- Home
- >
- Langue étrangère
- >
- The learning curve
Melissa Nathan
The learning curve
En Anglais – Nicky Hobbs loves teaching at the local primary school. She’s idolised by her class – in particular ten-year-old Oscar Samuels – but she’s starting to find she’d quite like some adult adoration for a change. Mark Samuels is a frazzled single father working all the hours God gives to provide for his beloved son, Oscar. But he’s unable to see that Oscar would prefer his presence to his presents once in a while. Ms Hobbs knows Mr Samuels is a heartless workaholic. Mr Samuels is certain Ms Hobbs is an interfering busybody. But when they finally meet they start to discover that first first impressions can be deceptive. And perhaps they’ve both got a bit of learning to do…
Vous aimerez aussi
Millénium – Tome I à III
Tome I : Les Hommes qui n'aimaient pas les femmes – Tome II : La Fille qui rêvait d'un bidon d'essence et d'une allumette – Tome III : La Reine dans le palais des courants d'air.
Millénium est à l'origine une trilogie de romans policiers de l'écrivain suédois Stieg Larsson, publiée en Suède de juillet 2005 à mai 2007 après son décès d'une crise cardiaque à l'âge de 50 ans. Cette saga — titrée Millennium, dans les éditions en suédois et dans diverses autres langues (allemand, anglais, espagnol, etc.) — a obtenu un succès mondial : plus de vingt-six millions d'exemplaires vendus jusqu'en juillet 2010. Fin janvier 2011, le total des ventes s'élevait à cinquante millions d'exemplaires.
Alexandre et Alestria
Elle, c’est Alestria, l’enfant sauvage devenue reine des Amazones. Celles qui chevauchent les steppes, aiment la guerre, combattent les hommes et n ont pas peur de la mort. Lui, c’est Alexandre, fils de Philippe, roi de Macédoine, né à Pella en 356 avant J-C. Ayant soumis l’Asie Mineure et la Perse, vainqueur de Darius, il ne lui manque qu’une reine pour asseoir son empire absolu. Une reine à sa mesure ou à sa démesure qu’il rencontre sous les traits d’un guerrier invincible dans l’immense steppe de Mongolie.
Les démons de Barton House
La première fois que j'ai vu Harwood j'étais à Kinshasa. La deuxième fois, j'étais en Sierra Leone en tant que correspondante de guerre. Puis, des années plus tard j'ai croisé son chemin en Irak et, chaque fois, dans son sillage, des corps de femmes violées, lacérées. Des meurtres mis sur le compte de « dommages collatéraux ». Alors j'ai su. Il s'est senti traqué. J'ai été séquestrée pendant trois jours. Puis relâchée. Sans explication… Pour moi, il n'existait qu'un seul refuge possible pour tout oublier : un manoir isolé au cœur de la campagne anglaise. Je me demande encore comment j'ai pu être aussi bête.
Rhinocéros
Rhinocéros est la pièce la plus riche de Ionesco. Elle ne perd rien de l'esprit d'innovation, de provocation, des premières pièces. Comme elles, celle-ci mélange les genres et les tons, le comique et le tragique. Mais l'innovation principale qui s'introduit ici est la réflexion sur l'Histoire, à travers le mythe. La pièce est une condamnation de toute dictature (en 1958, on pense au stalinisme). Ionesco condamne autant le fascisme que le communisme. C'est donc une pièce engagée : «Je ne capitule pas», s'écrie le héros.Le rhinocéros incarne le fanatisme qui «défigure les gens, les déshumanise».