Collectif
Tout sur ATTAC
Deux syllabes qui claquent : Attac ! En moins de deux ans, cette association, née d’une initiation du Monde diplomatique, s’est imposée dans le débat public et a essaimé hors de France. En identifiant l’hégémonie des marchés financiers, caractéristique majeure de la mondialisation libérale, comme une mise sous tutelle de la démocratie,Attac a explicitement formulé ce que ressentent des millions de citoyens. Les nombreux chantiers sur lesquels l’association est engagée vont de la taxe Tobin a la lutte contre une OMC pour laquelle le monde n’est qu’une marchandise. Vous voulez compendre et agir ? Cet ouvrage vous donne toutes les informations, que vous soyez déjà membre ou simplement intéressé par ce nouveau mouvement.
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Le pari du FN
Qui vote Front national et pourquoi ? Les protestataires, les racistes, les exclus, les antisémites ? Ce serait trop simple. Au-delà des discours même de l’extrême-droite, au-delà des sondages toujours sujets à caution, observons la géographie des votes. Les cartes révèlent à une échelle très fine et précise le trouble ressenti par de nombreux Français : disparition des relations de voisinage, expulsion des métropoles, blocage de l’ascension sociale. Le Front national paraît dès lors l’unique moyen de changer la donne. Pari désespéré, pari perdant en probabilité, mais pari logique… et contagieux. 30 cartes et infographies en couleurs.
Le Corbeau, La Disparition
Le Corbeau avait, l’an dernier, révélé aux Français en avant-première les secrets de Nicolas Sarkozy. La Disparition lève aujourd’hui le voile sur le mystère qui entoure Ségolène Royal. deux chefs-d’oeuvre d’impertinence et de drôlerie, servis par un style irrésistible, et qui ont déjà enchanté des dizaines de milliers de lecteurs et futurs électeurs.
La tragédie du président
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Notre homme à la Maison-Blanche
Comment un petit gangster d’origine italienne, Sam Giancana, a-t-il pu décider de faire assassiner John F. Kennedy qu’il avait pourtant contribué à faire élire cinq ans plus tôt ? De quelles complicités a-t-il bénéficié au sein d’une CIA traumatisée par l’échec de « la baie des Cochons » ? Pourquoi Jack Ruby, l’assassin de Lee H. Oswald, avait-il ses entrées au siège de la police de Dallas ? Notre homme à la maison-blanche – c’est ainsi que Sam Giancana appelait le président- nous montre pour la première fois la mafia vue de l’intérieur et dévoile le mystère qui régnait depuis près de trente ans autour de cette tragédie. Faisant ses débuts dans le Chicago de la prohibition dominé par Al Capone, Sam Giancana reculera devant aucun moyen pour construire son empire dont les frontières s’étendront bien au-delà des États-Unis dans les années 60. Cette description assez effrayante du double jeu entre le pouvoir et le crime organisé, qui va bouleverser l’opinion, bouscule bien des légendes. On y découvre une haute société où le père d’un futur président fait allégeance à l’un des parrains du Milieu, s’engageant au nom de son fils pour sauver sa propre vie. Hollywood apparaît aussi comme un monde sous influence : les relations étroites de Sam Giancana avec Frank Sinatra ou Marilyn Monroe en témoignent. On ne commence pas ce livre sans le terminer : au-delà des révélations, c’est en effet le mythe d’une époque, d’une dynastie, et d’une certaine Amérique qui s’effondre. Chuck Giancana, soixante-dix ans, directeur d’hôtel puis promoteur, ne fut jamais mêlé directement aux affaires de son frère aîné, Sam, dont il était cependant le confident. Samuel M. Giancana est le neveu du gangster. Il a trente-six ans et a fondé une société de relations publiques.