Christine Helgerson
Louison et Monsieur Molière
Louison n’a que dix ans quand Molière la choisit pour jouer dans sa dernière pièce. Fille de comédiens, la fillette va enfin pouvoir réaliser son plus beau rêve : être actrice. Et pas n’importe où ! À la Comédie Française, devant la cour du Roi-Soleil, Louis XIV…
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Pour les plaisirs du Roi
Paris, printemps 1753. Le comte jean du Barry, gentilhomme de province ruiné et sans scrupules, abandonne sa famille pour s'exiler à Paris. Doté d'un talent rare pour le jeu, le libertinage et l'escroquerie, il devient « courtier galant », recrutant de jeunes beautés qu'il loue à ses puissants amis. Une lucrative activité qui l'érige en maître des plaisirs des plus grands noms de la cour de Louis XV… Ses intrigues lui valent de solides ennemis : déjouera-t-il les pièges tendus par Choiseul, ministre du roi, ou Mme de Pompadour, qui ont juré sa perte ? Qui est cet étrange M. de Kallenberg, qui croise perpétuellement son chemin ? Et réussira-t-il à installer dans le lit du roi sa protégée, Jeanne Bécu, jeune prostituée de vingt ans que le comte transforme en élégante et désirable Mme du Barry ?
La face cachée d’Air France
Air France sort d’une décennie de croissance exceptionnelle. L’entreprise publique, isolée sur la scène internationale à la fin des années 1990, est aujourd’hui un groupe privé d’envergure planétaire qui fait la course en tête. Pourtant, la belle mécanique s’est grippée en 2009, véritable annus horribilis. La disparition du vol AF 447 a fait descendre la société dans les classements de sécurité. Elle a même aujourd’hui les taux d’accidents d’une compagnie de seconde zone, très loin de ses concurrentes directes. La crise économique l’a en outre affaiblie, elle qui doit déjà faire face au low cost et au TGV. Une situation d’autant plus difficile que, pour affronter ces turbulences inédites, Air France est pilotée par une direction en fin de cycle et ne peut plus compter sur Jean-Cyril Spinetta, le patron charismatique qui lui a indiqué la voie du succès durant dix ans. La compagnie doit dès lors conduire une véritable révolution culturelle pour éviter un nouvel accident dont elle ne se relèverait pas. Mais aussi répondre à des questions douloureuses de coûts et d’effectifs qui n’ont pas été traitées durant les années d’opulence, et remettre en question un modèle social qui l’a conduite à des excès. Le chantier qui l’attend est immense pour rester un leader mondial du ciel. Ce livre va vous le démontrer.
Taisez-vous Elkabbach !
En 1970, il devient présentateur du journal télévisé de la première chaîne. En 1972, il rejoint la deuxième chaîne pour y occuper la même fonction jusqu’en 1974, tout en animant le magazine Actuel 2. En 1974, il présente la tranche d’information de midi de France Inter, puis il est successivement, à partir de 1975, rédacteur en chef de France Inter, rédacteur en chef à la direction de l’information de Radio France, et directeur de l’information d’Antenne 2 en 1977. En particulier, il commente le couronnement de Jean-Bedel Bokassa, empereur de Centrafrique en décembre 1977. En octobre 1979, il écarte Claude Sérillon de la présentation de la revue de presse de la chaîne dans laquelle ce dernier avait traité l’affaire des diamants de Bokassa9. De 1977 à 1981, il anime différentes émissions dont Cartes sur table avec Alain Duhamel.
La tragédie du président
On ne se méfie jamais assez des journalistes. Pour n'avoir pas à courir derrière une mémoire qui n'a jamais cessé de me fuir, je prends des notes. C'est ainsi que, depuis plus de quinze ans, j'ai consigné sur des cahiers à spirale la plupart de mes conversations avec Jacques Chirac. Alors que son règne arrive à son couchant, il m'a semblé qu'il était temps de vider mes carnets. Je ne les avais pas écrits pour qu'ils restent à rancir au fond d'un tiroir mais parce que le métier qui mène mes pas consiste à faire la lumière sur tout. Telle est sa grandeur et sa misère. Si l'on veut garder sa part d'ombre, il ne faut pas fréquenter les journalistes. Ceci n'est donc pas une biographie au sens propre mais plutôt l'histoire d'une tragédie personnelle, devenue, sur la fin, une tragédie nationale.