
Le fléau – Tome 1 à 3
Pour les passionnés de Stephen King : ces 3 exemplaires ne sont pas dans un bon état mais cet état permet néanmoins la lecture de ce bestseller.
TOME 1 – 13 juin 1990. 2 heures 37 du matin. Et 16 secondes. Dans le labo l’horloge passe au rouge. 48 heures plus tard, l’information tombe : Contamination confirmée. Code probable souche 848 — AB. Mutation antigène chez Campion. Risque élevé. Mortalité importante. Contagion estimée à 94,4 %. Top secret. Dossier bleu. Ca chavire, ça bascule. La Super-Grippe, l’Etrangleuse ou le Grand Voyage commence ses ravages… Une mécanique bien huilée. …
TOME 2 –
L’Homme Noir ! Il est partout dans leurs rêves ! A l’affût ! Comment se soustraire à cet œil de braise ? Dans son demi-sommeil, Stu Redman crève de peur. Et Nick aussi, terrorisé par ce corbeau aux yeux noirs bordés d’un demi-cercle de sang. Dans le tunnel Lincoln, Larry se sait poursuivi. Il court, mais à quoi bon ? IL est derrière lui comme un viseur à infrarouge. Même Nadine LE voit dans sa chaleur infernale de la Vallée de la mort. Le démon ne l’a-t-il pas appelée sa fiancée ?
TOME 3 – Les rêves ne sont que des rêves… bons ou mauvais. Mais la réalité est là. A l’est des Rocheuses, mère Abigaël est entrée dans leur vie après avoir vécu dans leurs rêves. Elle seule peut les convaincre. Partir ! Il faut partir. Pour détruire le Prince noir et anéantir ses pouvoirs. Stu accepte le défi. Larry est prêt à l’affrontement…
Il a lieu à Las Vegas. Cibola ! Cité légendaire où Randall Flagg attend. Son sourire dans la nuit comme la flamme d’une large tempête. Cibola ! Tam-tam boum… Le grand maître de SON artillerie ne rêve que d’incendies… Napalm, kérosène et éclair blanc… Fou à lier, la Poubelle ! Pourtant, avec sa main en griffe de Quasimodo, il fait pencher le fléau de la balance… Après le Grand Voyage, la Grand Feu d’artifice ?
Rose madder
Quatorze ans de mariage, quatorze ans de mauvais traitements : toute la vie de Rosie. Un enfer ! Doublé d’une obsession : fuir son tortionnaire de mari, flic jaloux, bourreau sadique, prêt à la massacrer à la première occasion. 900 kilomètres suffiront-ils à la préserver de Norman ? Qui donc pourrait lui venir en aide ? Personne en ce monde. Mais il existe un autre monde. Celui de Rose Madder. Cette femme n’est peut-être qu’un personnage de tableau, une hallucination. Elle possède pourtant un pouvoir étrange. Un pouvoir dont Rosie pourrait profiter. À moins qu’en traversant la toile, elle ne déchaîne l’apocalypse… Après Jessie et Christine, le plus génial explorateur des zones obscures de notre inconscient se glisse une fois encore dans la peau d’une femme à l’âme fêlée, habitée par la peur. Cette peur qui conduit aux actes les plus fous, aux passions les plus noires.
The Dark Tower – 6 – Song of Susannah
The Wolves have been defeated, but our tet faces yet another catastrophe. Susannah Dean’s body has been usurped by a demon named Mia who wants to use Susannah’s mortal form to bear a demon child. Stealing Black Thirteen, Mia has traveled through the Unfound Door to 1999 New York where she plans to give birth to her chap, a child born of two mothers and two fathers who will grow up to be Roland’s nemesis. With the help of the time-traveling Manni, Roland and Eddie plan to follow Susannah while Father Callahan and Jake will find Calvin Tower, owner of the vacant lot where a magical rose grows: a rose that must be saved at all costs. But despite our ka-tet’s intentions, ka has its own plans. Jake, Callahan, and Jake’s bumbler companion are transported to New York to follow Susannah, while Eddie and Roland are tumbled into East Stoneham, Maine, where they are greeted by Eddie’s old enemy, the gangster Balazar. But it isn’t just bullets that Roland and Eddie must brave. Soon they will meet their maker, in the form of a young author named Stephen King.
The Dark Tower – 7 – The Dark Tower
All good things must come to an end, Constant Reader, and not even Stephen King can make a story that goes on forever. The tale of Roland Deschain’s relentless quest for the Dark Tower has, the author fears, sorely tried the patience of those who have followed it from its earliest chapters. But attend to it a little longer, if it pleases you, for this volume is the last, and often the last things are best.
Roland’s ka-tet remains intact, though scattered over wheres and whens. Susannah-Mia has been carried from the Dixie Pig (in the summer of 1999) to a birthing room—really a chamber of horrors—in Thunderclap’s Fedic; Jake and Father Callahan, with Oy between them, have entered the restaurant on Lex and Sixty-first with weapons drawn, little knowing how numerous and noxious are their foes. Roland and Eddie are with John Cullum in Maine, in 1977, looking for the site on Turtleback Lane where ‘walk-ins’ have been often seen. They want desperately to get back to the others, to Susannah especially, and yet they have come to realize that the world they need to escape is the only one that matters.
Thus the book opens, like a door to the uttermost reaches of Stephen King’s imagination. You’ve come this far. Come a little farther. Come all the way. The sound you hear may be the slamming of the door behind you. Welcome to The Dark Tower.
The Dark Tower – 5 – Wolves of the Calla
Roland and his tet have just returned to the path of the Beam when they discover that they are being followed by a group of inexperienced trackers. The trackers are from the town of Calla Bryn Sturgis, and they desperately need the help of gunslingers. Once every generation, a band of masked riders known as the Wolves gallop out of the dark land of Thunderclap to steal one half of all the twins born in the Callas. When the children are returned, they are roont, or mentally and physically ruined. In less than a month, the Wolves will raid again. In exchange for Roland’s aid, Father Callahan—a priest originally from our world—offers to give Roland a powerful but evil seeing sphere, a sinister globe called Black Thirteen which he has hidden below the floorboards of his church. Not only must Roland and his tet discover a way to defeat the invincible Wolves, but they must also return to New York so that they can save our world’s incarnation of the Dark Tower from the machinations of the evil Sombra Corporation.
Le Singe, suivi du Chenal
Foutu singe au sourire grimaçant ! Tout en dents ! L’œil vitreux. Un diable qui sort d’une boîte…
Hal l’avait l’avait précipité au fond d’un puits. Et voilà qui resurgit vingt ans plus tard. Le même. Avec ces ailes noires. Et comme un écho venu de l’enfer, ces horribles cymbales qui s’entrechoquent, signant à chaque fois un arrêt de mort.
Partout, l’ombre de la mort plane. Quand elle ne s’incarne pas dans le jouet le plus innocent, elle elle rôde dans le chenal, attirant par son chant, les vivants en sursis.
« Stella, quand viendras-tu de l’autre côté, sur le continent? » Traverser le chenal à 95 ans! Une invitation certes, mais au grand voyage…
Chez Stephen King, un rien dérape et le décor qui nous était familier prend soudain un avant-goût d’apocalypse.
Sixième et dernier épisode. Tu dois te sortir de là, Paul. Il faut te sortir de là ! Tenter une évasion, mentir, prendre des risques. John Caffey doit sortir de sa cellule. Janice, la femme de Paul, l’a compris. Tous le savent. Cet homme est pur. Comme l’agneau qui vient de naître, comme le Fils venu sauver les hommes. Ma tragédie est en marche. Au bout du couloir, l’odieuse machine attend une victime. Le sacrifice doit être consommé. Alors quand vient son tour de remonter la ligne verte, qui sauvera John Caffey ? Paul Edgecombe voudrait oublier. Oublier que, parfois, il n’existe aucune différence entre le salut et la damnation éternelle. Et, lorsqu’il cherche le sommeil, ce qu’il voit, ce sont les yeux toujours humides de John Caffey, l’homme miraculeux aux larmes éternelles. Ce texte fait référence à une édition épuisée ou non disponible de ce titre.
Le singe
Foutu singe au sourire grimaçant ! Tout en dents ! L’œil vitreux. Un diable qui sort d’une boîte. Hal l’avait l’avait précipité au fond d’un puits. Et voilà qui resurgit vingt ans plus tard. Le même. Avec ces ailes noires. Et comme un écho venu de l’enfer, ces horribles cymbales qui s’entrechoquent, signant à chaque fois un arrêt de mort. Partout, l’ombre de la mort plane. Quand elle ne s’incarne pas dans le jouet le plus innocent, elle elle rôde dans le chenal, attirant par son chant, les vivants en sursis. Stella, quand viendras-tu de l’autre côté, sur le continent? Traverser le chenal à 95 ans! Une invitation certes, mais au grand voyage. Chez Stephen King, un rien dérape et le décor qui nous était familier prend soudain un avant-goût d’apocalypse.
Dreamcatcher
Quatre amis se retrouvent annuellement pour une partie de chasse dans une forêt du Maine. Elle fut jadis leur terrain d’aventures, en compagnie de Duddits, l’enfant mongolien qu’ils avaient adopté comme un petit frère. Et le théâtre, aussi, d’événements qu’ils se sont efforcés d’oublier. Mais les mystères ressurgissent, sous la forme de présences étranges et menaçantes que l’armée a entrepris de surveiller de près. Au point de vouloir éliminer tous ceux qui ont pu être au contact de la chose. Avec ce nouveau chef-d’œuvre, déjà porté à l’écran, Stephen King, qui est en train de conquérir une deuxième génération de lecteurs, démontre qu’il est toujours le maître absolu de l’épouvante.
Chantier
Son usine et le pavillon de banlieue qui a vu naître et mourir son fils vont être rayés de la carte. Bart Dawes fera face, seul, à l’irrésistible marche du « progrès » qui menace d’engloutir sa vie. Au fil de quelques semaines de révolte, ce brave cadre moyen perdra sa femme, se liera avec un mafioso philosophe et gourmet, avec une routarde désaxée et un prêtre des rues anarchiste.