- Home
- >
- Fantastique
- >
- Socièté protectrice des monstres – Loup-Garou contre dragon
Collectif
Socièté protectrice des monstres – Loup-Garou contre dragon
Lorsqu’un dragon arrive à la Société Protectrice des Monstres, le centre de secours pour créatures rares et en danger, Ulf, le loup-garou, découvre un terrible secret. Aidé par le géant Orson, la fée Tiana et le Dr Fielding, vétérinaire de la SPM, Ulf va devoir arrêter le plus diabolique des chasseurs de créatures… Ce soir, regardez la lune. Regardez-la avec attention. Fixez-la. Et demandez-vous : suis-je assez courageux ?
Vous aimerez aussi
La quête de Deltora (Cycle 1 – Vol. 7) – La vallée des Egarés
Dès 9 ans – Désormais, six des sept pierres précieuses brillent dans les médaillons de la Ceinture magique de Deltora. Mais Lief, Barda et Jasmine doivent trouver la dernière, le diamant afin de libérer le royaume de la tyrannie du Seigneur des ténèbres. Une ultime épreuve les attend : les brumes tourbillonnantes de la Vallée des Egarés. S’ils échouent, leur quête aura été vaine ! Si près du but… Pourtant un seul faux pas et les trois compagnons resteront à jamais prisonniers !
L’enfer des rêves
Deirdre Vale, seule rescapée avec sa fille Laney, 12 ans, d’un drame épouvantable, travaille à la clinique psychiatrique du docteur Devane, spécialiste des enfants autistes.
La jeune femme possède un véritable don : celui d’entrer dans les rêves de ses semblables, de manipuler ainsi leurs désirs les plus inconscients, leurs peurs les plus secrètes. Le jour où une religieuse expulsée du Guatemala à cause de son activisme politique et social arrive à la clinique, Deirdre est loin de se douter de l’implacable mécanique qui va l’emporter. On retrouve dans ce récit aux nombreux rebondissements, où l’on va de surprise en surprise, tous les thèmes chers à Theodore Roszak, que ce soit l’exploration de l’inconscient, le complot ou la corruption du pouvoir. Une fois encore, l’auteur traite de la liberté de l’homme et de la lutte sans fin entre le bien et le mal.
L’historienne et Drakula (Tomes 1 et 2)
Une traque palpitante à travers l’Europe et l’Histoire qui revisite, avec brio, la légende du Vampire des Carpates. Un tour de force littéraire. En 1972, dans une vieille maison d’Amsterdam, une adolescente explore la bibliothèque de son père et tombe par hasard sur un vieux livre relié de cuir d’où dépassent des feuillets jaunis. Toutes les pages de l’ouvrage sont vierges, à l’exception d’une affreuse gravure de dragon dont les ailes déployées semblent protéger une étrange inscription : « DRAKULYA. » Pour tromper sa solitude, la jeune fille a la curiosité de déplier l’un des feuillets. Il s’agit d’une lettre et elle s’ouvre ainsi : « Cher et infortuné successeur… » Son univers vient de basculer… Petit à petit, elle va en effet découvrir les secrets de jeunesse de son père ainsi que le destin mystérieux de sa mère, aujourd’hui disparue. Elle va surtout comprendre que tous deux sont liés à l’existence d’une puissance maléfique jaillie tout droit des profondeurs de l’Histoire. Deux générations d’historiens ont en effet déjà risqué leur réputation, leur équilibre mental et leur vie à tenter d’élucider la fin tragique et mystérieuse de Vlad III de Valachie, dit Vlad l’Empaleur ou encore Dracula. Ce que la jeune fille ignore encore, c’est qu’à son tour, et au prix d’une plongée aussi angoissante que vertigineuse dans le passé de ses parents, elle va devoir emprunter les traces de ses prédécesseurs et tenter de résoudre cette énigme maléfique. Dès lors, de villes en villes, de monastères en bibliothèques, de salles d’archives en cryptes abandonnées, la quête se transforme en traque, et lentement, une vérité se dégage de la légende, plus terrifiante encore. La source du mal aurait-t-elle traversé les âges ?
Savez-vous ce que c’est qu’une « chèvre blanche » ? Eh bien, en jargon vaudou, c’est un doux euphémisme pour désigner la victime d’un sacrifice humain. Et quand ces types sont venus me demander de relever un mort de deux cents ans et des poussières, j’ai tout de suite compris ce que ça impliquait. Je veux bien égorger des poulets, un mouton, voire un buffle dans les cas désespérés… mais ça, non ! Pas question… Mais je les ai envoyés promener, eux et leur chèque d’un million de dollars. L’ennui, c’est que tout le monde n’a pas mon sens moral. Que ces salauds vont bien dégoter quelqu’un pour faire le boulot. Qu’on va se retrouver avec un mort-vivant raide dingue, tout sauf végétarien, et semant la panique. Et que c’est encore la petite Anita qui va devoir se le coltiner ! Comme si je n’avais pas déjà assez de problèmes avec les vampires…