- Home
- >
- Langue étrangère
- >
- Give Me Room to Move My Feet – Livre neuf
Mildred Kiconco Barya
Give Me Room to Move My Feet – Livre neuf
Livre en anglais – In 100 thought-provoking textually original poems, Mildred Kiconco Barya explores elements of time and space on the landscapes of memory, observation and experience at individual points and collective levels. The poet uses motion as a connecting thread for the seven parts of human experiences and livelihoods – revolving lives, stormy heart, before the sun sinks, the pain of tenderness, shame has a place, the shape of dreams, and until the last breath is drawn – to herald an inspiring collection of maturity and tenderness.
Vous aimerez aussi
Est-ce ainsi que les femmes meurent ?
Catherine Kitty Genovese n'aurait pas dû sortir seule, ce soir de mars 1964, du bar où elle travaillait, une nuit de grand froid, dans le Queens, à New York. Sa mort a été signalée par un entrefilet dans le journal du lendemain : «Une habitante du quartier meurt poignardée devant chez elle.» On arrête peu de temps après le meurtrier, monstre froid et père de famille. Rien de plus. Une fin anonyme pour cette jeune femme drôle et jolie. Mais sait-on que le martyre de Kitty Genovese a duré plus d'une demi-heure, et surtout que trente-huit témoins, bien au chaud derrière leurs fenêtres, ont vu ou entendu la mise à mort ? Aucun n'est intervenu. Qui est le plus coupable ? Le criminel ou l'indifférent ? Récit saisissant de réalisme et réflexion sur la lâcheté humaine, le roman de Didier Decoin se lit dans un frisson.
Quitter le monde
Le soir de son treizième anniversaire, lors d’une énième dispute entre ses parents, Jane Howard annonce qu’elle ne se mariera jamais et n’aura jamais d’enfants. Mais sommes-nous maître de notre destinée ? Une quinzaine d’années plus tard, Jane est professeur à Boston et amoureuse de Theo, un homme brillant et excentrique qui lui donne une petite Emily. A sa grande surprise, Jane s’épanouit dans la maternité. Mais la tragédie frappe et Jane, dévastée, n’a plus qu’une idée en tête : quitter le monde. Alors qu’elle a renoncé à la vie, c’est paradoxalement la disparition d’une jeune fille qui va lui donner la possibilité d’une rédemption.
We need to talk about Ross
En anglais – Ross O’Carroll-Kelly is many things to many people. But ten years after he lifted the Leinster Schools Senior Cup, Ireland’s most beloved rogue remains one of its most misunderstood figures. His accomplishments on the rugby field – and in the bedroom – remain the stuff of legend, but the truth about him remains hidden by the accretion of myth. Now, for the first time, the lid is lifted on the enigma that is South Dublin’s most eligible married man. In more than a hundred interviews with his family and friends – those who’ve loved him, hated him and slept with him – the first ever composite portrait of the Celtic Tiger’s most famous cub emerges. From the mother who didn’t want him to the father who wanted him too much, from the friends who shared his misadventures to the women who shared his bed – or, failing that, a back alley or bus shelter – this searingly honest biography fills in all the blanks in the life of the self-styled Cock of Foxrock.
Les grandes libertines
A la fin du règne de Louis XV et au début de celui de Louis XVI, montent au firmament de la célébrité parisienne deux étoiles de la scène : Sophie Arnould, la cantatrice lyrique et Françoise ou Fanny Raucourt, la tragédienne. Elles finissent par scandaliser plus par la liberté de leurs mœurs homosexuelles que par leur talent. De l’une à l’autre, passera la petite Virginie Durfort qui fut initiée aux pratiques saphiques pendant un long séjour au couvent des Bernardines. D’autres partenaires suivront quand Virginie sera menée injustement à la guillotine le dernier jour de la Terreur… Une très intéressante biographie de deux personnalités féminines un peu tombées dans l’oubli qui, après celle de Mme Tallien, « La reine de Paris » et celle d’Olympe de Gouges « L’ange de la paix », achève la trilogie que Michel Peyramaure a consacré à ces quatre destins d’exception. Les documents sérieux manquant, il a opté pour une version très romancée en introduisant le personnage de fiction de Virginie et en prenant quelques libertés avec les dates des événements.