- Home
- >
- Langue étrangère
- >
- The money-changers
Arthur Hailey
The money-changers
En Anglais – The « New York Times » Number One bestseller from 1976 is back in this great new package. As the day begins at First Mercantile American Bank, so do the high-stake risks, the public scandals, and the private affairs. It is the inside world where secret million-dollar deals are made, manipulated, and sweetened with sex by the men and women who play to win.
Vous aimerez aussi
À la recherche des trésors disparus
II ne se passe guère de semaine que la presse ne relate une découverte de trésor :pièces d’or, bijoux, statues, objets d’art légendaires ou historiques.Du butin du célèbre Mandrin pendu pour avoir pillé les trésors de la Ferme à celui des Bénédictines de l’Abbaye de Montmartre chassées par la Révolution, Daniel Réju trace un itinéraire des magots disparus dans les châteaux en ruines, les demeures restaurées, etc., et conduit le lecteur vers les caches et souterrains possibles.Tout autant qu’un bilan des « inventions » passées, ce livre doit être considéré comme un guide pratique pour l’amateur de fouilles.
Les déclassés
Chronique picaresque des années 60 et 70, sabbat délirant, éducation sentimentale et politique, Les Déclassés, publié pour la première fois aux Editions Le Sagittaire en 1976, est devenu le roman culte, non-américain, d’une génération française. On y croise tous les gauchismes, les avant-gardes, les Black Panthers, le MLF à ses débuts, freaks, hippies et toute la compagnie.
La passion des chats
Les chats à robe lisse et les chats au pelage duveteux, les grands chats et les petits chats, ceux qui ont un pedigree et ceux qui n’en ont pas, les chats à poils longs et les chats à poils ras, les chats joueurs et les chats énigmatiques – tous sont représentés ici par 138 superbes photographies en couleurs. Christine Metcalf, juge d’expositions et éleveur expérimentée, évoque non seulement le plaisir de vivre en compagnie des chats et la manière de les soigner mais décrit aussi les différentes races y compris les plus récentes.
Lettre ouverture à tout le monde
On connaît mon impatience et mon esprit prophétique : il y aura bientôt de cela une bonne dizaine d’années que je prêchai dans le désert une Parole tout à fait incongrue. J’osais « attaquer » le Monde ! Mes amis tremblèrent pour mon courage. Mes non-amis se réjouirent de mon suicide. Comme j’ai, dans le crime, l’esprit de récidive, je décidai de batifoler autour du Monde et de planter à cet animal d’amusantes banderilles. Comment ? Eh bien en écrivant des lettres à n’importe qui (au Roi d’Espagne, à des petites filles, au Pape, à ma concierge, etc.) en prenant bien soin de jouer les obsédés et d’avoir un leitmotiv présent dans toutes mes lettres et qui serait le journal le Monde. Comme un bonheur n’arrive jamais seul, j’en avais depuis trois mois terminé avec mon exercice et déjà déposé mes fléchettes chez mon éditeur, lorsque Michel Legris expédia sur l’orgueilleux vaisseau amiral de la presse française une héroïque salve (le Monde tel qu’il est) qui sema la panique sur le pont et fit trembler ses mâtures. Partout, dès lors, ce fut comme un grand soupir et l’on entendit même des applaudissements. Enfin le Monde était secoué. Enfin Le Monde vulnéré n’était pas invulnérable. Enfin le désert ou je prêchais naguère se peuplait. Il ne me restait plus qu’à rappliquer avec mes « lettres » et qu’à danser, comme un garnement, autour du Leviathan blessé. Voici mes entrechats et mes pointes. Je danse mon époque, ses mœurs, ses mines, ses modes et ses manies en m’amusant à toujours retomber sur mes pieds. Ou, plutôt, vieil obsédé que je suis, sur les pieds du Monde. Jean Cau.