- Home
- >
- Grand format
- >
- Les Beatles – Les inédits
Tim Hill, Marie Clayton
Les Beatles – Les inédits
Photos inédites relatant de façon exhaustive la folle histoire de quatre garçons qui ont révolutionné le monde de la musique pop. Ce livre, richement illustré, présente quelque 600 photos prises par les photographes de l’agence Associated Newspapers et issues des archives du Daily Mail. Bon nombre d’entre elles, tirées à partir de négatifs inutilisés, n’ont jamais été publiées auparavant. Les légendes qui les accompagnent expliquent comment les Beatles ont transcendé leur statut d’icônes de la musique pop pour laisser leur empreinte sur toute une génération. Cet ouvrage de référence illustre l’impact laissé par les Beatles sur leurs contemporains et ses répercussions sur la société moderne.
Vous aimerez aussi
Le plaisir sans les kilos
Finis les régimes qui fatiguent, rendent pâles et aigris ! On peut perdre du poids sans perdre le moral. Pour le docteur Arnaud Cocaul, tout est une question de bon sens : pour maigrir, il faut manger… colorer l'assiette, manger varié, et surtout ne pas se priver. Le Plaisir sans les kilos passe au crible les différents régimes » miracles » qui se révèlent inadaptés à notre vie sociale et professionnelle et se soldent généralement par un échec. Les conseils simples et pratiques qu'il prodigue vont à l'encontre des idées reçues et nous encouragent à bouleverser nos habitudes alimentaires. Ce livre résolument novateur est une véritable bouffée d'air pour tous ceux et celles qui souhaitent se sentir mieux dans leur corps !
L’élégance du Hérisson
« Je m’appelle Renée, j’ai cinquante-quatre ans et je suis la concierge du 7 rue de Grenelle, un immeuble bourgeois. Je suis veuve, petite, laide, grassouillette, j’ai des oignons aux pieds et, à en croire certains matins auto-incommodants, une haleine de mammouth. Mais surtout, je suis si conforme à l’image que l’on se fait des concierges qu’il ne viendrait à l’idée de personne que je suis plus lettrée que tous ces riches suffisants. Je m’appelle Paloma, j’ai douze ans, j’habite au 7 rue de Grenelle dans un appartement de riches. Mais depuis très longtemps, je sais que la destination finale, c’est le bocal à poissons, la vacuité et l’ineptie de l’existence adulte. Comment est-ce que je le sais ? Il se trouve que je suis très intelligente. Exceptionnellement intelligente, même. C’est pour ça que j’ai pris ma décision: à la fin de cette année scolaire, le jour de mes treize ans, je me suiciderai. »
Ce grand cadavre à la renverse
Pour Bernard-Henri Lévy, comment ne pas s'attrister de l'état de crise, voire de décomposition, du progressisme contemporain ? Comment ne pas se souvenir du mot terrible de Sartre qui, dans la préface à Aden Arabie de Paul Nizan, définissait déjà la gauche de son époque comme « un grand cadavre à la renverse où les vers se sont mis » ? Et comment ne pas s'inquiéter, enfin, de ce que les héritiers du dreyfusisme et des combats antifascistes ont fait de leurs valeurs et du souffle qui inspira leurs aînés ? Trente ans après ses débuts, Bernard-Henri Lévy retrouve ici l'esprit de ses premiers livres.
Boris Vian et moi
Elsa a vingt ans, des parents trotskistes et un grand amour en déclin. Le jour où on la charge de ranger la bibliothèque de Boris Vian, l’auteur fétiche de Louis, elle croit tenir une chance de le reconquérir, quitte à tomber amoureuse du mort, au détriment du vivant.