- Home
- >
- Épistolaire
- >
- Lettres choisies
Madame de Sévigné
Lettres choisies
Madame de Sévigné nous raconte son temps à travers les lettres qu’elle adressa à sa fille (deux tiers de ses lettres), ainsi qu’à divers personnages. Une chronique fort intéressante de la seconde moitié du XVIIe siècle. Vous sont proposées ici quatre-vingt neuf lettres parmi ses plus connues, dans l’édition de Saint-Beuve, publiée par Garnier Frères en 1923.
Vous aimerez aussi
Journal d’un bourgeois de Paris
Ce journal a été tenu entre 1405 et 1449 par un Parisien, sans doute un chanoine de Notre-Dame et un membre de l’Université. Vivant, alerte, souvent saisissant, il offre un précieux témoignage sur la vie quotidienne et les mouvements d’opinion à Paris à la fin de la guerre de Cent Ans, au temps des affrontements entre Armagnacs et Bourguignons, au temps de Jeanne d’Arc. Publié intégralement pour la première fois depuis plus d’un siècle, ce texte, écrit dans une langue facile, n’est pas traduit, mais la graphie en est modernisée et il est accompagné de notes très nombreuses dues à l’une des meilleures historiennes de cette période.
La goutte d’or
Idriss gardait ses chèvres et ses moutons non loin de l'oasis de Tabelbala quand une Land Rover a surgi. Une jeune femme blonde aux jambes nues a pris en photo le petit berger saharien. Sa photo, elle la lui enverra dès son retour à Paris. Idriss a attendu en vain. Son image volée ne lui a pas été rendue. Plus tard, quand il va partir vers le nord et jusqu'à Paris pour chercher du travail, il va se heurter à des images de lui-même qu'il ne reconnaîtra pas. Perdu dans un palais de mirages, il s'enfoncera dans la dérision jusqu'à ce qu'il trouve son salut dans la calligraphie. Seul le signe abstrait le libérera de la tyrannie de l'image, opium de l'Occident.
Iphigénie
Iphigénie est innocente et vertueuse; mais c’est elle que son père doit sacrifier. Elle incarne la douceur et la tendresse; mais c’est elle qui est au centre du déchaînement des fureurs familiales. Elle exalte le dévouement et l’abnégation jusqu’au sublime, mais elle subit les lâchetés. Tels sont les tragiques paradoxes d’Iphigénie, où l’oracle divin ne semble rien d’autre que le révélateur des passions des hommes.
Le roi se meurt
Comique ou tragique, pathétique ou grotesque ? Le Roi de Ionesco se voit confronté à la mort. Son univers s’écroule, notre univers s’écroule. Retrouvez ce personnage désormais classique, qui incarne l’angoisse de l’homme, son humour aussi, et qui a fait pleurer, rire et pleurer de rire des salles entières de spectateurs.