Frans Gerver
Tous les jeux de cartes
72 jeux de cartes expliqués et illustrés. Pour jouer à 2, 3, 4 et plus, voici tous les jeux de cartes rassemblés et expliqués en détail. Les grands classiques que vous connaissez sans doute mais dont vous avez peut-être oublié les règles. Des jeux à découvrir ou à redécouvrir. De la Belote au Whist. Les règles du jeu, le déroulement de la partie, les variantes et tut ce qu’il faut savoir.
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Les mystères d’Osiris – Le grand secret
La Nubie est pacifiée et l’ « arbre de vie » a retrouvé sa vivacité. Iker, nommé Prince et gardien du Sceau Royal, est parti pour Abydos où il a été élevé au rang de prêtre du Dieu de la Renaissance. Isis est à ses côtés. Ensemble ils honorent la divinité bienfaitrice. Osiris semble à nouveau veiller sur le destin de l’Egypte. Mais la paix sera de courte durée. L’Annonciateur, caché au sein du Temple d’Abydos, porte un coup fatal. Sobek le Protecteur est gravement blessé et, surtout, Iker est assassiné. Dans le même temps, l’apôtre de Seth saccage la momie d’Osiris. Impossible alors de ramener à la vie le descendant de pharaon. Une ultime solution s’offre à Isis et Sésostris ouvrir le Livre de Thot et partir à la recherche des reliques d’Osiris.
Le roman du Kremlin
Dressant ses murailles au cœur de Moscou, symbole du pouvoir absolu des tsars puis des dirigeants communistes, le Kremlin n’a cessé de fasciner et d’inquiéter. C’est qu’il est, depuis toujours, un lieu de mystères. Ses palais fastueux, ses sanctuaires, ses souterrains ont été les témoins des cruautés et des orgies d’Ivan le Terrible. Après la longue parenthèse de Saint-Pétersbourg, capitale à l’européenne voulue par Pierre le Grand, il incarne la dictature totalitaire et la paranoïa stalinienne. Jusqu’aux années 1990, il reste le point de mire des journalistes, diplomates et « kremlinologues », soucieux de décrypter les luttes de pouvoir derrière le masque impavide des Brejnev et des Andropov…
Ensemble, c’est tout
Camille dessine. Dessinait plutôt, maintenant elle fait des ménages, la nuit. Philibert, aristo pur jus, héberge Franck, cuisinier de son état, dont l'existence tourne autour des filles, de la moto et de Paulette, sa grand-mère. Paulette vit seule, tombe beaucoup et cache ses bleus, paniquée à l'idée de mourir loin de son jardin. Ces quatre là n'auraient jamais dû se rencontrer. Trop perdus, trop seuls, trop cabossés… Et pourtant, le destin, ou bien la vie, le hasard, l'amour – appelez ça comme vous voulez -, va se charger de les bousculer un peu. Leur histoire, c'est la théorie des dominos, mais à l'envers. Au lieu de se faire tomber, ils s'aident à se relever.
Rien de grave
« Tu t’attendais à quoi ? Je lui ai dit. Tu crois que ça va être facile de me quitter ? Tu crois que je vais te laisser faire comme ça ? J’ai lancé le cadre par terre, le verre s’est brisé mais comme c’était pas assez, j’ai bondi du lit et j’ai déchiré la photo, celle qu’il prétendait tant aimer, la photo de nous deux en mariés, beaux et légèrement ridicules, il y avait tant de monde qu’on ne connaissait pas à notre mariage qu’on est partis avant la fin. Il a eu l’air triste, plus de la photo déchirée que du fait de me quitter. Il a toujours été fou avec les photos. Parfois je me disais qu’il n’aimait les choses de la vie que pour les voir un jour en photo. Moi c’est le contraire, rien ne me fait plus peur qu’une photo de bonheur avec toute la quantité de malheur qu’elle promet, qu’elle contient, mais sans le dire, en cachant bien son jeu. Je ne savais pas encore que c’était la meilleure chose qui puisse m’arriver, qu’il me quitte. Comment j’aurais pu le savoir ? Il était toute ma vie, sans lui je n’existais pas. »