- Home
- >
- Langue étrangère
- >
- Nelson
Tor Freeman, Jude Freeman
Nelson
EN ANGLAIS
Flora and Annie are off to stay with their grandparents. The girls will travel from Cape Town on the bus, and Flora is proud that their mother has put her in charge. Flora loves lots of things about staying with Ouma and Oupa. But there’s one thing she doesn’t like at all – Nelson, their grandmother’s large, red rooster.
Vous aimerez aussi
Ma vie, mon oeuvre, mon scooter
« C’est un livre que j’ai longtemps mûri : l’idée m’en est venue quand j’avais trois ans et demi, pendant que mon père cassait des cailloux en Allemagne, du 9 au 16 novembre 1989. Simplement, pour le publier, j’ai attendu de savoir écrire et d’être légitime – parce que moi, je ne veux pas du soupçon. » J. S.
Balade choreïale
Azir : le premier monde habité découvert par l’humanité. Un monde à la technologie balbutiante, divisé en minuscules provinces. Bientôt, les hommes vont arriver en masse, avec leur savoir et leur réalisme économique, et menacer de changer le visage de la planète. Nerbrume, la gouvernante azirie, et Méline, ambassadrice du Conseil de l’humanité, vont-elles réussir à inventer un nouveau mode de coexistence ?
Au bord des cendres
De sa famille Vincent ne sait rien, ou presque. Aussi, à la mort de sa femme et de son fils, se tourne-t-il vers ses racines, ses origines – vers le passé, faute d'avenir… Malgré la réprobation tacite de son père, Vincent se jette donc à la recherche de cette grand-mère, Valentine, disparue en juin 1944, sans laisser de trace. Se pourrait-il que ce soit cette vieille dame, au nom inconnu, internée depuis cinquante ans dans un asile charentais ? « Ces salauds nous trouveront pas », se borne-t-elle à répéter. Mais la boîte de la mémoire ne tarde pas à s'entrouvrir. Et les souvenirs, heureux, malheureux, affluent : c'était en mai 1936. Il était une fois deux sœurs… Une famille, la guerre. Des cendres et des braises. Car rien n'est éteint…
Lettre ouverte du dernier des chrétiens au premier des français
Une école politique affirme sans sourire que le repos dominical est désuet voire néfaste en ces temps de crise économique.Or l’analyse des conséquences sociales de l’extension de l’ouverture des magasins le dimanche, démontre que cela nourrirait précisément les moteurs de la crise mondiale que nous traversons. Examinant les conséquences les plus concrètes comme les effets à long terme, Michel Fauquier appelle à une réflexion qui ne soit pas menée au nom des seuls impératifs économiques, mais qui prenne en compte le véritable intérêt humain.