L’enfant de l’autre rive
Désemparée et sans ressources, Cecil Gutman, une jeune étudiante texane, répond à une petite annonce offrant une très importante somme d’argent pour un travail non précisé. Sélectionnée grâce à sa chevelure flamboyant et ses yeux violets, l’avocat chargé de gérer le dossier lui propose un contrat de « mère porteuse » au profit d’une des plus riches familles d’Europe : les Schomberg.
Malika
Comme Valérie, l’héroïne du pavillon des enfants fous, Malika et son frère Wielfried sont très jeunes. Elle a dix ans, lui en a quinze. Comme Valérie aussi, aucun parent ne s’occupe d’eux. La mère est morte et le père apparaît de temps en temps pour donner de l’argent. Pourtant ils sont heureux dans cet appartement du boulevard Malesherbes qu’ils ont meublé eux-mêmes car ils s’aiment, d’un amour trop parfait que les adultes saccageront.
Le destin de Robert Shannon
Robert Shannon aurait pu devenir un médecin connu et riche, mais c’est la recherche scientifique qui l’attire irrésistiblement. Malgré de nombreuses difficultés et des déceptions de toutes sortes, il persistera dans cette voie. A.J. Cronin nous décrit avec passion la carrière d’un chercheur pauvre.
Le crime de Hollowfield
Par un bel après-midi d’été, .des archéologues sont à la recherche de vestiges saxons. Mais ils découvrent quelque chose de plus sinistre : un cadavre qui, lui, ne remonte certes pas à l’époque des Saxons.
L’identité de l’homme est inconnu, mais il semble qu’il pourrait s’agir d’un jeune fermier disparu quelques années plus tôt en abandonnant sa femme.
Monsieur Papa
Franck Lanier avait tout arrangé pour les vacances. Il casait son fils chez son ex-femme et lui filait à Bangkok. Mais son petit garçon, Laurent, n’est pas du tout d’accord. Il veut, lui aussi, partir pour Bangkok. Tous les moyens seront bons pour parvenir à ses fins, des plus drôles aux plus désespérés et des aventures peu banales se succèdent dans une vie quotidienne pleine de tendresse entre le père et le fils. Par l’auteur de « L’Amour aveugle », ce roman alerte, rempli d’humour, est un des grands succès de ces dernières années.
Un amour de soie
Rien ne prédisposait Hannah, orpheline de dix-huit ans, à devenir la femme de Reiver Shaw, l’ambitieux propriétaire d’une filature de soie. Rien, sinon les terres constituant sa dot. Dans le Connecticut des années 1840, une femme a-t-elle seulement le droit de protester ?
Etranges secrets
J’essaierai de te rendre justice. D’être digne de porter ton nom. Susanna prononce solennellement ces quelques mots devant la tombe de Kim, la jeune femme dont elle s’apprête à usurper l’identité. Quand le tribunal lui retire la garde de son fils Tyler, 11 mois, pour le confier à son ex-mari, Jim, un riche avocat, Susanna tente le tout pour le tout. En une nuit, sa décision est prise : elle se coupe les cheveux, rassemble quelques bagages et, sans prévenir personne, part avec son fils dans le Missouri.
Le vent sombre
D’anciennes inimitiés ravivées et un moulin vandalisé, un mystérieux accident d’avion et des « belacani » (hommes blancs) qui disparaissent ou surgissent au coeur du désert d’Arizona. Un Navajo surnommé Doigts-de-fer et un cadavre sans nom : Jim Chee, policier navajo qui ne se laissé pas facilement intimider, poursuivra son enquête jusque dans un village interdit perché sur l’une des mesas hopi.
Un orage immobile
Au printemps de 1832, Flora, fille d’émigrés, née, élevée, mariée et devenue brutalement orpheline et veuve en Angleterre, arrive un beau jour à Jarnac pour y rouvrir Margelasse, le château de sa famille. Personne ne l’a aperçue encore dans la région quand Me Nicolas Lomont, trente ans, notaire, met son cheval en route vers Margelasse. L’histoire commence. Au début, c’est une tranquille histoire d’amour, puis vient le drame plein de bruit, de fureur, de passion. Le récit est tout entier rapporté par Nicolas, trente ans plus tard. Vieux, solitaire, peu porté à la littérature, il ne sait pas trop ce qui le pousse à saisir un cahier et tracer ces mots : « Si un lecteur découvre un jour ces pages… », mais il continue. Me Lomont, bien qu’il décide plusieurs fois d’arrêter, de jeter son manuscrit au feu, se prend au jeu. Il dira tout. Il se surprend même à se griser de mots, à ressusciter d’une phrase ses amis morts, son ennemie disparue.Autant que pour l’histoire elle-même, violente, insolite, éperdue, on se passionne pour ce miracle qui transforme peu à peu chaque soir, quelques années avant 1870, un vieux notaire de province en un écrivain d’abord sage et classique, puis de plus en plus fougueux, débridé, lyrique… en un mot romantique. Un livre à part dans l’univers de Sagan, proche de Stendhal ou Maupassant.
Néropolis
Ce roman des temps néroniens est un livre incontournable, une page d’histoire vraie et à jamais inoubliable pour qui veut pénétrer la Rome décadente et déchirée du premier siècle après Jésus-Christ ; connaître Néron et son règne, comprendre une époque charnière où l’empereur rêvait de baptiser sa ville Néropolis tandis que naissait le mythe chrétien de la cité vertueuse.
Après le terrible siège de La Rochelle, Louis XIII et Richelieu peuvent espérer en avoir fini avec la rébellion protestante et avoir rétabli la paix dans le royaume. Quant au duc d’Orbieu, ami d’enfance et homme de confiance du roi, il aspire d’autant plus au repos qu’il vient de se marier. Pourtant, les trois années qui suivent vont être celles de tous les dangers : menées des Habsbourg dans la péninsule italienne, agitation endémique des villes du Midi, complots des Grands du royaume, encouragés par le frère du roi Gaston d’Orléans, contre le tout-puissant cardinal… Pire : la reine-mère elle-même intrigue délibérément contre son fils.
La prise de La Rochelle, en 1628, par Louis XIII et Richelieu, fut un événement considérable. Dernier acte des affrontements entre catholiques et huguenots, elle sonna le glas des entreprises anglaises sur le continent. A l’intérieur, elle renforça la royauté et l’Etat, ambition majeure du cardinal- ministre. Le comte d’Orbieu (pierre de Siorac, ami du roi depuis l’enfance de ce dernier) relate à la première personne, dans un français robuste et dru que n’a pas encore épuré l’Académie, ce siège qui dure un an, et dont l’élément clé est la gigantesque digue qui, barrant la baie, interdit tout secours à la ville. Dans les intervalles de missions aussi délicates que périlleuses – l’une l’amène à l’intérieur même de la ville assiégée -, le fidèle serviteur du roi n’oublie pas sort amour pour le gentil sesso. La pensée de Mme de Brezolles peut-elle suffire à conjurer les rencontres bec à bec avec la coquine Perrette ?
Le onzième volume – toujours aussi entraînant, aussi riche de personnages et de péripéties – de la saga Fortune de France.
Avril 1624, octobre 1627. Trois années marquées par de nombreux événements : entrée de Richelieu au Conseil du roi, guerres incessantes contre les huguenots, entreprises galantes du duc de Buckingham auprès de la reine de France… A la cour, les intrigues se multiplient : Anne d’Autriche conspire avec Monsieur, frère du roi, contre son époux. La noblesse insoumise cherche à faire tomber le Cardinal. Exils, geôles, décapitations punissent les rebelles ; le siège de La Rochelle commence. L’Etat royal s’affirme envers et contre tout, à travers la complicité qui se noue peu à peu entre le jeune roi et son ministre. Devenu comte d’Orbieu, Pierre-Emmanuel de Siorac, fidèle agent de Louis XIII, traverse au gré de ses missions les milieux les plus divers : il côtoie courtisans, manants, aubergistes, ribaudes, marins, connaissant autant d’aventures galantes que d’intrigues politiques… Roman au rythme endiablé, tableau d’histoire fidèle et vivant : dans le prolongement de Fortune de France, Robert Merle nous donne un nouveau chef-d’oeuvre.
Ce n’est pas tout que d’avoir pris le pouvoir : si Henri IV veut « relever la fortune de France », il doit d’abord affermir son trône et pacifier le royaume. Amant d’une grande dame de la Cour, Pierre de Siorac se voit confier des missions tantôt guerrières, tantôt diplomatiques, souvent secrètes : convoi de fonds ou enquête sur les menées des jésuites… À Rome, il prend part aux subtiles intrigues vaticanes dont l’enjeu est l’absolution du roi ; en Espagne, il voit mourir le dévot Philippe II dans le funèbre décor de l’Escurial…
Septième et dernier tome du Cycle de Tristan de Castelreng. Après Ogier d’Argouges, le nouveau cycle de Pierre Naudin nous entraîne une fois encore dans le chaos du moyen âge. Le fracas des armes assourdissant et la mort rôde, plus affamée que jamais.
Après la déroute de la campagne d’Espagne, Tristan de Castelreng et le reste de l’armée de Bertrand Guesclin sont retenus prisonniers à Bordeaux où Edouard, prince de Galles et d’Aquitaine, décidera de leur sort. Si les Grands du royaume de France seront libérés contre une forte rançon, Tristan n’attend aucun secours de la part de seigneurs déshonorés par de nombreux crimes.
L’armée conduite par Bertrand Guesclin a conquis Madrid, puis Tolède, terrorisant les populations sur son passage. Henri de Trastamare sera prochainement sacré roi de Castille. Peu avant le sacre, Tristan de Castelreng fait la connaissance d’un vieux juif, Joachim Pastor, qui le prie d’emmener ses petits-enfants, Teresa et Simon, afin de les soustraire à la férocité des envahisseurs.
Libéré de ses obligations auprès du roi Charles V après la bataille de Cocherel, Tristan de Castelreng s’est rendu au château de Ganne où il a ravi sa dulcinée à ses geôliers. Le chevalier rentre sur ses terres goûter un bonheur mérité en compagnie de sa jeune épouse Luciane d’Argouges. Mais le repos sera de courte durée. Déjà grondent aux frontières sud du royaume le bruit des fers que l’on affûte.
Un succès continu pour la saga de Pierre Naudin (330 000 exemplaires vendus) Le Moyen Age, ses chaos et ses héros, dans un langage de qualité et un grand souci historique.
La maison du désir
Livre du goût et des désirs, de l’innocence et de la perversité, ce portrait d’une héroïne, en forme de courts textes qui l’un l’autre se répondent, renvoie, tel un miroir, des images que, souvent, l’on dissimule. Les voluptés du mensonge, le délice des caresses, l’éloge de l’infidélité – ce parti pris du corps, on ne saurait le déguiser lorsqu’il a pour toile de fond la moiteur du hammam, le vol des mouettes au-dessus des amants, une chambre d’hôtel, un inconnu et des images encore, enfance gourmande au creux des sables ou derrière une porte mal fermée.
Aurélia
François est mon mari. J’avais vingt ans quand je l’ai rencontré. J’en ai vingt-sept aujourd’hui. Pendant six ans, nous avons ri des mêmes histoires, dormi du même sommeil, respiré du même souffle. Je cherche d’autres mots pour dire ce que nous étions l’un pour l’autre. Mais le bonheur ne se raconte pas et c’est là que commence mon histoire. L’histoire, c’est celle de la première fissure dans un bonheur que l’on croyait indestructible.
Le mois de septembre
François est mon mari. J’avais vingt ans quand je l’ai rencontré. J’en ai vingt-sept aujourd’hui. Pendant six ans, nous avons ri des mêmes histoires, dormi du même sommeil, respiré du même souffle. Je cherche d’autres mots pour dire ce que nous étions l’un pour l’autre. Mais le bonheur ne se raconte pas et c’est là que commence mon histoire. L’histoire, c’est celle de la première fissure dans un bonheur que l’on croyait indestructible.
Cécile, la poison
La poison, on la connaît ! C’est la petite dernière de la famille Moreau, à La Marette. Celle qui met son grain de sel, ou de poivre, partout, qui se trouve toujours là où il ne faut pas, bref : celle qui empoisonne. Mais Cécile est parvenue à l’âge où on ne peut plus supporter ce genre de surnom. Et d’ailleurs, ayant lu sa touchante histoire, on s’aperçoit qu’elle n’a vraiment plus rien d’une poison.
Ce sixième volume de la célèbre saga de L’Esprit de famille commence le soir de Noël, à La Marette. On prépare la fête lorsque la nouvelle tombe : le docteur Moreau vient d’être victime d’un accident cardiaque ! Impossible, inacceptable. Tout simplement, cela ne se peut.
Les fantômes de Zurich
Hong Kong, 1er juillet 1997. Une foule bigarrée fête la rétrocession de l’ancienne colonie britannique à la Chine. Bals, cérémonies officielles, feux d’artifice se succèdent dans un tohu-bohu délirant. Seule Lisa est indifférente à la liesse générale : son père, Walter Neumann, patron d’un empire de presse, a disparu. Refusant d’envisager le pire, elle décide de mener sa propre enquête. Ayant retrouvé les carnets intimes de Walter, elle part sur les traces d’un ancien bourreau nazi.
September
En Ecosse, septembre est le mois des festivités, des parties de chasse, le mois où les mariages se font et se défont, où l’on célèbre les derniers feux de l’été avant le long hiver. Cette année, le bal qu’organise Verena Steynton s’annonce somptueux. Tout Strathcroy attend l’événement qui amènera dans la petite ville des invités venus du monde entier.
Le jeu de la tentation
Ardent, fervent, quotidien, voici, dans sa vérité, le XIIIème siècle ressuscité de nouveau par Jeanne Bourin. Fresque minutieuse et fidèle, ce roman nous plonge au cœur même de la vie médiévale, à Paris où s’exercent grands négoces et petits métiers pittoresques, à la campagne où, dans des senteurs de foin, de miel, de sève, revivent fêtes et travaux rustiques.
L’aube de la fortune
Avant d’être romancier, Homeric a été jockey et chroniqueur hippique au quotidienLibération où il a inventé une approche romanesque des sports équestres. C’est dire que le cheval est pour lui une passion qui n’est pas étrangère au thème de ce roman.
Le loup mongol
Avant d’être romancier, Homeric a été jockey et chroniqueur hippique au quotidienLibération où il a inventé une approche romanesque des sports équestres. C’est dire que le cheval est pour lui une passion qui n’est pas étrangère au thème de ce roman.
Le fond du problème
Pendant la Seconde Guerre mondiale, Scobie vit dans un petit comptoir colonial de la Sierra Leone avec sa femme Louise. Mais tant d’années de mariage ont eu raison de la passion et la perte de leur fille âgée de neuf ans a laissé Louise inconsolable. Lorsque celle-ci décide de partir pour l’Afrique du sud, Scobie se retrouve seul et fait la rencontre de la jeune Helen : il en tombe aussitôt éperdument amoureux.
Sunset
Los Angeles… Douze millions d’habitants, mégapole du Troisième Millénaire, cité des mythes. Beverly Hills, Bel Air, Hollywood… Ses milliards, ses ghettos, parano… Soleil, palmiers, ciel bleu, piscines… Jusqu’au jour où débarque un dissident russe, Kostia Vlassov. Jeune, beau, sans le sou.
La rose du Grand Moghol
Voici un présent pour vous, ma rose. Pourquoi m’appelez vous toujours ainsi ? Vous connaissez pourtant mon nom. Votre peau a la couleur des roses blanches de mes jardins de Lahore, vos lèvres celle des roses rouges et vos yeux, le vert tendre de leurs feuilles.
L’inquisiteur
À travers la Garonne médiévale, une troupe de paysans massacre les populations juives en invoquant Dieu. À leur tête : Jean le Hongre, dont l’influence sur les foules est grandissante. Prié par la papauté d’agir, le très intraitable Inquisiteur, Jacques Novelli, entend bien rétablir son autorité.
La force de vivre
Jeune, il a fait tous les métiers, marchand de peaux de lapins, joueur de football ou garde du corps. Journaliste, il a écumé entre les deux guerres l’Espagne, la Chine, la Mandchourie, le Turkestan, M.&S.S.
Papa, les mecs et moi
Difficile de ne pas être névrosée sur les bords quand vous vous appelez America Throne, fille du défunt Boris Throne, peintre culte des seventies psychédéliques ; que votre boulot consiste à faire des doublages dans des publicités débiles ; que votre petit copain vous envoie un fax de rupture alors que vous venez de vous installer ensemble ; que votre mère vous pourrit la vie et pratique le spiritisme avec une voyante pseudo-transylvanienne ; que votre meilleure amie trouve un mec chaque fois que vous vous faites larguer, et vice versa.
Le pari
Le Pari est un drame contemporain dans lequel une femme, Max, médecin, au tournant de la quarantaine, qui est appréciée de ses patients, admirée par ses collègues, adorée par son mari — et belle de surcroît — elle a tout, semble-t-il, pour être heureuse. Mais elle ne l’est pas. Elle interroge aussi bien son présent que son passé.
Champollion l’Egyptien
Juillet 1828 – décembre 1829 : Jean-François CHAMPOLLION, le génial déchiffreur des hiéroglyphes, s’aventure enfin en Égypte, dans un Orient mystérieux et redoutable. Lui « l’Égyptien » est placé à la tête d’une petite communauté de chercheurs qui, d’Alexandrie à Abou-Simbel, connaîtra les joies et les dangers d’une fabuleuse découverte. Une aventure passionnante par un biographe passionné.
Christian Jacq, docteur en études égyptologiques, est l’auteur de nombreux ouvrages dont » L’Égypte des grands pharaons » couronné par l’Académie française.
Survol
Cerné depuis des décennies par les Terres Maudites, royaume des démons dont l’haleine empoisonnée apporte la maladie et la mort, le Territoire a confié la surveillance de ses frontières aux Guetteurs. Grâce aux Servols, cerfs-volants géants qui les entraînent au bout de leur câble jusqu’à plus de mille mètres de hauteur, les Guetteurs, élite d’une société militaro-religieuse qui leur est toute entière dédiée, n’ont cessé de monter une garde vigilante, périlleuse, mais devenue aussi muette qu’inutile. Car, au fil du temps, les démons, pauvres diables mutants, ont disparu ; les nuages ont perdu leur radioactivité et l’herbe a repoussé sur les terres brûlées.
Je n’ai aimé que vous
Myriam Dulac a disparu. Est-elle morte ? A-t-elle rejoint, au-delà des mers, ceux dont elle partageait peut-être l’espoir et les combats ? A-t-elle voulu, par cette fuite, manipuler secrètement les désirs d’autrui ? Laura, une jeune photographe qui l’a suivie des années durant à travers le monde, ignore tout, presque tout. Pourtant, et impérieusement, il lui faut retrouver la trace de cette femme troublante.Quête intense, déraisonnable, qui la conduit à prendre sa place entre son mari et sa fille : peut-on se glisser sans risque dans une vie qui ne vous appartient pas ?
Au cœur de l’ouest
A dix-sept ans, Clementine Kennicutt s’ennuie dans la bonne société de Boston et n’a qu’une idée : échapper à l’autorité puritaine de son père. Elle n’hésite pas à s’enfuir au coeur du Montana avec Gus McQueen, un séduisant éleveur de chevaux. Mais en 1879, l’Ouest sauvage, avec ses blizzards, ses loups affamés et ses voleurs de bétail, est bien peu hospitalier pour une jeune fille aussi raffinée et inexpérimentée que Clementine. C’est pourtant dans cette nature hostile et grandiose qu’elle va devoir apprendre à vivre auprès de celui qui est désormais son mari. C’est ici, surtout, qu’elle va enfin connaître cette folle passion dont elle rêve depuis toujours. Une passion pour un homme orgueilleux et solitaire, à l’image du Montana. Un homme qui n’est autre que le frère de Gus.
La mer, le matin
Deux mères et deux fils que la Méditerranée sépare. Deux rives, deux pays, deux histoires que l’Histoire avec un grand H relie pourtant. En Libye la révolte gronde. La guerre éclate. Dans un pays en proie à la violence, en pleine déroute, certains n’ont plus le choix. Il leur faut partir avant d’être tués, comme Omar, le mari de Jamila.
Ouest
On a du mal à croire que deux images, aussi bien que deux personnes, pourraient se rencontrer et produire un drôle de mélange, peut-être même une explosion. Vous recevez un jour de votre famille quelques photos vraiment anciennes, de ce noir et blanc pâli, plutôt floues. Vous y jetez un oeil négligent ou amusé, vos petits ancêtres, rien de plus. L’une d’entre elles, tout de même, vous intrigue un peu, pas longtemps : une scène champêtre, un type imposant armé d’un fusil, accompagné d’un chien noir tout en muscles, dressé sur ses pattes.
Le pavillon de sucre
La gourmandise n’a pas de frontières. En digne fille du confiseur attitré de Versailles, Sophie Delcourt peut compter sur son art pour réaliser ses rêves. Mais un matin de 1793, une meute sanguinaire envahit le château de ses maîtres. Fuyant la Terreur, menacée par un ennemi sans visage, Sophie se réfugie en Angleterre, dans le calme trompeur de Brighton.
L’obscur miroir des jours heureux
L’inoubliable héroïne de ce roman que l’on compare déjà à Autant en emporte le vent, Barbara Alderley, appartient à la race des Scarlett O’Hara. Fière, volontaire, charmante, Barbara est mariée à l’âge de 15 ans avec Roger Montgeoffry, de trente ans son aîné et de réputation plus que douteuse. Devenue comtesse Devane, Barbara se trouve propulsée dans le monde éblouissant mais cruel de la haute société parisienne du XVHie siècle : salons raffinés, alcôves compromettantes, duels et complots sans merci.
La fortune des Sullivan
À partir d’un fait historique marquant, le naufrage du Lusitania, se développe une intrigue captivante et riche de rebondissements : trois rencontres amoureuses très romantiques sur fond de chasse au trésor. Des personnages bien campés, qu’une enquête mouvementée entraîne aux quatre coins du globe, dans un luxe de détails glamour et de descriptions fastueuses.
Les chemins de feu
1910 : à Amiens, Stephen, un jeune Anglais, vit une passion ravageuse avec Isabelle, l’épouse d’un patron de l’industrie textile. 1916 : La bataille de la Somme Stephen, devenu officier de Sa Majesté, découvre, avec un régiment de sapeurs, au-delà de l’enfer des tranchées, celui d’une autre guerre, souterraine, méconnue.
La Rouvraie
Après douze ans passés en Afrique, Vincent revient en France au pays. De son Bourbonnais natal, il n’avait gardé que l’image des visages des femmes qu’il avait cru aimer. Des souvenirs d’enfance aussi : les étés ensoleillés à Damery, chez l’oncle Georges et la tante Marie, avec Hélène la petite fiancée de ses onze ans. Au hasard d’une promenade, il découvre une propriété abandonnée, La Rouvraie.