Anne Gondrexon-Ives Browne
Tous les chiens du monde
Anne Gondrexon-Ives Browne, cynologue éminente, et juge de renommée internationale dans les expositions et compétitions canines, a vécu – dès son enfance – en compagnie des chiens. C’est en spécialiste et en amie des chiens, qu’elle a rédigé ce guide à l’usage de l’amateur comme du spécialiste. Du choix d’un chien à son éducation, et de sa nichée à son comportement, ce guide répond à toutes les questions que vous vous posez (à partir de la page 8). Pour approfondir votre connaissance du chien : toutes ses caractéristiques externes, de la forme des oreilles aux types de pelages, sans oublier la dentition et mille autres détails (des pages 28 à 35). Les 341 races, soit tous les chiens du monde, sont décrites en détail et illustrées en couleur.
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Comme un hibou au soleil
« Le pays a un service à te demander, un service d’importance que toi seul peux rendre… Et cela parce que tu as un don que peu de gens connaissent et qui fait de toi une sorte de surhomme! » En s’adressant ainsi à son vieux camarade de lycée Félix – un paisible célibataire vivant confortablement de sa plume – le général Adalbert Campion, grand patron du S.N.E.C. (Service National d’Espionnage Coordonné) ne se doute pas qu’il lui faudra ruser pour éveiller les sentiments patriotiques de son ancien condisciple. Et encore celui-ci exigera-t-il de rencontrer le ministre de la Défense nationale avant d’accepter une mission, certes délicate, mais qui consiste aussi à prendre des vacances à la charge du gouvernement dans un site enchanteur et peuplé de créatures de rêve. Enfin parti pour l’archipel des Bahamas, avec le grade de commandant et l’assistance d’un champion de karaté surnommé « François le démolisseur », Félix réussira-t-il à identifier le mystérieux submersible qui rôde autour d’un îlot bien étrange ? Son don si singulier le mettra-t-il à l’abri de très fâcheuses surprises ?
Paris au mois d’Août
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Aroma, the cultural history of smell
En anglais – Smell is a social phenomenon, given particular meanings and values by different cultures. Odours form the building blocks of cosmologies, class hierarchies, and political odours. They can enforce social structures or transgress them, unite people or divide them, empower or disempower. The authors argue that the sociology of smell is repressed in the modern West, and its social history ignored. This book breaks the « olfactory silence » of modernity. It offers the first comprehensive exploration of the cultural role of odours in Western history – from antiquity to the present. It also covers a wide variey of non-Western societies. Its topics range from the medieval concept of the « odour of sanctity », to the aromatherapies of South America, and from olfactory stereotypes of gender and ethnicity in the modern West to the role of smell in postmodernity. Its subject matter will fascinate anyone who likes to nose around in the inner workings of culture.
Le mystère de la chambre jaune
Relié toile – La porte de la chambre fermée à clef « de l’intérieur », les volets de l’unique fenêtre fermés, eux aussi, « de l’intérieur », pas de cheminée… Qui a tenté de tuer Mlle Stangerson et, surtout, par où l’assassin a-t-il pu quitter la chambre jaune ? C’est le jeune reporter Rouletabille, limier surdoué et raisonnant par « le bon bout de la raison, ce bon bout que l’on reconnait à ce que rien ne peut le faire craquer », qui va trouver la solution de cet affolant problème, au terme d’une enquête fertile en aventures et en rebondissements. Tenant en haleine le lecteur de la première à la dernière page, « Le Mystère de la chambre jaune » est devenu un classique du roman criminel. Stangerson et sa fille Mathilde habitent le château du Glandier où ils poursuivent leurs recherches scientifiques. La presse annonce la tentative de meurtre sur Mathilde qui dormait dans la « Chambre Jaune ». Alerté par ses cris, son père n’a pas vu d’assassin dans la pièce qui ne comporte qu’une porte et une seule fenêtre grillagée. Le jeune Rouletabille, reporter à l’Époque, se rend au Glandier avec Sainclair, son ami avocat. Ils y retrouvent M. de Marquet, le juge d’instruction obtus, Darzac, le fiancé de Mathilde à la conduite équivoque, le grand Fred Larsan, un policier renommé, et un mystérieux « homme vert… » Vingt ans avant Tintin, Rouletabille préfigurait le reporter débrouillard. Sa jeunesse l’emporte sur des personnages plus hauts sur l’échelle sociale, trop coincés dans leurs convictions : c’est un nouveau siècle qui s’annonce. Écrite en 1907 par l’un des pères du polar français, cette histoire demeure l’archétype du problème de local clos.