La grange de Rochebrune
De 1917 à aujourd’hui, le combat d’une lignée de Provençaux amoureux de la lavande pour gagner leur bonheur menacé par de lourds secrets. En 1918, Pierre Ferri revient à la Grange de Rochebrune, la ferme familiale située aux confins des Baronnies. « Gueule cassée », il se referme sur ses blessures, visibles et invisibles. Pourtant, l’amour inconditionnel de sa femme Antonia et la naissance d’une petite Valentine lui redonnent le goût de vivre. Il décide de développer la culture de la lavande pour laquelle Antonia éprouve une vraie passion. Partageant son amour de « l’or bleu », Valentine croit être à l’abri des tumultes du monde dans la haute vallée. Mais la montée des périls, le chaos de la guerre, les déchirures de l’Occupation, ses engagements bouleversent son destin tout tracé. En Allemagne, une autre femme, Else, poursuit elle aussi son rêve de bonheur piétiné par le IIIe Reich.
Longtemps après, les enfants perdus cherchent leur vérité…
La maison du cap
Arcachon, 1849. Léonie lutte pas à pas pour offrir à ses enfants une vie meilleure que la sienne. En 1862, Margot, sa dernière fille, déborde de désirs de bonheur et refuse une existence toute tracée de misère et de labeur. Charlotte, enfant illégitime de Margot, devient photographe et donne vie à Dorothée, une des premières femmes aviatrices. Enfin il y a Violette, la petite dernière, qui entrera dans la Résistance. De mère en fille, dans cette maison du Cap qui sera pour chacune un refuge, des femmes farouches forgent leur destin avec une ardeur particulière, pleine de tumultes et de remous. Et dans les plis d’une Histoire qu’elles traversent et imprègnent successivement, elles gagnent une à une ce que leur époque voudrait leur refuser.
Les collèges fantômes
Autour de Sainte-Geneviève, les vieux collèges du Moyen-âge se pressent les uns contre les autres, mais beaucoup sont désormais à l’abandon car la bourgeoisie et la noblesse choisissent désormais le collège des Jésuites – le collège de Clermont – pour leurs enfants. En 1626 le recteur de Clermont a l’opportunité d’acheter un collège mitoyen abandonné, celui du Mans. Le jeune Louis Fronsac et son ami Gaston de Tilly décident alors d’explorer le vieux bâtiment. Mais le collège n’est pas déserté, ni son voisin, le collège de Marmoutiers, pourtant vide d’élèves. Qui sont ces gentilshommes qui entreposent mousquets et cuirasses ? Qui sont ces truands qui entassent des muids de vin dans les salles ? Les enfants trop curieux vont devenir des proies pour des individus impitoyables, tandis que se prépare dans l’ombre une effroyable conspiration contre le cardinal de Richelieu.
La ville qui n’aimait pas son roi
1588. Alors que la guerre continue de faire rage dans toute la France, une nouvelle inattendue ébranle le royaume : le prince de Condé est mort, empoisonné. Tout semble accuser sa pauvre épouse, enceinte, mais Henri de Navarre charge Olivier Hauteville d’enquêter sur la présence d’un des serviteurs de Guise dans la suite du prince. Pour poursuivre ses investigations, Olivier, accompagné de Cassandre, se rend à Paris où la Ligue, toute-puissante, prépare une insurrection pour porter le duc de Guise sur le trône de France. Pendant que Nicolas Poulain, l’espion du roi, informe Henri III des funestes projets du duc, Olivier et son épouse, pourchassés par les ligueurs et la duchesse de Montpensier, se cachent au milieu d’une troupe de comédiens, dans les ruines de l’hôtel de Bourgogne. Malheureusement, Paris est à feu et à sang et le couple est vite découvert. Accusées d’être des hérétiques, Mme Poulain et Cassandre sont emprisonnées par les ligueurs. Alors que la situation semble sans issue, Olivier et Nicolas multiplient leurs efforts pour organiser une alliance entre Henri III et Henri de Navarre. Parviendront-ils à déjouer les pièges tendus par la Ligue et Mme de Montpensier, tout en assurant la sécurité de Navarre ?
La conjuration des importants
Paris, décembre 1642, le commissaire de police du quartier de Saint-Avoye a été assassiné dans une pièce entièrement close. Louis Fronsac, jeune notaire audacieux, mène l’enquête avec son ami de toujours, Gaston de Tilly, nommé commissaire à Saint-Germain-l’Auxerrois. Au même moment, autour de la duchesse de Rambouillet, de Marie de Rabutin-Chantal et du prince de Marcillac, s’agitent des Importants. Cherchent-ils simplement à influencer la régente Anne d’Autriche, et sont-ils responsables de la mort du roi ? Alors que Louis Fronsac recherche autant la vérité que l’aide du jeune duc d’Enghien qui tente d’arrêter les troupes espagnoles, le duc de Beaufort et sa maîtresse, Mme de Montbazon, trament leur criminelle conspiration. Et si la cabale des Importants n’était qu’une intrigue de façade pour tenter d’assassiner le Sicilien Mazarini ?
Le chien des Basqueville
Au printemps de l’an de grâce 1422, durant la maudite guerre entre les Armagnacs et les Bourguignons, Isabeau de Bavière, reine de France et épouse du pauvre roi fou Charles VI, charge le clerc anglais Edward Holmes de conduire une de ses demoiselles d’honneur au château de Basqueville afin qu’elle puisse prier sur le gisant de son époux. Mais rien ne se passe comme prévu, le voyage a en vérité un tout autre but et, malgré sa sagacité, Holmes se fera abuser. De retour à Paris, Edward et son ami Gower Watson n’auront de cesse de retrouver la jeune femme et de prendre leur revanche. Or, peu après, la reine Isabeau découvre avec terreur qu’un inconnu mystérieux la menace de révéler le contenu de lettres qu’elle a écrites à son amant près de vingt ans auparavant. Des missives qui peuvent remettre en question la succession au trône de France. Heureusement que Holmes a ramené de Basqueville le molosse de l’ancien châtelain, qui s’avère aussi perspicace que son nouveau maître.
Le pont de Montereau
Au printemps de l’an de grâce 1424, la noblesse française lance sur la Normandie une grande offensive qui permettra au jeune Charles VII de bouter les Anglais hors de son royaume. C’est à ce moment qu’on tente d’empoisonner Jean de Lancastre, duc de Bedford et régent de France. Appelé à Évreux pour enquêter sur cette criminelle entreprise, semble-t-il ourdie par Yolande d’Aragon, belle-mère du jeune roi, le clerc anglais Edward Holmes comprend vite qu’elle est liée à l’assassinat de Jean sans Peur à Montereau, cinq ans auparavant. Ceux qui ont sacrifié une pucelle dans une abjecte messe noire pour s’assurer du soutien de Lucifer se préparent-ils à recommencer ? Malgré les maléfices et les embuscades, Holmes sillonnera le pays en guerre afin de faire éclater la vérité. Le jeune Gilles de Rais, rencontré en chemin, sera-t-il pour lui un allié ou un effroyable adversaire ? » La série, clin d’oeil au grand Sherlock, reconstitue avec force détails la vie quotidienne au temps de la guerre de Cent Ans. » Historia
Le dernier secret de Richelieu
Nous sommes en 1669 et un mystérieux prisonnier est conduit à la forteresse de Pignerol. Pourquoi tous ceux qui s’intéressent à lui disparaissent-t-ils comme par enchantement ? Pendant ce temps, le jeune roi se transforme en monarque absolu et la France connaît un régime des plus sévères. Le jeune notaire, Louis Fronsac est une fois de plus au coeur de l’affaire et il se pourrait bien qu’il nous révèle enfin la vérité sur le Masque de fer…
L’Exécuteur de la haute justice
Nous sommes en 1645 après la Conjuration des Importants. La cour de France se déchire à nouveau et un jeune homme de quinze ans arrive inopinément des Pays-Bas.
Il serait le fils du duc de Rohan et pourrait devenir le chef de file des huguenots de France.
Mais le duc d’Enghien laisse entendre qu’il est un imposteur…
L’ancien notaire, Louis Fronsac, désormais chevalier, sera chargé de découvrir la vérité. Aidé de son ami de toujours, Gaston de Tilly, ils mèneront l’enquête autour de la Bastille et dans la rue de Pute-y-Musse et recevront l’aide d’un certain Jean-Baptiste Poquelin qui vient d’installer son Illustre théâtre au jeu de paume de la Croix-Noire.
L’homme aux rubans noirs
Avec L’Homme aux rubans noirs, Jean d’Aillon nous entraîne au côté de son célèbre héros Louis Fronsac lors de cinq enquêtes sous la Régence d’Anne d’Autriche. D’un atelier d’alchimiste à la cour des miracles, des coulisses du théâtre du Marais au cœur secret du Pont-Neuf, le notaire Louis Fronsac percera d’étonnants mystères dans une ville qui gronde contre Mazarin.
Sous la plume savante et précise de Jean d’Aillon,
on découvre la belle Roxanne de Cyrano sous un jour nouveau et les tours de passe-passe d’un descendant de Nicolas Flamel ou encore les inspirations d’un jeune dramaturge qui deviendra Molière.
La bete des Saint-Innocents
1590. Pour conquérir son royaume que la Sainte Ligue lui refuse, le protestant Henri de Navarre met le siège aux portes de Paris. Durant trois mois, plus aucun vivre ne pénètre dans la capitale. Au point culminant de la famine, la dépouille d’une femme est retrouvée dans le cimetière des Saints-Innocents, en partie dévorée.
Le mystère de la chambre bleue
En juin 1642, une copie du traité d’alliance passé entre le marquis de Cinq-Mars et l’Espagne arrive mystérieusement sur le bureau du cardinal de Richelieu. Dans le Paris de Louis XIII certains s’interrogent sur le rôle qu’aurait pu jouer la marquise de Rambouillet, surnommée Arthénice, durant les trois conspirations de 1641 : celle du duc de Vendôme, celle du duc de Soissons et celle du marquis de Cinq-Mars.
Le perspicace notaire Louis Fronsac, ami du poète Vincent Voiture et du commissaire-enquêteur Gaston de Tilly, recherche la vérité sur la mystérieuse chambre bleue d’Arthénice. Enquête pour laquelle il risque sa vie, mais heureusement il est protégé par Giulio Mozarini…
On retrouve ici Louis Fronsac, le jeune et audacieux notaire, déjà remarqué dans ses précédentes aventures La Conjuration des Importants et Le Dernier Secret de Richelieu.
Des serfs opprimés par un seigneur violent et cruel. Une troupe de chevaliers réunis pour libérer Richard Cœur de Lion, emprisonné en Allemagne. Un bien curieux chat botté. Un crime ménager. Un retour à l’abbaye de Cluny perturbé par des fresques qui saignent. Un loup démoniaque à combattre. Autant d’intrigues dans lesquelles Guilhem d’Ussel se retrouve plongé entre 1193 et 1201. Au fil de ces péripéties, on découvre que le mensonge se cache souvent derrière une apparente vérité, que l’évidence peut être un leurre, que la loyauté fait parfois défaut et que la vengeance justifie bien des crimes. Guilhem, quant à lui, aussi vif d’esprit qu’agile à l’épée, cherche sans relâche à faire justice.
L’armateur marseillais Grégoire Ratonneau s’empare d’une galère sarrasine contenant des armes étonnantes, tandis que Guilhem d’Ussel reçoit, à Lamaguère, la visite d’un notaire du Saint-Siège. Celui-ci apporte le testament de son père. Guilhem se retrouve rapidement mêlé à la guerre qui oppose la commune de Rome au Saint-Siège.
Nostradamus et le dragon de Raphaël
En 1536, Charles Quint envahit la Provence et se fait couronner roi d’Arles et de Provence. Pendant cinq mois, cinquante mille soudards vont piller et dévaster un pays abandonné par ses habitants. Mais l’empereur n’emportera pas son prodigieux butin ; il le cache.
En 1564 la guerre fait rage entre les catholiques et les réformés. Pour la reine Catherine de Médicis, retrouver le trésor de Charles Quint serait le seul moyen de sauver le pays de la ruine.
Et seul le célèbre devin, Nostradamus pourrait l’aider à en trouver … Lire la suite la cachette. Mais celui-ci dispose-t-il réellement des pouvoirs surnaturels qu’on lui accorde ?
Et qui est ce lieutenant du viguier d’Aix, Yohan de Vernègues auquel Nostradamus fait si souvent appel ?
L’énigme du clos Mazarin
Magistrats et truands au cœur d’une terrible affaire criminelle visant à renverser le premier ministre.
En 1646, Jules Mazarin, président du conseil royal, signe des lettres de patentes qui permettent à son frère Michel d’augmenter la surface de la ville d’Aix. Au même moment, le comte d’Alais, gouverneur de Provence, avertit le ministre que de fausses lettres de provision, toutes signées par le cardinal et permettant d’accéder à des charges de conseiller au parlement, sont mises en vente. Qui peut bien chercher à céder de tels documents et à semer le trouble dans la ville ? Mazarin charge le marquis de Vivonne de mener l’enquête. Aidés de Gaston de Tilly, procureur du roi et du perspicace Louis Fronsac, les trois hommes finiront par découvrir la vérité après avoir frôlé la mort plus d’une fois, dans une ville d’Aix sale, obscure et encore enserrée dans ses remparts moyenâgeux.
Une étude en écarlate
Le 21 mai 1420, Isabeau de Bavière, reine de France, signait, au nom de son mari Charles VI, fou et incapable, un traité par lequel le roi reconnaissait Henri V de Lancastre, son gendre, héritier de la couronne de France. Quelques mois plus tard, Edward Holmes, clerc et demi-frère du baron de Roos tué à la bataille de Baugé, était chassé de l’hôtel parisien de son seigneur. Ne pouvant rentrer en Angleterre, maître Holmes trouva logis chez le bonnetier Bonacieux, sis rue du Coq, où il partagea la chambre de Gower Watson, un archer blessé à la bataille d’Azincourt. ….
La fin du règne de Louis XIV est une sombre période pour la France. Après la révocation de l’édit de Nantes, le pays est entraîné dans d’interminables guerres.
Roque la Garde, jeune protestant, enseigne au régiment du Lyonnais, est chassé de l’armée pour avoir refusé la conversion. Il devient bandit de grand chemin et prend le nom de Trois-Sueurs, celui qui donne les trois sueurs à ceux qui lui résistent…
Entre crime et corruption à la cour et grande truanderie des bas-fonds de la capitale, Trois-Sueurs doit enquêter sur le secret du captif au masque de fer.
Un soldat du roi devenu bandit au grand cœur confronté au plus grand mystère de l’histoire de France.
L’enlèvement de Louis XIV
En 1659 à Aix, Forbin-Maynier, président du Parlement de Provence et fidèle soutien du roi et de Mazarin, est chargé de retrouver un neveu du cardinal de Retz, un père chartreux qui a mystérieusement disparu. Au cours de l’enquête, il sera mêlé aux obscurs complots qui mettent le royaume en danger. 1660. Venu à Aix pour tenter de mettre un peu d’ordre dans les troubles qui agitent la province, le jeune roi Louis XIV est enlevé par une froide nuit de janvier dans son hôtel de Châteaurenard. Serait-ce l’œuvre de Gaspard Glandevès-Niozelles, le chef des séditieux marseillais, ou de François de Gallaup, ancien capitaine de la garde du prince de Condé condamné à mort et en fuite ? À moins que ce ne soit Mademoiselle de Montpensier, cousine du roi, qui n’a pas hésité à tirer sur lui durant la Fronde. Louis Fronsac n’aura que quelques heures pour retrouver le roi, qui est peut-être victime d’une terrible affaire de sorcellerie…