- Home
- >
- Science-fiction
- >
- Le profanateur
Philip K.Dick
Le profanateur
Allen Purcell, communicateur, était chargé de faire respecter l’ordre moral à coups de feuilletons télévisés dans un monde de comité de quartier, de minuscules mouchards robots et de conformisme absolu. Il était un citoyen parfait.
Le seul ennui pour lui et pour le Rémor, le Réarmement Moral, c’était qu’il avait le sens de l’humour. Profond, dévastateur, inconscient.
Il y avait un trou dans son emploi du temps. Et la statue du Major Streiter avait perdu la tête.
Dans ce roman qui aurait pu s’intituler L’imprécateur, Philip K. Dick, l’un des maîtres incontestés de la science-fiction américaine, introduit pour la première fois dans son oeuvre un humour grinçant et corrosif qui défonce la société et la réalité.
Vous aimerez aussi
Contacts Ovni à Cergy-Pontoise
Cergy-Pontoise, lundi 26 novembre 1979, 4 h 30 du matin : une sphère de lumière enveloppe la voiture de Franck Fontaine et il disparaît sous les yeux de ses amis Jean-Pierre Prévost et Salomon N'Diaye. Lundi 3 décembre 1979, même heure : il reparaît au même endroit, dans une sphère de lumière! Franck Fontaine est donc devenu un contacté « . Mais une minutieuse enquête de l'institut mondial des sciences avancées (I.M.S.A.), conduite par Jimmy Guieu, et les séances d'hypnose pratiquées par Daniel Huguet, permirent d'étonnantes découvertes : Existence d'une base-relais » extra-terrestre » dans le Jura, Téléportation de J.-P. Prévost (Manosque-Marseille 80 km), Menaces des sinistres Hommes en Noir » et d'autres » individus » plus inquiétants encore et enfin, Annonce d'un contact avec les Intelligences du dehors, qui pourrait avoir lieu à Cergy-Pontoise le 15 août 1983 ! Et » Haurrio » – l'humanoïde venu d'ailleurs – nous donne la marche à suivre. Chacun est libre de croire ou de ne pas croire mais, d'ores et déjà, un processus est engagé dans lequel la date du 15 août 1983 constitue un cap IRREVERSIBLE.
No pasarán, le jeu
Un magasin spécialisé, une caverne d'Ali Baba pour fanatiques de simulation sur petit écran. Mais le marchand, un vieil homme, remarque sur la poitrine d'Andreas un insigne auquel ses camarades n'avaient pas accordé d'attention. Il murmure « Ça ne finira jamais… » et leur donne un jeu. En leur ordonnant d'y jouer. Un jeu « d'enfer ». Quand le virtuel rejoint le réel, quand le passé pare l'actualité d'un désagréable air de déjà vu, le frisson n'est pas loin. Celui qui attend les trois héros de cette histoire est du genre « grand frisson ». Ils en ressortiront profondément bouleversés, tout comme le lecteur de ce roman qui se déroule sur fond de guerre, proche et lointaine à la fois, en Bosnie, et où ressurgissent les fantômes des poilus de 14-18, des martyrs de la guerre d'Espagne, des déportés de la Seconde Guerre mondiale. Une plongée passionnante dans l'étrange et dans la réalité, en même temps qu'une terrifiante approche des sentiments humains les plus vils.
Le rire du Cyclope
Darius, humoriste célèbre et coqueluche du Tout-Paris, s’effondre dans sa loge à l’issue d’une représentation à l’Olympia. Quelques minutes avant sa mort, le pompier de garde l’a pourtant entendu éclater de rire… La journaliste Lucrèce Nemrod est sûre qu’il ne s’agit pas d’une mort naturelle. Quant à son complice, Isidore Katzenberg, qui vit toujours dans son château d’eau, il est persuadé qu’il faut remonter aux origines du rire pour mener à bien cette enquête… Où l’on retrouve Lucrèce Nemrod et Isidore Katzenberg, déjà croisés dans Le Père de nos pères et L’Ultime Secret. Après le chaînon manquant et le cerveau, l’étrange phénomène du rire est au centre de leur nouvelle enquête.
L’envers vaut l’endroit
Quatre milliards et demi de vivants aujourd’hui. Sept milliards en l’an 2 000. Et dix milliards en 2 025… C’est ce que l’on appelle une explosion démographique. Mais que dire des centaines de milliards de morts qui n’en peuvent plus de cette « thanatographie » galopante et redoutent plus que tout une guerre nucléaire qui grossirait leurs rangs de quelques milliards de recrues supplémentaires ? Alors les morts font savoir aux vivants qu’ils doivent s’organiser en conséquence. « Point d’armes, moins d’enfants », tel est le slogan qu’ils lancent. Et, si les vivants. n’en tiennent pas compte, les morts agiront… à leur manière.