- Home
- >
- Langue étrangère
- >
- On secret service
John Jakes
On secret service
En Anglais – John Jakes is to historical American fiction what Stephen King is to horror: a one-man industry. Jakes, the author of over 60 books, including the eight-part Kent Family Chronicles, the North and South Trilogy, and innumerable short stories of the American West, returns to his well-trod Civil War stomping grounds in the engrossing On Secret Service. The story of a war within a war on various levels–the North v. the South, the Union’s Pinkerton Detective Agency v. the Confederacy’s agent provocateurs, youthful idealism v. youthful lust–On Secret Service chronicles the lives and times of four young Americans, from the war’s early tremors in January 1861, through its bloody conclusion, Lincoln’s assassination, and John Wilkes Booth’s murder in May 1865. …..
Vous aimerez aussi
Pays-Bas
Les éditions Marcus se sont entièrement consacrées à la publication de guides de voyage, et pour la première fois en France au format poche. L’accent des guides est mis sur le contenu culturel. Chacun des guides aide à comprendre les richesses d’un pays, d’une ville, d’une région. Concrets, ils proposent des circuits précis, illustrés par une cartographie importante et des dessins au trait. Loin des éditions standardisées, les Guides Marcus ont de la personnalité. Souvent pionniers, ils proposent des destinations originales pour un prix réduit. Un format de poche, léger, maniable et facile à consulter.
La griffe du sud
Judy Hammer, ex-responsable de la police de Charlotte, et ses adjoints Andy Brazil et Virginia West, sont nommés au même poste pour un an à Richmond, Virginie. Autrement dit, dans le Sud, où la ségrégation n’est pas encore un mauvais souvenir. Leur mission : rétablir l’ordre et neutraliser les gangs, en particulier les Piranhas, une bande de très jeunes délinquants qui n’hésitent pas à tuer pour quelques dollars. L’enquête et la traque de Smoke, le plus dangereux de ces criminels, est perturbée par des Sudistes n’aimant pas tout ce qui vient du Nord et par des policiers dont l’intégrité n’est pas la qualité première.
La fin d’une liaison
« Elle m’avait dit : – L’amour n’a pas de fin. Même si nous cessons de nous voir. Est-ce que les gens ne continuent pas d’aimer Dieu toute leur vie sans le voir ? – Ce n’est pas le même amour que le nôtre. – Je pense parfois qu’il n’en existe qu’un, répondit-elle. Tandis que je la guidais avec précaution à travers le vestibule démoli, l’éclairant de ma lampe de poche, elle ajouta: – Tout doit se passer très bien. Si notre amour est assez grand. Les vitres des fenêtres brisées craquaient sous nos pieds. Seul le vieux vitrail victorien au-dessus de la porte restait solide. Le verre écrasé devenait de la poudre blanche, comme la glace que les enfants piétinent dans les champs gelés ou sur les bords des routes. C’était la première nuit, en juin 1944, de ce que nous appelâmes, par la suite, les V 1. »
Un jour, ils auront des peintres
« Vous comprendrez, quand vous verrez l’Amérique, qu’un jour ils auront des peintres, parce que ce n’est pas possible, dans un pays pareil, qui offre des spectacles visuels aussi éblouissants, qu’il n’y ait pas de peintres un jour ». La prophétie date de 1933. Comme tous les autres Européens de retour des Etats-Unis, Matisse se dit envoûté Il annonce l’avènement d’une nouvelle ère, celle des peintres américains. Tout commence à Paris, le 1er juilet 1867, dans les fastes de l’Exposition Universelle : après la guerre de Sécession, les paysagistes d’outre-Atlantique, qui forment la première véritable école de leur pays, retrouvent, optimistes, le chemin de l’Europe. Mais les critiques français leur réservent ricanements et sarcasmes : « Cette exposition est indigne des fils de Washington. Au milieu de nos vieilles civilisations, les Américains font l’effet d’un géant fourvoyé dans une salle de bal. » … L’épopée des peintres américains racontée par Annie Cohen-Solal nous transporte de Paris à New-York, de Giverny à Chicago, de Pont-Aven à Taos, au Nouveau-Mexique, et s’achève à la Biennale de Venise, en 1948, lorsque sont présentées, pour la première fois en Europe, huit toiles de Jackson Pollok, un artiste inconnu des Européens de l’époque, mais bientôt célébré dans le monde entier comme le premier véritable maître américain.