- Home
- >
- Langue étrangère
- >
- The Hostage
Duncan Falconer
The Hostage
En Anglais – When an undercover operation monitoring the Real IRA goes horrifically wrong, British Intelligence turn to the one man who can get their agent out: Stratton, SBS operative with a lethal reputation. It’s a dangerous race against time: if the Real IRA get to the Republic before Stratton gets to them, his colleague is as good as dead.
Vous aimerez aussi
Le guerre des Bush
À Hollywood, les films d’action sont simples : il y a les gentils d’un côté et les méchants de l’autre. À Washington, et surtout depuis le 11 septembre 2001, c’est un peu la même chose… La « guerre contre le Mal » est à nos portes et les pays occidentaux jouent la valse-hésitation entre hégémonie américaine et paix à préserver. Or, évidemment, la réalité géopolitique est un peu plus complexe qu’un scénario de série B… C’est ce que nous prouve une fois de plus l’enquête d’Éric Laurent, grand reporter et spécialiste du Moyen-Orient. Laurent s’est intéressé de près aux affaires de la famille Bush dont les affaires l’ont menés du côté de l’Irak, de l’Arabie saoudite et de la famille Ben Laden, bien avant que celle-ci ne devienne l’ennemi à abattre dans la tête du petit dernier devenu président des États-Unis.
Un mensonge français – Retours sur le guerre d’Algérie
Un mensonge français est une plongée historique et autobiographique dans le dernier trou noir de l’histoire de notre pays. Ce livre emprunte autant à l’autobiographie – l’auteur avait cinq ans au moment des faits – qu’à l’investigation historique – la mise en scène d’une époque romanesque – ou qu’au journal de bord idéologique – c’est le « retour gidien » sur ce que Pierre Nora appelait, déjà en 1963, « l’anticolonialisme totalitaire » qui participa, avec le gaullisme, à l’occultation d’une tragédie humaine et politique. Celle qui nous intéresse.
Mon père, ce harki
Enfant, j'ai adoré mon père. Adolescente, je l'ai détesté. Parce qu'il était harki, parce qu'il a soutenu l'armée française pendant la guerre d'Algérie, j'ai longtemps cru que mon père était un traître. Il n'a jamais nié. Il ne m'a jamais rien dit. Devant son silence, j'ai décidé de partir sur les traces d'un fellah et d'une bergère, mes parents, dont la vie a basculé un matin de juin 1962. Quarante ans après, j'ai refait leur parcours dans les camps où la France les a parqués : leur passé et mon présent se sont tissés, noués, intimement mêlés. Ces pages sont leur histoire et ma quête. Dans ce voyage au bout de la honte, j'ai découvert une horrible machinerie d'exclusion sociale et de désintégration humaine. Et puis j’ai traversé la Méditerranée, En Algérie, j'ai poursuivi ma quête, dans une une région en guerre contre l'islamisme, j'ai retrouvé des membres de ma famille et le village de mes parents qu'ils n'ont jamais revu. Là-bas, j'ai compris qui étaient vraiment les harkis, leur rôle dans la guerre d'Algérie, leurs tiraillements, leurs secrets aussi.
Saint-Pétersbourg
Longtemps considérée comme le rêve dément d'un impérieux autocrate, la « Venise du Nord », Saint-Pétersbourg, a été bâtie en 1703 par Pierre le Grand pour offrir à la Russie une fenêtre sur l'Europe. Elle a conservé cette identité particulière, mythique, qui fait d'elle l'une des plus belles et des plus séduisantes villes du monde. Saint Pétersbourg résonne encore des noms des grands maîtres russes modernes qui s'exprimèrent dans tous les domaines artistiques : la musique avec Stravinski, Prokofiev, Chostakovitch ; la littérature avec Akhmatova, Blok, Mandelstam, Nabokov et Brodsky ; la danse avec Diaghilev, Nijinski et Balanchine ; le théâtre avec Meyerhold ; la peinture avec Chagall et Malevitch. Et pourtant, jamais encore nul n'avait tenté de faire le portrait de cette culture cosmopolite si riche, si distinctive, dotée d'une si forte influence, ou de la ville qui l'a inspirée.