- Home
- >
- Bande dessinée
- >
- Jerry Spring -4- Trafic d’armes
Jijé
Jerry Spring -4- Trafic d’armes
Le Mexique en pleine révolution, une fois de plus… Le shérif Pat McCoy, un vieil ami de Jerry Spring (voir l’épisode Golden Creek), lui transmet une lettre d’un grand journal new-yorkais qui lui propose d’écrire un article sur les évènements. Jerry décide d’accepter l’offre, et de profiter de l’occasion pour tenter de retrouver son ami Pancho, dont il n’a plus de nouvelles. Pour renflouer ses finances autant que pour lui permettre de voyager au Mexique sans éveiller la méfiance, il accepte de convoyer dix caisses de machines à coudre jusqu’à la ville de Chihuahua. Là, il devra les remettre à un certain Jose Almanza y Padilla et touchera 1000 dollars pour ce travail.
Vous aimerez aussi
Le moscovite – Tome III – Les feux du matin
Après l’occupation napoléonienne, Moscou n’est plus pour Armand de Croué qu’une cité hostile qu’il faut fuir. Nathalie Ivanovna, sa maîtresse et protectrice,décide de l’accompagner à Paris avec sa fille Catherine. Tous les bonheurs semblent attendre le jeune homme dans la capitale française où règne de nouveau la noblesse royaliste: à l’émotion de retrouver le sol de ses ancêtres s’ajoutent la joie de se découvrir des amis brillants dans la haute société et la vanité de redevenir un aristocrate riche et indépendant. Mais surtout, c’est là qu’il prend conscience de l’amour profond qui l’a toujours uni à celle qu’il a un moment dédaignée pour de trompeuses passions. Bonheurs éphémères hélas! Le destin, et sa sinistre cohorte de mort et de guerre, se jouant des espérances de l’exilé rendu à sa terre natale, frappe une fois de plus…
Henri IV, le passionné
Henri IV, a écrit lui-même à son sujet : “Les uns me blâment d’aimer trop les bâtiments et les riches ouvrages; les autres la chasse, les chiens et les oiseaux; les autres les cartes, les dés et autres sortes de jeux; les autres les dames et les délices de l’amour: les autres les festins, banquets et friandises; les autres les assemblées, comédies, bals, danses et courses de bagues… Mais aussi dirai-je que, ne passant pas la mesure, tout cela me devrait plutôt être dit à louange qu’à blâme! “D’ailleurs, je ferai voir à ces gens que je quitterais maîtresses, amours, chiens, oiseaux, brelans, bâtiments, festins, banquets et toutes autres dépenses de plaisir et de passe-temps, plutôt que je perde la moindre occasion et opportunité pour acquérir honneur et gloire.” Lorsque la nouvelle de sa mort tomba sur Paris, nous dit un témoin, elle éteignit “la lumière du plus grand roi de la terre et le meilleur”. En province, sur les chemins, des paysans hagards, les bras croisés, guettaient courriers et voyageurs susceptibles de leur donner quelques détails sur la “désastreuse nouvelle”. Lorsqu’ils apprirent que le “père du peuple n’était plus, ils se répandirent à travers champs, “comme brebis sans pasteur, ne pleurant pas seulement, mais criant et bramant comme forcenés”. Selon son habitude, André Castelot s’est rendu sur place afin de faire revivre celui qui fut peut-être le plus grand roi de notre Histoire et dont l’existence forme un extraordinaire roman.
Le nom de l’arbre
Dans l’enfance, entre un grand-père tout-puissant et une mère possessive, Louis Quien a tenté de se frayer un chemin. Mais de quels souvenirs, de quels mensonges, de quels imaginaires a-t-il finalement hérité pour construire le présent si fragile qu’il interpelle aujourd’hui ? Comme s’il était étranger à lui-même, Louis Quien se traque, se dévoile et, dans le maquis de sa mémoire, il cherche les grands absents de sa vie : son père prisonnier et Juliette, l’absolu féminin, déportée, et si vite effacée. Ainsi s’impose à lui, au-delà des misères de l’Occupation, des espérances et des vengeances de l’après-guerre, la recherche de l’arbre dont les racines descendent si profond et dont nous aimerions tant retrouver le nom. Tout en traversant l’histoire tourmentée de la Belgique des années trente aux années soixante, ce foisonnant roman révèle le pouvoir des mots et de la fiction dans la remémoration. A travers un jeu de miroirs, où le moi s’éparpille et se reconstruit sans fin, Hubert Nyssen mettait déjà en place, dans ce premier roman, les éléments constitutifs de son œuvre : cette ample quête du passé, et surtout cette fête de l’imaginaire que sans cesse célèbre la multitude de poupées gigognes que chacun porte en soi.
Quand le destin bascule
Barbara Taylord Bradford nous offre, dans ce roman, l’histoire d’Audra, de Christina et de Kyle, trois femme qui sauront s”affirmer contre l’adversité, au fil de trois générations. Orpheline à quatorze ans, Audra est obligée de travailler comme aide-infirmière dans un hôpital du nord de l’Angleterre. Malgré la pauvreté, les épreuves, les chagrins, elle va tout faire pour arracher au sort contraire sa part d’amour et de bonheur. L’énergie d’Audra, son courage, sa force se retrouveront chez sa fille, Christina, qui rêve de devenir une artiste célèbre, puis chez sa petite-fille, Kyle, aussi belle qu’indomptable et qui entend, comme sa grand-mère et sa mère avant elle, choisir librement sa vie et faire plier le destin à sa volonté. Que Barbara Taylord Bradford analyse les mobiles secrets du coeur féminin, qu’elle décrive les landes du Yorkshire ou les milieux de la haute société new-yorkaise, ses dons de peintre et de psychologue, comme sa puissance créatrice, éclatent à chaque page.

