Chaque livre est vendu 400 F
Nicole de Buron : … dix jours de rêve …
Pierre Viallet : Trousse Chemise
Sidney Sheldon : Maîtresse du Jeu
Claude Courchay : Retour à Malaveil
Ysabelle Lacamp : Mambo Mambo
Marc Lévy : Un sentiment plus fort que la peur
Belva Plain : Les saisons du bonheur
Judith Kelman : Entre les mailles du filet
Sally Beauman : Femmes en danger
Liliane Guignabodet : Car les hommes sont meilleurs que leur vie
Arrêtez de piquer mes sous !
Oui, madame l’Inspectrice des Impôts, je me bats pour garder à mon quartier son caractère de village. Quant à mon village, je lutte farouchement contre le maire qui orne tous les ronds-points de bouts de ferraille tordue appelés sculptures d’avant-garde. Impôts en tout genre, assurances diverses, vignette, redevance audiovisuelle… Trop, c’est trop ! Et ce trop augmente chaque année ! Sans compter les longues heures passées sur des montagnes de paperasse. Et à quoi sert-il, tout cet argent ? Dans quelles poches disparaît-il ? Et ces autoroutes qui vont nulle part, ces frais de mission sans mission aux Caraïbes, etc. L’idée vient donc à l’auteur d’écrire au percepteur des impôts, au maire de Paris, au Premier ministre, au président de la République ! Mais évidemment, personne ne lui a jamais répondu…
Mon cœur, tu penses à quoi ?
Tout va bien dans votre petite famille. Jusqu’au jour où rentrant gaiement chez vous, vous trouvez l’Homme effondré sur le canapé – » Qu’est-ce qui ne va pas, mon bébé ? » Il vient d’être poliment viré de son très important poste de P-DG au profit d’un crétin de quarante ans et quelque. La mode est au « jeunisme ». Certes, votre mari va recevoir beaucoup d’argent pour adoucir son départ, mais il adorait son travail et il est au bord du suicide. Pourtant le pire est peut-être pour vous. Toutes vos copines vous préviennent. Un homme qui n’a pas préparé sa deuxième vie est un véritable calvaire. Égaré, il traînasse dans les couloirs comme un môme qui s’embête. Vous dérange toutes les cinq minutes. Oublie son portable dans le frigo. Vous lui suggérez plein d’activités : jogging (il a mal au pied gauche), tennis (il souffre du coude droit), piscine (tous les enfants des écoles font pipi dans l’eau), écrire le livre de sa vie (quelle vie ? mais elle est finie, sa vie !), visiter le Louvre avec son petit-fils Attila (et des milliers de Japonais qui empêchent de voir la Joconde), etc. Rien ne lui plaît. Si ! le golf. Si vous aviez su… !
Chéri, tu m’écoutes ?
Avec l’humour et la joie de vivre que l’on lui connaît, Nicole de Buron s’attaque, dans son nouveau roman à l’amour. L’AMOUR A TOUS LES ÂGES : depuis Attila, 7 ans, fou de passion pour sa maîtresse d’école et qui veut l’épouser, jusqu’à Lilibelle, la grand-mère de 75 ans qui fugue à Las Vegas se marier avec un contre-amiral de 80 printemps. En passant par tous les membres de la chère famille de l’auteur / Vous ( c’est-à- dire un peu toutes les femmes) ; l’Homme (l’éternel macho) ; Petite Chérie et sa meute d’amoureux ; fille aînée aux prises avec monsieur Gendre N°1, Monsieur Gendre N°2 et ses enfants adolescents dont elle découvre, à son tour avec surprise, les brûlantes amourettes (elle a oublié les siennes).
Vas-y maman
Vous en avez ras le bol de cette vie. Un meuble, voilà ce que vous êtes devenue. Un meuble que personne ne voit plus. Votre vie, c’est quoi ? Faire la bonne, la vaisselle, le ménage, écouter le lamento de l’Homme quand il rentre du bureau.
Arrete ton cinéma !
Scénariste de cinéma et de séries télévisées, Nicole de Buron met ici en scène sa propre vie. Dans un style vif, usant souvent du langage parlé que l’on retrouve tout au long de ses précédents romans et dans ses dialogues de séries télévisées, Arrête ton cinéma est une traduction romanesque de sa vie intrinsèquement liée au monde du spectacle. Avec cette trame autobiographique originale, elle montre ici l’envers du décor de ce milieu.
Mais t’as-tout pour etre heureuse !
Un matin, vous vous réveillez tellement fatiguée que vous vous recouchez sur-le-champ. Vous pleurez sans raison. Vous avez mal partout. Vous faites le tour des médecins. Rien. Vous n’avez rien. Si. Une jolie petite déprime. « Ce n’est rien ! Prends sur toi ! s’exclament certaines de vos copines. Tu n’as pas honte de te plaindre quand il y a tellement de gens plus malheureux ! Oui, vous avez honte. Vous traînez comme une zombie dans votre vieille robe de chambre en marmonnant : Je suis nulle ! Je suis moche ! Vous ne vous coiffez plus. Vous vous bourrez de chocolat. Encouragée par Petite Chérie, vous allez voir un psy. Il écoute vos propos incohérents et vous prescrit des médicaments que vous avalez en douce de l’Homme et contre l’avis de Fille Aînée. Après avoir failli divorcer, envisagé de tuer une dénommée Florence – grande amie de l’Homme -, songé à vous suicider, vous vous retrouvez un jour guérie. Si, si. Ouf ! Vive la vie !
Arrêtez de piquer mes sous !
Oui, madame l’Inspectrice des Impôts, je me bats pour garder à mon quartier son caractère de village. Quant à mon village, je lutte farouchement contre le maire qui orne tous les ronds-points de bouts de ferraille tordue appelés sculptures d’avant-garde. Impôts en tout genre, assurances diverses, vignette, redevance audiovisuelle… Trop, c’est trop ! Et ce trop augmente chaque année ! Sans compter les longues heures passées sur des montagnes de paperasse. Et à quoi sert-il, tout cet argent ? Dans quelles poches disparaît-il ? Et ces autoroutes qui vont nulle part, ces frais de mission sans mission aux Caraïbes, etc. L’idée vient donc à l’auteur d’écrire au percepteur des impôts, au maire de Paris, au Premier ministre, au président de la République ! Mais évidemment, personne ne lui a jamais répondu…
Où sont mes lunettes ?
Un jour, une femme reçoit une lettre de sa caisse de retraite : « Madame, vous avez 59 ans, il est temps de préparer votre dossier… » Elle est stupéfaite. Qui a 59 ans ? Pas elle, tout de même, qui mène une vie trépidante et travaille comme une folle. Non, c’est impossible. Hélas, si ! Elle ouvre alors une grosse malle pleine de papiers et de souvenirs. Toute sa vie lui saute à la figure. Une enfance auprès de grands-parents aristocrates. Une adolescence fauchée. Son premier emploi : secrétaire d’un papa-patron. Ses amours avec un bel officier de marine italien qui lui fait un enfant – qu’elle ne peut pas garder. Un grand mariage à 20 ans. Des déboires conjugaux. Un divorce. Un remariage. Puis c’est le coup de foudre. Elle épouse celui qu’elle appelle le « Grand Salaud »…