
Le livre sans nom
Santa Mondega, une ville d’Amérique du Sud oubliée du reste du monde, où sommeillent de terribles secrets. Un serial killer qui assassine ceux qui ont eu la malchance de lire un énigmatique livre sans nom. La seule victime encore vivante du tueur, qui, après cinq ans de coma, se réveille, amnésique. Deux flics très spéciaux, des barons du crime, des moines férus d’arts martiaux, une pierre précieuse à la valeur inestimable, un massacre dans un monastère isolé, quelques clins d’oeil à Seven et à The Ring, et voilà le thriller le plus rock’n’roll et le plus jubilatoire de l’année ! Diffusé anonymement sur Internet en 2007, cet ouvrage aussi original que réjouissant est vite devenu culte. II a ensuite été publié en Angleterre puis aux Etats-Unis, où il connaît un succès fulgurant.
Les assassins
New York, 2006. Quatre homicides sont commis en quinze jours, selon des modes opératoires très différents. Seul John Costello, documentaliste inépuisable sur les tueurs en série, voit un lien entre eux. Il a en effet découvert que chacun des meurtres a été perpétré à une date anniversaire, celle d’un célèbre crime exécuté par un serial killer, d’après une procédure rigoureusement identique. Épaulé par Ray Irving, détective au NYPD, et Karen Langley, journaliste au City Herald, John va se livrer à la traque de cet assassin très particulier.
Les neufs cercles
1974. Vétéran du Vietnam, John Gaines a accepté le poste de shérif de Whytesburg dans le Mississippi. Un jour, on découvre, enterré sur la berge de la rivière, le cadavre d’une adolescente, Nancy Denton, disparue vingt ans plus tôt. Le corps a été préservé par la boue, mais le cœur a été remplacé par un panier contenant la dépouille d’un serpent. Déjà traumatisé par la sale guerre du Vietnam, John est à nouveau confronté à l’horreur. Il va ainsi repartir au combat et devra faire face aux secrets et aux vérités cachées de cette petite ville tranquille. Vingt ans après le crime, c’est une nouvelle traversée des neuf cercles de l’enfer qui attend John.
Avec ce thriller sombre et ambitieux, R.J. Ellory fouille au plus profond de l’âme humaine, et dans les replis les plus nauséabonds du passé, pour s’imposer une fois encore comme une des plus grandes plumes du roman noir actuel. Philippe Blanchet, Le Figaro magazine.
La traque
Un tueur dévoré par des pulsions incontrôlables. Un flic hanté par sa proie. Deux obsessions irrépressibles pour un chef-d’œuvre du thriller.
Août 1982. Phil Boudreau, détective de la brigade des mœurs de Seattle, est appelé en urgence dans une des banlieues de la ville. On vient de retrouver le corps d’une jeune femme dans la Green River. Les services de police présents sur les lieux ne lui demandent qu’une chose : identifier la victime, qui semble être une de ces jeunes prostituées que son travail l’amène à fréquenter. Boudreau la reconnaît et pense immédiatement à un suspect possible, Garrett Richard Lockman. Mais le rapport qu’il envoie à sa hiérarchie, dans lequel il fait état de ses soupçons, est enterré sans qu’il en connaisse la raison. Bientôt, les victimes se multiplient dans la Green River, presque toutes de jeunes prostituées de la ville. Mis à l’écart des investigations, Boudreau décide de mener seul une enquête clandestine qui va durer près de dix ans, au rythme de surprises et de rebondissements spectaculaires, jusqu’à une conclusion totalement inattendue. Face à lui, un tueur aussi manipulateur qu’insaisissable, le pire cauchemar d’une ville aux abois.
Inspiré par le tueur de la Green River, qui a fait près de cinquante victimes dans les années 1980, Roderick Thorp nous offre dans ce thriller aussi captivant qu’ambitieux l’une des figures du mal les plus fascinantes depuis Hannibal Lecter. Aussi sommes-nous très heureux, après Au-delà du mal de Shane Stevens et Il de Derek Van Arman, de vous faire découvrir ce chef-d’œuvre, publié en 1997 aux États-Unis, et inexplicablement inédit en France jusqu’aujourd’hui.
Dans « Je ne suis pas un serial killer », le jeune John Wayne Cleaver était la proie de pulsions effrayantes et redoutait de devenir un tueur en série. Aujourd’hui il n’a plus de doutes : un assassin, qu’il a surnommé Mr. Monster, sommeille en lui, susceptible de se réveiller à tout instant. Ce qui, étrangement, n’a pas que des mauvais côtés. Sans Mr. Monster John n’aurait jamais pu débarrasser sa petite ville du tueur qui y sévissait. Mais à présent il n’est plus du tout sûr de pouvoir maîtriser son côté obscur. D’autant qu’autour de lui nombreux sont les importuns qui mériteraient d’avoir affaire à Mr. Monster. Sans compter ces nouveaux cadavres qui apparaissent aux quatre coins de la ville et cet inspecteur du FBI qui commence à sérieusement le suspecter d’être impliqué dans les meurtres. Il va ainsi devenir de plus en plus difficile de ne pas laisser les rênes à ses démons. Plaisir coupable auquel il serait tragique de prendre goût…
Dan Wells dynamite de nouveau tous les clichés du thriller pour nous offrir une seconde nuit blanche aux côtés d’un des monstres les plus attachants qu’il nous ait été donné de rencontrer depuis longtemps.
Un sur deux
C’est un grand jour pour Mark Nelson. Après avoir tout investi dans son travail, à la suite de la mort tragique de sa petite amie, il est nommé dans l’équipe de John Mercer, flic légendaire, qui vient de retrouver son poste après une longue dépression. C’est ce moment précis que choisit l’ennemi intime de Mercer pour réapparaître. Un tueur qui s’en prend aux couples et ne laisse qu’un des deux amants en vie. Lorsqu’il enlève une jeune femme et son compagnon, Mercer et Nelson n’ont que quelques heures pour les retrouver.
Une certaine vérité
1994. Jude McManus a 17 ans lorsque son père, un flic de Chicago, meurt dans des circonstances mystérieuses. Son cadavre est retrouvé dans les eaux d’un lac alors qu’il vient d’être accusé de corruption avec ses deux collègues, Bill Malvasio et Phil Stroke. Suicide pour échapper au scandale ? Noyade accidentelle ? L’affaire ne sera jamais résolue. Jude décide de fuir la ville et s’engage dans l’armée. 2004. République du Salvador. Dans un pays rongé par la pauvreté, la corruption et le crime, Jude McManus retrouve par hasard Bill Malvasio. Installé au Salvador pour échapper à la justice de son pays, celui-ci demande à Jude de retourner à Chicago pour retrouver Phil Stroke. Toujours hanté par la disparition et les péchés de son père, Jude y voit l’occasion de faire toute la vérité sur le passé. Mais, comme l’a justement écrit Oscar Wilde, la vérité est rarement pure et jamais simple, et Jude va vite se retrouver aux prises avec une affaire d’État.
Viva la madness
Heureux propriétaire d’un hôtel à la Jamaïque, X, ex-trafiquant de cocaïne londonien, a raccroché les gants. Interrompre cette retraite au soleil serait forcément une mauvaise idée. Mais le mal du pays, la nostalgie d’une vie pleine d’adrénaline et la promesse d’un coup exceptionnel finissent par emporter toutes ses réticences. Le pied à peine posé sur le sol britannique, notre homme s’aperçoit bien vite que ce coup exceptionnel qu’on lui a proposé est surtout exceptionnellement dangereux. Entre mafieux anglais, cartels vénézuéliens sensibles de la gâchette et Irlandais psychotiques, il va falloir que X use de sa dextérité légendaire s’il veut une nouvelle fois s’en tirer à bon compte.
La cité de larmes
1572. Depuis dix ans, les guerres de Religion ravagent la France. Aujourd’hui, enfin, un fragile espoir de paix renaît : Catherine de Médicis a manœuvré dans l’ombre et le royaume s’apprête à célébrer le mariage de la future reine Margot et d’Henri, le roi protestant de Navarre. Minou Joubert et son époux Piet quittent le Languedoc pour assister à la cérémonie. Alors que la tension est déjà à son comble dans les rues de Paris, on attente à la vie de l’amiral de Coligny. C’est le début du massacre de la Saint-Barthélemy. Précipités dans les chaos de l’Histoire, Minou et Piet sont sur le point de prendre la fuite quand ils découvrent la disparition de Marta, leur fillette de sept ans…
L’oeil de la lune
Vous avez aimé Le Livre sans nom ? Vous allez adorer L’Oeil de la Lune ! Personne n’a oublié le Bourbon Kid, mystérieux tueur en série aux innombrables victimes. Ni les lecteurs du Livre sans nom, ni les habitants de Santa Mondega, l’étrange cité d’Amérique du Sud où sommeillent toujours de terribles secrets. Alors que la ville s’apprête à fêter Halloween, le Bourbon Kid devient la proie d’une brigade très spéciale, une proie particulièrement coriace, de celles qu’il ne faut pas rater sous peine d’une impitoyable vengeance. Si vous ajoutez à cela la mystérieuse disparition de la momie du musée municipal et le kidnapping d’un patient très particulier de l’hôpital psychiatrique, vous comprendrez que la nuit d’Halloween à Santa Mondega risque, cette année, de marquer les esprits. Avec Le Livre sans nom, diffusé sur Internet avant de devenir l’un des premiers ouvrages cultes du siècle nouveau, un auteur anonyme nous donnait pour la première fois l’équivalent littéraire des films jubilatoires et explosifs de Quentin Tarantino ou de Roberto Rodriguez. Avec L’Oeil de la Lune, le même auteur, toujours aussi anonyme et déjanté, revient sur les lieux du crime pour un nouvel opus, tout aussi inclassable, de cette saga survoltée et jubilatoire.
Les visages
La plus grande œuvre d’art jamais créée dort dans les cartons d’un appartement miteux. Ethan Muller, un galeriste new-yorkais, décide aussitôt d’exposer ces étranges tableaux, qui mêlent à un décor torturé, d’innocents visages d’enfants. Le succès est immédiat, le monde crie au génie. Mais un policier à la retraite croit reconnaître certains visages : ceux d’enfants victimes de meurtres irrésolus…
Enfant terrible
Qu’y a-t-il au bout d’une fuite en avant ? Los Angeles, 2013. Si Kennedy Marr possède de nombreux talents – pour l’écriture, pour l’ivresse, pour la pornographie –, il y a un domaine dans lequel il frôle le génie : celui d’ignorer tout ce qui le dérange. Son éditeur, par exemple, qui attend depuis des années son nouveau roman ; son redressement fiscal, qui porte sur près de 1 million de dollars ; ou encore sa mère, gravement malade en Europe. À force d’ignorer les réalités pour s’abandonner à ses seuls plaisirs, il est aujourd’hui dans l’impasse. Seul un miracle pourrait le sauver de la faillite financière et spirituelle. Et ce miracle a lieu.
Tout ce qu’on ne s’est jamais dit
Lydia Lee, seize ans, est morte. Mais sa famille l’ignore encore… Élève modèle, ses parents ont placé en elle tous leurs espoirs. Sa mère, Marylin, femme au foyer, rêve que sa fille fasse les études de médecine qu’elle n’a pas pu accomplir. Son père, James, professeur d’université d’origine chinoise, a tant souffert de sa différence qu’il a hâte de la retrouver parfaitement intégrée sur le campus. Mais le corps de Lydia gît au fond d’un lac. Accident, meurtre ou suicide ? Lorsque l’adolescente est retrouvée, la famille Lee, en apparence si soudée, va devoir affronter ses secrets les mieux gardés. Des secrets si longtemps enfouis qu’au fil du temps ils ont imperceptiblement éloigné ses membres, creusant des failles qui ne pourront sans doute jamais être comblées. Bien sûr, Tout ce qu’on ne s’est jamais dit distille un suspense d’une rare efficacité. Mais ce livre qu’on garde en soi très longtemps est bien plus que cela. Celeste Ng aborde la violence de la dynamique familiale, les difficultés de communication, le malaise adolescent, avec une intensité exceptionnelle qui évoque l’univers de Laura Kasischke. En distinguant cette œuvre envoûtante comme l’un des meilleurs romans de l’année, les critiques anglo-saxons ont salué la naissance d’un écrivain majeur et fait le succès du livre, vendu à plus d’un million d’exemplaires.
Les visages
La plus grande œuvre d’art jamais créée dort dans les cartons d’un appartement miteux. Ethan Muller, un galeriste new-yorkais, décide aussitôt d’exposer ces étranges tableaux, qui mêlent à un décor torturé, d’innocents visages d’enfants. Le succès est immédiat, le monde crie au génie. Mais un policier à la retraite croit reconnaître certains visages : ceux d’enfants victimes de meurtres irrésolus.
Le feu divin
1081. De vastes empires se livrent une guerre sans merci pour étendre leur puissance. L’Europe et ses abords sont un vaste champ de bataille : depuis le nord avec les Normands, jusqu’au sud avec les Byzantins, aucun peuple ne veut céder du terrain. Mais il se murmure qu’à l’est un empire encore plus puissant détient une arme capable de mettre le monde à genoux : une poudre noire qui explose lorsqu’on l’enflamme.
La religion
La Religion, c’est le nom que se donne l’ordre des Hospitaliers, mais c’est aussi la bannière sous laquelle se rallie parfois la folie des hommes. En 1565, claustrés sur leur petit archipel au sud de la Sicile, les chevaliers de Malte s’apprêtent à recevoir les furieux assauts de l’armée ottomane. À un contre cinq, les chrétiens tiennent le siège au prix de combats effroyables. Un déchaînement de violence dans lequel se trouve entraîné Mattias Tannhauser, un ancien janissaire qui a connu les deux camps. Pour les beaux yeux de la comtesse Carla La Penautier, le trafiquant d’armes et d’opium embarque pour l’enfer.
La religion
La Religion, c’est le nom que se donne l’ordre des Hospitaliers, mais c’est aussi la bannière sous laquelle se rallie parfois la folie des hommes. En 1565, claustrés sur leur petit archipel au sud de la Sicile, les chevaliers de Malte s’apprêtent à recevoir les furieux assauts de l’armée ottomane. À un contre cinq, les chrétiens tiennent le siège au prix de combats effroyables.
Au-delà du mal
À 10 ans, Thomas Bishop est placé en institut psychiatrique après avoir assassiné sa mère. Il s’en échappe quinze ans plus tard et entame un périple meurtrier particulièrement atroce à travers les États-Unis. Très vite, une chasse à l’homme s’organise : la police, la presse et la mafia sont aux trousses de cet assassin hors norme, remarquablement intelligent, méticuleux et amoral.
Les destins croisés des protagonistes, en particulier celui d’Adam Lenton, journaliste dangereusement proche du meurtrier, dévoilent un inquiétant jeu de miroir, jusqu’au captivant dénouement.
