Produire son électricité
De plus en plus de Français souhaitent devenir autonomes en électricité pour adopter un mode de vie plus écologique. Le photovoltaïque est la méthode la plus simple et performante pour y parvenir. Convaincu qu’il n’y aura pas de transition sans décroissance énergétique, Tristan Urtizberea, ingénieur spécialiste des énergies renouvelables, est devenu électricien pour aider les particuliers à passer aux énergies vertes. Il propose un guide complet et accessible pour autoconstruire son installation photovoltaïque et produire son électricité. Notions de bases, calcul de l’ensoleillement, installation sur une toiture, sur un camion aménagé ou sur un bateau : l’auteur donne toutes les possibilités que peuvent offrir les panneaux photovoltaïques. Le plus ? Des astuces pour trouver fabricants et fournisseurs, des schémas et des exemples concrets pour que consommer de l’énergie sobrement devienne un moment de partage et de plaisir.
Connait-on vraiment ses ennemis ? En 1663, le marquis de Fors Vigeant, ancien capitaine du prince de Condé, était horriblement assassiné et mutilé lors d’un guet-apens près de Poitiers. Trois ans plus tard, alors qu’il revient d’Angleterre, Louis Fronsac se voit approché par un avocat au Conseil des parties, instance judiciaire en dernier recours où siège Gaston de Tilly comme maître des requêtes. Le défenseur lui assure que les accusés, mis à la question ordinaire et extraordinaire, sont innocents, bien que l’un d’eux ait déjà été décapité. Que leur procès, remplis d’irrégularités, n’est qu’une manœuvre conduite par une grande dame de la cour pour abaisser la famille Mortemart dont le père et le fils sont des favoris du roi. Louis Fronsac accepte de reprendre l’enquête, bien qu’il ne dispose que de peu de temps avant l’exécution des derniers prévenus. Mais ceux qu’il gêne sont tout-puissants, et après avoir subi une sanglante agression et la disparition de Gaston de Tilly, il sera contraint à une violente riposte. Seulement, n’est-il pas déjà trop tard et a-t-il correctement identifié ses ennemis ?
L’anomalie
« Il est une chose admirable qui surpasse toujours la connaissance, l’intelligence, et même le génie, c’est l’incompréhension. » En juin 2021, un événement insensé bouleverse les vies de centaines d’hommes et de femmes, tous passagers d’un vol Paris – New York. Parmi eux : Blake, père de famille respectable et néanmoins tueur à gages ; Slimboy, pop star nigériane, las de vivre dans le mensonge ; Joanna, redoutable avocate rattrapée par ses failles ; ou encore Victor Miesel, écrivain confidentiel soudain devenu culte. Tous croyaient avoir une vie secrète. Nul n’imaginait à quel point c’était vrai. Roman virtuose où la logique rencontre le magique, ‘L’Anomalie’ explore cette part de nous-même qui nous échappe.
Notes d’Afrique relate l’essor de la musique populaire sur le continent. Le livre couvre les évènements et les styles musicaux qui se sont développés depuis les années 60, jusqu’aux années 80 lorsque que le terme « World Music » a été inventé comme label marketing et que des musiciens africains, notamment Youssou N’Dour et ses contemporains, sont apparus sur la scène internationale, et la dominance d’Afrobeats de la période contemporaine. Jenny Cathcart nous offre, à travers son expérience personnelle et son travail aux côtés de Youssou N’Dour, des portraits et des histoires de la vie de tous les jours et leur influence sur la musique en Afrique. Il en résulte de nouvelles perspectives pour la culture contemporaine, la religion et la politique, aussi bien pour le développement que pour de futures collaborations sur le continent et dans sa diaspora.
Le serpent majuscule
Avec Mathilde, jamais une balle plus haute que l’autre, du travail propre et sans bavures. Ce soir est une exception. Une fantaisie. Elle aurait pu agir de plus loin, faire moins de dégâts, et ne tirer qu’une seule balle, bien sûr. Dans ce réjouissant jeu de massacre où l’on tue tous les affreux, Pierre Lemaitre joue en virtuose de sa plume caustique. Avec cette œuvre de jeunesse inédite, il fait cadeau à ses lecteurs d’un roman noir et subversif qui marque ses adieux au genre. Dialogues cinglants, portraits saisissants, scénario impitoyable : du pur Pierre Lemaitre.
Scarlett
Publier le roman-fleuve de Margaret Mitchell était déjà une gageure, mais faire d’Autant en emporte le vent un film était pure folie. Des centaines de décors, de costumes et d’acteurs pour un film d’une longueur invraisemblable : un défi qui aurait pu ruiner David O. Selznick, son producteur mégalomane, bien décidé à réussir « le plus grand film de tous les temps ». Par-delà les tractations cocasses, les difficultés d’adaptation et les imprévus en tous genres, une question centrale s’invite au coeur des débats qui agitent les États-Unis : qui pour incarner Scarlett ? Trois années à voir défiler un bal d’actrices parmi les plus célèbres comme des milliers d’inconnues qui participent à ce casting homérique. Trois années où, à l’ombre des paillettes, Hattie McDaniel doit faire accepter à la communauté noire qu’elle préfère jouer le rôle d’une domestique plutôt que d’en être une.
Dans ce roman trépidant, François-Guillaume Lorrain fait revivre les affres, les plaisirs et les jours des protagonistes de cette aventure qui marqua l’âge d’or d’Hollywood : le moralement douteux David O. Selznick, la très obstinée Vivien Leigh, le flegmatique Clark Gable, et Hattie McDaniel, la première interprète noire oscarisée pour le rôle qu’on lui reprochait pourtant d’endosser.
Souvenirs souvenirs …
» Je serai journaliste « , se promet très tôt la jeune provinciale de Périgueux. Pourquoi ce métier ? Par goût de l’écriture ? Pour partir en reportage et raconter le monde ? Non, pour être libre.
Après une enfance heureuse au sein d’une famille aimante et protectrice, Catherine Nay accomplit peu après son arrivée à Paris un rêve qui fut celui de tous les journalistes débutants dans les années 1960 : entrer à L’Express, la meilleure école de presse à cette époque, sous la double houlette de Jean-Jacques Servan-Schreiber et, surtout, de Françoise Giroud. Elle y trouve une sorte de seconde famille. La figure de Françoise Giroud, dont elle nous révèle ici des aspects inattendus, domine ces années. Elle incarne pour elle un modèle à la fois d’observatrice des moeurs de son temps et de femme de caractère.
Catherine Nay a obéi dans sa propre existence à ce même désir de liberté et d’indépendance. Elle évoque ici pour la première fois sa rencontre en 1968 avec l’un des grands acteurs de la Ve République, Albin Chalandon, resté cinquante ans plus tard le grand amour de sa vie.
Devenue familière des coulisses du monde politique, elle nous offre dans le premier volume de ses mémoires, entre portraits à vif et anecdotes savoureuses, un récit original et perspicace, plein d’humour, d’intelligence et de vivacité, des règnes successifs de Pompidou, Giscard et Mitterrand, jusqu’à l’élection de Jacques Chirac, une chronique intime de cet univers de passions où s’affrontent des personnages hors normes dont elle recueille les confidences, décrypte les facettes les plus secrètes ou les mieux dissimulées.
Sous le regard de cette enquêtrice aguerrie, le pouvoir apparaît tel qu’il est, avec ses rites, ses pratiques, ses grandes et petites rivalités : une comédie romanesque faite de sensibilités particulières, par-delà les idées et les convictions. Catherine Nay la raconte sans cacher ses coups de cœur ni ses partis pris.
Librement !
L’esprit de sacrifice à travers l’histoire.
» Merde ! La garde meurt et ne se rend pas « . La célèbre apostrophe, prêtée au général Cambronne à Waterloo illustre le mépris de la mort et le sacrifice authentique : celui qui consiste à donner volontairement sa vie pour un homme, une cause, une idéologie ou une patrie. Contrairement à ce que l’on pourrait croire, ce cas de figure se présente assez souvent à travers les siècles : Thermopyles, sicaires juifs à Massada, derniers cathares, chouans de 1815, sudistes, samouraïs, communards, cristeros, soldats blancs de Russie, vietnamiens du Sud, combattantes kurdes et bien d’autres encore se sont illustrés lors d’événements méconnus ou oubliés tels les frères de la forêt qui ont combattu l’armée rouge dans les pays Baltes après 1945. Tous, dans un dernier geste, ont marqué l’histoire et marqué la postérité.
Sous la direction de Jean-Christophe Buisson et Jean Sévillia, les meilleurs historiens et journalistes en racontent les épisodes les plus saillants dans des contributions où la solidité de l’enquête se conjugue avec un vrai bonheur d’écriture. L’ensemble offre une histoire inédite de l’héroïsme à travers les âges.
Tu es Bob « Cold Blood » Cooper, le meilleur combattant de ton clan. Tu es une véritable machine de guerre, et tu te distingues par ton sang-froid et ton esprit vif. Ton chef de clan, Marcellus, t’a donné une carte, un chargeur de munitions un peu spécial et une mission secrète. Tu vas devoir prendre le contrôle de Dark Dagalur. Sans quoi, l’humanité n’aura plus jamais accès à ce territoire. Mais tu seras seul. Seul, contre 99 hommes. Fais les bons choix si tu veux être à la hauteur de ta réputation.
Noir sanctuaire
Après une mauvaise rencontre dans les marais d’Exmouth, Massachusetts, l’agent spécial du FBI Aloysius Pendergast est porté disparu…
Bouleversée par la perte de son protecteur, Constance Greene se retire dans les souterrains du manoir de Pendergast, au 891 Riverside Drive, à New York, où une bien mauvaise surprise l’attend…
L’aventure dont tu es le héros
Incarne Frigiel et sauve tes amis d’une attaque de zombies ! À Lanniel, c’est la panique : des zombies ont envahi le village. Tu dois sauver ton grand-père Ernald, empoisonné par ces créatures maléfiques. Accompagné par ton fidèle allié Fluffy et tes amis, tu vas devoir t’enfoncer dans les profondeurs de la jungle de Taranka pour trouver la potion capable de le soigner. Mais gare aux leapleafs, whisperer et autres monstres qui hantent les sous-bois. Es-tu prêt·e à te lancer dans l’aventure ? Tu ne pourras compter que sur toi-même parce qu’ici, c’est TOI qui fais les choix ! Un livre dont tu es le héros pour te glisser dans la peau de Frigiel et mener des combats épiques !
Croc-Blanc
Dans le Grand Nord sauvage et glacé, un jeune loup apprend à lutter pour la vie. Les premiers hommes qu’il rencontre, des Indiens, le baptisent Croc-Blanc. Auprès d’eux, il connaît la chaleur du feu de camp, mais aussi le goût du sang. Racheté par un Blanc cupide, il est dressé pour le combat et découvre la haine. Un homme pourtant le sauve de cet enfer. Croc-Blanc lui vouera un amour exclusif.
Le code Twyford
Steven Smith, condamné pour braquage, vient de terminer une longue peine de prison. Ne sachant ni bien lire ni écrire, il enregistre ses pensées sur un téléphone portable afin de progresser dans sa quête. Sa quête ? Déchiffrer le code Twyford, inventé par une écrivaine de littérature jeunesse des années quarante, Edith Twyford. C’est un besoin impérieux, presque vital. Pour l’aider, Steven peut compter sur quatre amis avec qui il a partagé à l’époque du collège un événement qui a changé le cours de leur vie. Rapidement, il devient évident qu’Edith Twyford n’était pas seulement un « simple » écrivain. Le code Twyford a un grand pouvoir, et Steven n’est pas le seul à essayer d’en percer les secrets. Ode au pouvoir des mots et à la littérature, Le Code Twyford est un thriller qui se savoure avec délectation.
Le réveil
Tom, un jeune ingénieur, se retrouve confronté dans son pays à une situation inquiétante qui sème la peur dans la population. Dans ce contexte inédit, des mesures sont adoptées par le pouvoir, contraignantes et liberticides. Tom se retrouve pris dans la tourmente des événements, mais il a un ami grec qui l’alerte alors : les peurs des gens sont très utiles à certains. C’est en découvrant des vérités parfois dissimulées au grand jour, que l’on peut se réapproprier sa liberté. Un roman qui vous fait voir le monde autrement.
Livre en anglais – “Rich-veined, sensual, and probing, this rewarding collection bears the imprint of a keen, world-wise poet. Tade Aina is a well-traveled man who weaves the lore, legends and histories of hearth and far-flung places with equal self-assurance.” – Okey Ndibe, author of Foreign Gods, Inc.
L’éducation sentimentale
De 1840 à 1867, la vie fait L’Éducation sentimentale de Frédéric Moreau et de toute une jeunesse idéaliste qui a préparé dans la fièvre la révolution de 1848. Le roman s’ouvre sur des rêves exaltés et s’achève sur la médiocrité des uns et des autres. Entre temps, la vie s’est écoulée autour de Frédéric, qui semble n’avoir pas plus participé aux mutations de son temps qu’à l’édifice de sa propre destinée potentielle. Au cours de cette existence, Madame Arnoux, dont les apparitions sont autant de surgissements mystiques, tient lieu au jeune homme d’absolu insaisissable. Lui qui rêvait de terres lointaines et d’ouvrages romantiques déchirants dont il se voyait l’auteur génial, se retrouve, en guise de destination exotique, à Nogent, la ville de son enfance. Au terme de son parcours, que peut-il faire d’autre que ponctuer sa conversation avec Deslauriers, le pragmatique non moins malheureux, de te souviens-tu ? Flaubert éclaire ses personnages d’une lumière tantôt ironique, tantôt sympathique, et s’il adopte parfois une vision panoramique des choses, c’est semble-t-il pour mieux se couler dans l’esprit de son héros afin de faire vivre au lecteur les velléités de son caractère.
Broadway
« Du paddle à Biarritz. Si je devais établir une liste de mes vacances idéales, le paddle à Biarritz avec un couple d’amis n’apparaîtrait pas sur la feuille, ni au dos, ni dans le cahier tout entier. Le soir où il avait lancé cette idée, tout le monde était emballé, c’était l’idée du siècle, du paddle à Biarritz, youhou, champagne. … Une femme et deux enfants, un emploi, une maison dans un lotissement où s’organisent des barbecues sympas comme tout et la perspective du paddle à Biarritz avec un couple d’amis l’été prochain… Axel pourrait être heureux, mais fait le constat, à 46 ans, que rien ne ressemble jamais à ce qu’on avait espéré. Il s’était rêvé scintillant et emporté dans une comédie musicale à la Broadway, il se retrouve dans un spectacle de fin d’année foireux. Et s’il était temps pour Axel de tout quitter, de partir dès ce soir à Buenos Aires, au lieu de rentrer du travail et malgré l’apéro chez les voisins ?
Ma belle,
Enthousiaste à l’idée de rencontrer sa belle-fille, Louise ne s’attend pas à devenir une marâtre de contes de fées. Avec Blanche cependant, elle se heurte à un mur de glace. Sublime, triste et mutique, la petite fille à la peau blanche comme la neige, aux cheveux noirs comme l’ébène et aux lèvres rouges comme le sang oppose à la bonne humeur de Louise un dédain constant, sous l’œil complice de son père qui, subjugué par la beauté de sa fille, est aveugle à ce qui se trame. Leur relation va vite s’empoisonner. Acerbe et drôle, Louise raconte la difficulté à trouver sa place de « belle-mère », ses complexes et ses insécurités exacerbées par l’ombre de l’ex-femme idéalisée. Camille Anseaume met en scène avec subtilité et humour la vie d’une famille recomposée et interroge les injonctions à la beauté, la rivalité féminine, l’hypersexualisation des filles, la responsabilité des hommes et des pères, la place qu’ils prennent et celle qu’ils oublient de prendre.
Le gosse
Joseph a sept ans. Il est né après la Première Guerre mondiale dans les quartiers pauvres de la Bastille, à Paris. Grandir entouré de l’amour de sa mère et de sa grand-mère, apprendre et découvrir sont les moteurs de toute sa vie. Mais son monde bascule le jour où sa mère disparaît et où il devient pupille de l’État, un État qui a mis en place tout un système de « protection» des enfants pauvres, dont les bonnes intentions n’ont d’égal que la cruauté. De la prison pour enfants à la colonie pénitentiaire, la force de Joseph, les coups de dés du hasard, et la découverte de la musique lui permettront de traverser le pire. Dans une France portée par l’espoir du Front Populaire, peut-être retrouvera-t-il sa vie et sa joie. L’écriture intense de Véronique Olmi épouse le regard de ce gamin tendre et courageux confronté à la violence du monde adulte. Jamais, depuis Bakhita, la romancière n’avait trouvé une voix aussi puissante et juste pour raconter la renaissance d’un être à la vie. Un roman déchirant et révolté, un des plus beaux textes sur l’enfance à l’aube du siècle dernier.
L’illusion
Bienvenue à Val Quarios, petite station de ski familiale qui ferme ses portes l’été. Ne reste alors qu’une douzaine de saisonniers au milieu de bâtiments déserts. Hugo vient à peine d’arriver, mais, déjà, quelque chose l’inquiète. Ce sentiment d’être épié, ces « visions » qui le hantent, cette disparition soudaine.
Sarà perché ti amo
Cela fait dix ans que je rêve de lire ces mots. Bien sûr, ils arrivent trop tard. Beaucoup trop tard. Parce que la vie, ce n’est pas une meuf ponctuelle. Juillet 2021. Deux couples d’amis se retrouvent à Procida, dans le sud de l’Italie. Alba, Valentin et leur bébé semblent former une famille heureuse. Mais, en plein post-partum, minée par ses nuits trop courtes, Alba ne sait plus bien qui elle est, ni ce qu’elle désire. D’autant que son ex choisit ce moment pour réapparaître sur l’île. Gabrielle et Nino passent leurs premières vacances ensemble. Gabrielle croit avoir enfin trouvé le prince charmant : italien, charismatique, même si un brin autoritaire, Nino est celui qui devrait lui apporter la confiance dont elle manque cruellement. Et si ce séjour agissait comme un déclic ? Et si chacun d’entre eux venait à douter de ses sentiments ? Serena Giuliano est l’autrice de Ciao Bella, de Mamma Marie et de Luna qui ont déjà conquis plus de 300 000 lecteurs.
Un long retour
Dans sa retraite de Three Pines, l’ex-inspecteur-chef Armand Gamache croit avoir découvert la paix à laquelle il aspirait en quittant la tête de la section des homicides de la Sûreté du Québec. Toutefois, comment refuser son aide à son amie Clara lorsqu’elle lui demande de retrouver son mari, Peter Morrow ? Le couple avait décidé de se séparer pour un an, mais le temps a passé et Peter n’a pas donné de nouvelles.
Les Aérostats
La jeunesse est un talent, il faut des années pour l’acquérir. Dans ce nouveau livre, la romancière se raconte à travers le personnage d’une étudiante bruxelloise. Les aérostats sont des aéronefs dont la sustentation est due à un gaz plus léger que l’air. Elle nous emmène pour la première fois dans son pays natal. Ange, 19 ans « mène une vie assez banale » et étudie la philologie. Après avoir répondu à une petite annonce, elle donne des cours de littérature à Pie, un lycéen de 16 ans dyslexique.