Londres (Le Guide Vert)
Guide 2004 – Voyagez en Vert ! La collection Guide vert de Michelin n’a plus rien à prouver. Régulièrement réactualisé, ce compagnon de voyage, transmis de génération en génération, apparaît encore comme une « institution » toujours aussi efficace dans son contenu : cartes détaillées (légendes à l’appui, on est pas Michelin pour rien !), format pratique à la couleur caractéristique, présentation riche et complète traitant, comme à son habitude, l’ensemble des thèmes culturels du pays. Grâce à son classement par ordre alphabétique, on obtient toujours facilement et rapidement les informations souhaitées. De plus, grande nouveauté, la version 2000, présente désormais de bonnes adresses d’hébergement et de restauration, on aime les efforts d’illustrations, mais surtout les renseignements pratiques très complets dont les horaires de musées (et les prix), une approche linguistique, les dates des grandes fêtes, etc. Couvrant quasiment toutes les destinations d’Europe, la France entière et quelques pays à l’étranger, ce guide culturel par excellence, toujours au goût du jour, s’adresse aux curieux d’infos historiques et/ou amoureux de dates et musées. Un must pour mieux comprendre et découvrir. — Florent Lamontagne
Un grand week-end à Londres
Toutes les clés pour découvrir la ville. Visiter, faire du shopping, sortir …
Malgré l’ancienneté de cette édition, beaucoup d’infos sont encore valides.
Un digne héritier
Sous couvert de » modernisation » le parti travailliste britannique s’est transformé progressivement à partir du milieu des années quatre-vingt en incorporant dans ses analyses et ses propositions l’essentiel de l’héritage thatchérien. Ce processus s’est accéléré avec l’arrivée à la tête du parti, en 1994, de Tony Blair, qui, dans sa pratique gouvernementale comme dans ses tentatives de théorisation, représente la pensée de marché au sein de la gauche européenne. Loin d’aller dans le sens d’une rénovation, le triomphe des thèses néo-travaillistes conduirait inéluctablement à une rupture avec l’ensemble des traditions socialistes et à l’acceptation des inégalités sociales, de la précarisation des salariés et du régime sans partage des marchés financiers comme autant de nécessités historiques de l’ère de la » mondialisation « .