Christi Daugherty
Night School
Allie Sheridan vient d’être arrêtée une nouvelle fois. C’en est trop pour ses parents, qui l’envoient dans un internat. Mais l’école privée Cimmeria n’a rien d’ordinaire : elle est fréquentée par un mélange de surdoués, de rebelles et d’enfants de millionnaires. Plus étrange, certains élèves sont recrutés par la discrète « Night School ». Allie en est persuadée : on lui cache d’inavouables secrets.
Vous aimerez aussi
Les Diamants de la guillotine
Dans peu de temps, l’Ancien Régime va s’effondrer. La monarchie, le couple royal exaspèrent le peuple et n’était-ce climat pré-révolutionnaire de haine, l’affaire du collier de la reine serait passée pour la plus plaisante des embrouilles.À la Cour, chacun sait que ce benêt de cardinal de Rohan, grand seigneur richissime, soupire pour Marie-Antoinette. Avec la complicité d’un faux mage et vrai gredin nommé Cagliostro, une aventurière de haut vol lui suggère l’idée d’un cadeau, une parure de diamants d’une valeur inestimable. À ce prix, la reine ne saurait refuser ses faveurs. Rohan se précipite dans le guet-apens. Le pigeon ne peut alors imaginer la mascarade qu’on lui prépare?Cette farce tournant au scandale qu’aucun romancier n’aurait pu imaginer, Pierre Combescot la réinvente avec le style malicieux et crépitant qui enchante ses lecteurs.
Le Directeur de nuit
Directeur de nuit au Meister Palace de Zurich, Jonathan est un idéaliste blessé. Pour venger une femme qu'il a aimée – et trahie à son insu -, il se laisse recruter comme agent secret. Il infiltre l'entourage d'un des richissimes marchands d'armes de la planète. A bord du Pacha de fer, véritable quartier général flottant, et Sur une île des Caraïbes, un nouvel amour lui donne la force de croire encore en lui-même, alors que le désarroi des services secrets et la corruption du monde l'inciteraient à lâcher prise. Notre monde inquiet, ses nouveaux dangers : un thème de choix où l'art de John le Carré se déploie, entre amour, haine et trahison.
La mauvaise vie
À chaque étape de sa journée, il se demande s’il ne fait pas fausse route. S’interroge sur l’abîme séparant la « mauvaise vie » qu’il mène, d’une autre, qui aurait pu s’accomplir. Pourquoi vouloir à tout prix reconstituer un simulacre de famille ? Perdre son temps à faire de la radio alors qu’on est doué pour l’écriture ? Devenir spécialiste des princes et des princesses alors qu’on se passionne pour les peuples opprimés ? Et puis il y a les nuits qui, elles aussi, ne devraient pas être celles ce qu’elles sont… Au fil de ces réflexions, le personnage regarde en arrière, et retrouve des moments de son enfance… L’autobiographie la plus juste n’est-elle pas celle de la vie qu’on aurait dû mener ?
La fin d’une liaison
« Elle m’avait dit : – L’amour n’a pas de fin. Même si nous cessons de nous voir. Est-ce que les gens ne continuent pas d’aimer Dieu toute leur vie sans le voir ? – Ce n’est pas le même amour que le nôtre. – Je pense parfois qu’il n’en existe qu’un, répondit-elle. Tandis que je la guidais avec précaution à travers le vestibule démoli, l’éclairant de ma lampe de poche, elle ajouta: – Tout doit se passer très bien. Si notre amour est assez grand. Les vitres des fenêtres brisées craquaient sous nos pieds. Seul le vieux vitrail victorien au-dessus de la porte restait solide. Le verre écrasé devenait de la poudre blanche, comme la glace que les enfants piétinent dans les champs gelés ou sur les bords des routes. C’était la première nuit, en juin 1944, de ce que nous appelâmes, par la suite, les V 1. »