à un débat. Ils l’entendirent murmurer : – On ne sait plus. On ne saura jamais ».
La lumière des justes – Tome 2 – La Barynia
Dans ce deuxième volume de LA LUMIERE DES JUSTES, qui peut se lire comme un roman séparé, la belle et ardente Sophie, jeune aristocrate française aux idées républicaines, est devenue la barynia, l’épouse du barine, du seigneur russe Nicolas Ozareff qu’elle a suivi dans son pays. Sa vie à Kachtanovka, immense domaine où les paysans serfs sont parqués dans de misérables villages, constitue pour Sophie une extraordinaire expérience. Indignée par l’injustice de certaines coutumes russes, elle n’hésite pas à affronter son beau-père, hallucinante figure de vieillard despotique mais qui finit par céder au charme de la jeune Parisienne au point de jalouser son propre fils. Dévouée à tous, Sophie apprend à lire au petit moujik Nikita, qui l’adore en secret. Mais est-elle assez attentive aux sentiments que Nicolas, désœuvré, sent naître en lui pour la belle Daria Philippovna ?