Tim Hill, Marie Clayton
Les Beatles – Les inédits
Photos inédites relatant de façon exhaustive la folle histoire de quatre garçons qui ont révolutionné le monde de la musique pop. Ce livre, richement illustré, présente quelque 600 photos prises par les photographes de l’agence Associated Newspapers et issues des archives du Daily Mail. Bon nombre d’entre elles, tirées à partir de négatifs inutilisés, n’ont jamais été publiées auparavant. Les légendes qui les accompagnent expliquent comment les Beatles ont transcendé leur statut d’icônes de la musique pop pour laisser leur empreinte sur toute une génération. Cet ouvrage de référence illustre l’impact laissé par les Beatles sur leurs contemporains et ses répercussions sur la société moderne.
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Les Fados de Misias
Aujourd’hui reconnue comme la plus grande interprète de fado, dans la lignée de l’immense Amália Rodrigues, Mísia raconte pour la première fois dans ce livre les grandes étapes de sa vie et de sa carrière. Fruit d’un métissage hispano-portugais, Mísia grandit tiraillée entre la bohème espagnole et la haute bourgeoisie portugaise. Ces deux mondes que tout oppose façonnent une personnalité hors du commun. Après de multiples expériences artistiques, Mísia décide de se consacrer à ce qu’elle aime par-dessus tout : le fado. Solitaire et audacieuse, elle suit alors son propre chemin et réinvente le fado en invitant des poètes et musiciens à écrire pour elle. Elle s’impose alors comme la voix contemporaine du fado. Laissez-vous charmer par l’histoire d’une femme qui a fait le seul choix qui s’imposait à elle, celui de la liberté.
Ségolène Royal – La dame aux deux visages
Côté pile, un visage d’ange et une image de rénovatrice. Côté face, une travailleuse acharnée aux méthodes de tueuse, une conception conservatrice de la famille, du travail et de l’éducation. Ségolène Royal a bien deux visages. Les auteurs, qui ont recueilli à Paris comme à Poitiers de nombreux témoignages inédits et rencontré ses proches, racontent la femme politique, appréciée pour son énergie et son volontarisme, qui séduit le grand public autant qu’elle agace les éléphants du PS. Mais aussi l’élue de Poitou-Charentes, que nombre d’anciens collaborateurs dépeignent comme autoritaire, cassante et manipulatrice. L’envolée de Ségolène Royal est due à une stratégie médiatique très calculée. Mais aussi à un événement qui a bousculé le jeu à gauche : sa victoire en 2004 aux élections régionales. Aymeric Mantoux et Benoist Simmat analysent le personnage et évaluent les atouts dont elle dispose, dressant un portrait sans concession de la première Française en mesure de devenir présidente de la République.
Le centième homme
Un torse d’homme, sans tête ; trouvé par une : nuit torride en Alabama. On suppose qu’il appartenait, à un prostitué, tué dans le feu de la passion : Pour le chef de la police, l’affaire est classée, mais l’inspecteur Carson Ryder n’est pas satisfait : la mise en scène délibérée, l’absence totale de sang, le message étrange écrit sur la chair de la victime, tout cela trahit la préméditation. Et l’avis de Ryder compte, depuis qu’il a résolu une série de meurtres atroces, un an plus tôt. Mais ce succès est bâti sur un secret, un secret terrible, qu’il dissimule même à son meilleur ami. Or voilà qu’on découvre un autre torse mutilé, avec un message encore plus étrange. Et cette fois, le mort n’est pas un prostitué… Chassant des ombres pendant que leur patron leur coupe l’herbe sous le pied, Ryder et son équipier en viennent à comprendre que la cible réelle des crimes est toute proche. De ses premières pages, explosives, à ses ultimes rebondissements, Le Centième Homme décrit un monde absurde où les héros ne peuvent gagner sans l’aide des fous, et où les morts sont plus dangereux que les vivants.
Le temps des victimes
Alors que notre société prône le culte du gagnant, la figure de la victime en est arrivée à occuper celle du héros. La médiatisation des catastrophes a révélé que l’unanimité compassionnelle était en train de devenir l’ultime expression du lien social. Et les demandes de réparation auprès des psychiatres et des juristes sont sans fin. Jusqu’où irons-nous dans cette « victimisation » généralisée ? Caroline Eliacheff et Daniel Soulez Larivière croisent leurs expériences et leurs disciplines pour démonter et explorer ce courant qui a émergé dans les années 80 sur tous les fronts et se nourrit de l’idéal égalitaire et de l’individualisme démocratique. Ils dénoncent les dangers que nous fait courir ce primat du compassionnel et de l’émotionnel qui, parfois déjà, affecte l’intérêt des victimes et pourrait se retourner contre la société tout entière.