Christine Helgerson
Louison et Monsieur Molière
Louison n’a que dix ans quand Molière la choisit pour jouer dans sa dernière pièce. Fille de comédiens, la fillette va enfin pouvoir réaliser son plus beau rêve : être actrice. Et pas n’importe où ! À la Comédie Française, devant la cour du Roi-Soleil, Louis XIV…
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En 1970, il devient présentateur du journal télévisé de la première chaîne. En 1972, il rejoint la deuxième chaîne pour y occuper la même fonction jusqu’en 1974, tout en animant le magazine Actuel 2. En 1974, il présente la tranche d’information de midi de France Inter, puis il est successivement, à partir de 1975, rédacteur en chef de France Inter, rédacteur en chef à la direction de l’information de Radio France, et directeur de l’information d’Antenne 2 en 1977. En particulier, il commente le couronnement de Jean-Bedel Bokassa, empereur de Centrafrique en décembre 1977. En octobre 1979, il écarte Claude Sérillon de la présentation de la revue de presse de la chaîne dans laquelle ce dernier avait traité l’affaire des diamants de Bokassa9. De 1977 à 1981, il anime différentes émissions dont Cartes sur table avec Alain Duhamel.
Pour les plaisirs du Roi
Paris, printemps 1753. Le comte jean du Barry, gentilhomme de province ruiné et sans scrupules, abandonne sa famille pour s'exiler à Paris. Doté d'un talent rare pour le jeu, le libertinage et l'escroquerie, il devient « courtier galant », recrutant de jeunes beautés qu'il loue à ses puissants amis. Une lucrative activité qui l'érige en maître des plaisirs des plus grands noms de la cour de Louis XV… Ses intrigues lui valent de solides ennemis : déjouera-t-il les pièges tendus par Choiseul, ministre du roi, ou Mme de Pompadour, qui ont juré sa perte ? Qui est cet étrange M. de Kallenberg, qui croise perpétuellement son chemin ? Et réussira-t-il à installer dans le lit du roi sa protégée, Jeanne Bécu, jeune prostituée de vingt ans que le comte transforme en élégante et désirable Mme du Barry ?
L’abeille et l’architecte
François Mitterrand est un de ceux qui croient qu’il n’est de bonne écriture qu’exacte. Tandis qu’il mène sa vie d’homme d’action, un autre en lui observe le vent « grande rumeur dans le ciel immobile », garde le rythme des jours avec l’odeur du blé, l’odeur du chêne, la suite des heures. L’écrivain qu’il est laisse place à l’élan du rêve, aux sensations, aux émotions. Il nous donne la Crète, le vertige du Kremlin, les canards sauvages virant de bord à Manhattan, l’angoisse du Japon, son étonnement devant le retournement communiste. L’homme d’Etat dialogue avec Kissinger, venu le voir chez lui à Paris, avec Brejnev – ce qui nous permet de saisir une clef de l’empire soviétique. Il parcourt le monde avec son bâton de pèlerin socialiste.
Les Thibault – Tome I
À travers les destins de Jacques Thibault, idéaliste et révolté, et d’Antoine, sérieux, conservateur, deux frères que tout oppose, Roger Martin du Gard nous entraîne dans une vaste fresque sociale et historique. Dans une famille déchirée par l’autorité d’un père égoïste et brutal, le jeune Jacques vit une amitié passionnée avec Daniel de Fontanin ; la découverte de leur correspondance conduira au drame, tandis qu’Antoine, partagé entre la tendresse qu’il porte à son frère et le respect qu’il voue à son père, tente de trouver sa voie en se consacrant corps et âme à la médecine…